Le dernier article de Cory Doctorow, A Vocabulary for Speaking about the Future, est un excellent complément à un texte dont je vous avais précédemment parlé sur la science-fiction en tant que littérature du présent
Ça paraît une évidence, mais un livre, ce n’est pas la même chose qu’un film, qu’une bande dessinée ou qu’un scénario de jeu de rôle.
Ça m’a pris un petit moment, entre les pauses-déjeuner au bureau et les pauses en Irlande, mais j’ai enfin terminé ma relecture et les corrections y relatives de la Campagne Lupanar.
Un article récent intitulé Two Approaches To Creating Plots: Dominoes, and Water sur le blog rôliste américain Gnome Stew a attiré mon attention parce qu’il exprime en une analogie très simple une intuition que j’avais déjà depuis un moment.
Ce billet fait suite à une série de messages entre Cédric Ferrand, moi et quelques autres sur la question de la création de jeu de rôle, par opposition à l’écriture de scénarios pour des jeux existants.
Ça faisait un moment que j’attendais ce passage, un de ceux qui m’avaient le plus marqué dans la prose san-antonienne, et comme je viens de le lire dans De « A » jusqu’à « Z », je n’hésite pas à vous le resservir tel que.
Je ne résiste pas à partager avec vous ces quelques extraits de Messieurs les hommes, un San-Antonio vieille époque (1955), qui est à mon avis un des premiers dans lequel éclate réellement le « style San-A ». Le rififi est à son… Continue Reading →
Bon, ce n’est pas tout à fait exact, mais, ces derniers jours, j’ai passé pas mal de temps à étoffer et modifier la campagne lupanar pour en faire quelque chose de plus immédiatement utilisable par quelqu’un qui ne soit pas… Continue Reading →
La citation du jour, aussi anonyme que douloureusement vraie:
“Being a good writer is 3% talent, 97% not being distracted by the internet. »
Dans son dernier billet en date, Éric Nieudan, biclassé rôliste/romancier, parle de sa méthode d’écriture, dite méthode Zaitoichi. Je vous la fais courte: l’idée est de vaincre l’angoisse de la feuille blanche en écrivant « à l’aveugle »: sans voir d’écran ou de support. C’est plutôt malin et, pour moi qui n’ai absolument aucune méthode d’écriture sinon de jeter des mots sur le premier traitement de texte venu, ça m’impressionne toujours un peu.
Après la récente discussion « Le jeu de rôle est potentialité », j’ai passé un certain temps à rechercher un texte que j’avais écrit en 2002 – un de mes premiers textes de « jeuderôlogie » – sur le concept de trames adaptatives. J’ai dû le mentionner en passant dans un des commentaires.
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