Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

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Les restes du samedi: Gygax, Parqks

Nouvelle fournée de mini-chroniques pour les restes du samedi, la rubrique des albums qui sont pas inintéressants, mais qui ne m’inspirent pas assez pour pondre trois cents mots dessus. Pour cette fois, j’ai du hard-rock pour nerds avec Critical Hits, de Gygax, et du post-rock instrumental, avec Slow Ascent Melancholia de Parqks.

Lazuli: Nos âmes saoules

Un nouvel album de Lazuli est toujours un événement et Nos âmes saoules ne déroge pas à cette règle. Le groupe français, dont le rock progressif rappelle celui d’un Ange modernisé et sérieusement inspiré par diverses musiques du monde, est devenu un des grands noms du genre et ses opus sont attendus.

« 1914, La grande illusion », de Jean-Yves Le Naour

Il y a des commémorations plus joyeuses que d’autres, celles autour de la guerre 14-18 le sont assez modérément. Si le commun des mortels a une assez bonne idée de l’horreur de ce conflit, des ouvrages comme ce 1914, de Jean-Yves Le Naour, met en lumière des aspects peu connus en se concentrant sur cette seule année.

Red Forest

Tiens, du post-rock instrumental français. Oui, encore. J’ai découvert cet album Red Forest, du groupe éponyme et néanmoins caennais, via la recommandation de Fred Bezies. Oui, encore. On ne change pas une équipe qui gagne.

Hypno5e: Shores of the Abstract Line

Le hasard a voulu que, sur ma playlist, Shores of the Asbtract Line, le dernier album de Hypno5e, suive directement les deux opus de Have the Moskovik dont je vous ai parlé hier et donne ainsi naissance à une longue plage cinématique. D’où cette chronique dos à dos.

Have the Moskovik: Une simple théorie des glaces en terrasse

J’espère que vous aimez le post-rock instrumental d’origine française, parce que vous allez continuer à en bouffer, toujours grâce à Fred Bezies. Aujourd’hui, c’est le groupe orléanais Have the Moskovik, découvert par son album de 2011, Une simple théorie des glaces en terrasse.

Cirrus Minor

Un nom de groupe simple – Cirrus Minor – un album du même nom et des pistes numérotées par de simples chiffres romains, vous êtes sûr que c’est bien du post-rock? Simple, certes, mais un album de bon goût, composé par un groupe français que nous a encore dégoté Fred Bezies, qui s’avoue accro au post-rock instrumental. Mais avec une came pareille, qui l’en blâmerait?

Asylum Pyre: Spirited Away

Quand un site de rock progressif – ProgCritique, dans le cas présent – me vend un album de métal symphonique français à voix féminine, je tends l’oreille. C’est ainsi que j’ai récupéré l’album Spirited Away, d’Asylum Pyre.

« La Synarchie », d’Olivier Dard

Au cours de mes études d’histoire, j’ai eu l’occasion d’étudier les complots, les conspirations et autres sociétés secrètes. C’est pourquoi, quand j’en ai lu la chronique de Tristan Lhomme sur Hugin & Munin, j’ai eu envie de lire La Synarchie, signé de l’historien français Olivier Dard.

Scarlean: Ghost

Il y a quelques temps – deux ans et demie, une paille – je vous avais servi une petite chronique sur la démo du groupe valençois Scarlean, qui balançait un métal progressif influencé par Tool, plutôt pas mal. Aujourd’hui, le groupe revient avec un premier vrai album, intitulé Ghost et ce n’est plus vraiment le même cierge qui pleure, comme on dit vulgairement.

Urgence éternelle

En France, le psychodrame de la semaine, c’est la disparition de l’accent circonflexe. Ah non, pardon: ça c’était la semaine passée. Non, cette semaine, c’était plutôt le vote pour inscrire la notion d’état d’urgence dans la Constitution. Ce qui est un chouïa plus grave.

Wild Boar Fest à côté de chez moi

Et hop! Deuxième concert en deux jours, parce que je suis un grand malade. Et comme je suis vraiment un grand malade, c’est pour la première édition du Wild Boar Fest, un festival folk/viking-metal – genre dont je ne suis pas très fan.

Qantice / Tempérance / Rhapsody à Lyss

Ce vendredi, c’était donc départ en famille – avec ma dame, son frère et la copine dudit frère. Destination: la Kultur Fabrik de Lyss pour un concert de Luca Turilli’s Rhapsody, avec Temperance et Qantice.

« Le train de la réalité », de Roland C. Wagner

Quand j’ai dis faire du rattrapage sur l’œuvre de Roland C. Wagner, je le fais jusqu’au bout (oui, je sais qu’il m’en reste encore plein à lire, à commencer par les Futurs mystères de Paris)! Acheté en même temps que Rêves de Gloire, Le train de la réalité de Roland C. Wagner est un complément à ce dernier composé de plusieurs textes de longueur variable, entre deux et une vingtaine de pages.

Melted Space: The Great Lie

Il y a métal symphonique et métal symphonique; The Great Lie, de Melted Space, appartient plutôt à la catégorie Métal Symphonique. Oui, avec des majuscules. C’est un projet qui, à l’instar des Ayreon de Anthony Arjen Lucassen, réunit plusieurs pointures du genre pour un metal-opera à grand spectacle autour du musicien français Pierre le Pape.

Monnaie de Singe: Error 404

Il y a des groupes qui attirent tout de suite la sympathie: découverte par une chronique de ProgCritique (mais Neoprog en avait aussi parlé), la formation française Monnaie de Singe (MDS pour les intimes) a eu la gentillesse de m’envoyer gracieusement une copie de leur troisième album, Error 404, alors que je demandais où le trouver en numérique. Seul payement demandé: aimer l’album.

Les restes du samedi: Forsaken World, Pseudo/Sentai, The Tirith

De nouveau pour ce samedi, trois groupes qui sont biens, mais qui ne sont pas à mon goût. À commencer par Forsaken World, du death-metal français, Pseudo/Sentai, qui donne dans le rock progressif expérimental, puis The Tirith, groupe anglais vintage de prog vintage, lui aussi.

« Rêves de Gloire », de Roland C. Wagner

Depuis le temps qu’on m’en parle, j’ai fini par lire Rêves de Gloire, le roman de Roland C. Wagner que beaucoup considèrent comme son « Grand-œuvre ». Il est vrai qu’avec ses huit cents pages en version poche, le bouquin se pose un peu là! Paru en 2011, c’est aussi, hélas, son dernier roman.

Forsaken World/The Erkonauts/Cosmosonic à Genève

Ales Campanelli, le bassiste et chanteur de The Erkonauts, a une habitude assez sympathique pour son anniversaire: il organise un concert de metal avec des potes. C’était déjà le cas l’année passée et, cette année, c’était le groupe français de death-metal mélodique Forsaken World et le stoner genevois de Cosmosonic qui encadrait sa formation, pour un concert 100% local et 100% metal à l’Écurie.

Hors Sujet: Nous n’y trouvons que le doute

Troisième billet de cette série consacrée aux groupes de post-rock français, toujours grâce à une recommandation de Fred Bezies, Hors Sujet est un autre projet autour d’un musicien, Florent Paris, de Toulouse. Son album, Nous n’y trouvons que le doute, se réclame d’une veine plus cinématique et intimiste.

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