Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Tag électro

Dead Can Dance: In Concert

J’ai hésité un long moment avant d’acquérir ce live de Dead Can Dance, simplement intitulé In Concert. J’aurais peut-être dû hésiter un peu plus, car je me suis retrouvé avec Anastasis en prime – et à double, du coup.

65daysofstatic: Wild Light

Double dose d’électro/post-rock, d’une part, et de 65daysofstatic, d’autre part, puisque voici Wild Light, dernier album studio en date du groupe anglais. Autant dire que, si le virage électro esquissé sur Silent Running est ici confirmé, Wild Light montre aussi un retour vers un aspect plus agressif.

Teeth of the Sea: MASTER

Soudainement, out of fucking nowehereTeeth of the Sea et son troisième album, MASTER. Quatuor londonien plutôt catégorisé dans le post-rock, il livre ici un opus à mi-chemin entre le post et l’électro, un croisement sauvage entre les mélodies les plus planantes de God Is An Astronaut et les parties les plus percutantes d’un Pendulum.

Cult of Luna: Vertikal II

Post-melodium à Vertikal (comme son nom l’indique), l’EP Vertikal II de Cult of Luna est un concentré de post-métal électronique, à la fois ultra-plombé, ultra-brutal et, pourtant, aérien. Il contient trois morceaux issus des sessions d’enregistrement de Vertikal, ainsi qu’une reprise/remix, pour un total de trente-cinq minutes.

James LaBrie: Impermanent Resonance

On reconnaît souvent les artistes de rock ou de métal progressif au fait qu’ils ont un, parfois deux groupes réguliers et environ mille douze projets parallèles. James LaBrie, chanteur de Dream Theater, n’est pas en reste et sort Impermanent Resonance, son troisième album sous son nom propre (plus deux sous le nom de Mullmuzzler).

Bruce Soord with Jonas Renkse: Wisdom of Crowds

Bruce Soord, c’est Pineapple Thief; Jonas Renkse, c’est Katatonia. Le premier écrit, le deuxième chante et mon tout, c’est Wisdom of Crowds, un album bizarroïde qui n’a à peu près rien à voir avec les deux groupes précités.

Dyonisis: Intoxicated

Parmi les choses très bizarres que j’ai pu écouter au cours de mes folles années, il y avait Bel Canto, un groupe de pop-rock-électro-avant-l’heure à voix féminines, dont je retrouve quelques intonations dans Intoxicated, le premier album des britanniques de Dyonisis.

King Crimson: The Power to Believe

J’admets: même si The Power to Believe est le dernier album en date de King Crimson, on ne peut pas vraiment dire que c’est une nouveauté, puisqu’il est sorti il y a dix ans. Mais, comme j’ai profité d’un raid sur Gibert Musique pour le ramasser (les albums du groupe n’étant pour la plupart pas disponibles en numérique) et, rebondissant sur une chronique récente de Ben Felten, j’en profite pour parler également du groupe dans son ensemble.

Mindless Self Indulgence: How I Learned to Stop Giving a Shit and Love Mindless Self Indulgence

Faut dire ce qui est: il n’y a que Mindless Self Indulgence pour intituler un album How I Learned to Stop Giving a Shit and Love Mindless Self Indulgence! On est assez dans le « comme son nom l’indique » pour ce groupe punko-whatever américain, spécialiste des provocations total con-délire.

Amaranthe: The Nexus

Cher Amaranthe,

La dernière fois qu’on s’était parlé – enfin, que je t’avais écrit – c’était pour ton premier album éponyme. Aujourd’hui, tu sors The Nexus et je me retrouve de nouveau perplexifié, mais pas pour les mêmes raisons.

Antimatter: Fear of a Unique Identity

J’ai acheté ce Fear of a Unique Identity, dernier album du groupe britannique Antimatter, avec une certaine appréhension: le précédent, Leaving Eden (qui date tout de même d’il y a cinq ans), m’avait laissé un souvenir mitigé, pour dire le mieux.

Elyose: Théogyne

Bonne année 2013, la foule! Pour cette première chronique de l’année nouvelle, inutile de prendre des gants: on se connaît, pas la peine d’y aller mollo au début, lançons-nous tout de suite avec un groupe de métal assez inhabituel: les Français de Elyose et leur premier album, Théogyne.

Of The I: Balance Instars

Parfois, on découvre des albums et des groupes – comme ce Balance Instars des Anglais de Of The I – dont on se dit « hmm, c’est pas mal, je me demande ce que valent leurs albums plus récents ». Et là, on découvre qu’il n’y en a pas. C’est un peu déprimant, même si ce n’est pas surprenant.

Mind.In.A.Box: Revelations

Avec ce Revelations, nouvel album du groupe autrichien de musique électronique Mind.In.A.Box, je suis déception. Ce n’est pas la première fois depuis le début de l’année, mais c’est comme pour tout, ça commence à lasser.

 

Aucan: Black Rainbow

La raison principale de cette chronique de Black Rainbow est que j’ai encore des souvenirs émus de l’album éponyme d’Aucan, groupe italien qui est passé en moins de deux ans du math-rock au dubstep, ce qui n’est pas vraiment mon style. Mais style ou pas, Aucan, ça poutre!

Alphaville: Catching Rays on Giants

Attention, metalheads, prog-fanatics et autres puristes des musiques non-commerciales: ceci est une critique de Catching Rays on Giants, le dernier album d’Alphaville. Oui, vous avez bien lu: le groupe pop allemand rescapé des années new wave.

Naïve: The End

Appeler son premier album The End, il faut le faire et les Toulousains de Naïve l’ont fait. Ils ont fait bien plus que ça et cet album est un des plus enthousiasmants et originaux que j’ai pu écouter depuis un… Continue Reading →

Moongarden: A Vulgar Display of Prog

Il faut parfois se méfier des idées reçues: quand on associe « rock progressif » et « Italie », on pense souvent à ce sous-genre particulier qu’est le rock progressivo italiano (RPI pour les intimes). Moongarden n’en fait pas partie et son dernier album… Continue Reading →

Pure Reason Revolution: Hammer and Anvil

Il fallait s’y attendre: Hammer and Anvil, nouvel album des Britanniques de Pure Reason Revolution, continue sur la lignée de Amor Vincit Omnia et s’oriente plus vers un électro-rock que vers le rock progressif de leurs débuts. Oh, certes, les… Continue Reading →

Pendulum: Immersion

Yo les frères et les sœurs, DJ Alias est dans la place! Vous avez gagné, j’ai perdu: Immersion, dernier album du groupe anglais de drum and bass Pendulum a fini par avoir, sinon ma peau, du moins ce qui reste de… Continue Reading →

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