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Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Tag écriture

Wattpad et Atramenta, écriture et lecture en ligne

Depuis quelques temps, je voyais passer pas mal de messages de mes collègues en écriture, que ce soit des blogueurs comme Greg ou Ploum ou des co-diasporistes sur Framasphère, qui discutaient de deux plateformes pour les auteurs et les lecteurs, avec un accent sur le libre: Wattpad et Atramenta.

Veilleur meuh!

Bon, nous sommes donc en 2015, alors on va faire bref: Bonne année à tous!

Sur Blog à part, 2014 se traduit par la bagatelle de 312 billets, dont près de la moitié a été consacrée à des chroniques musicales – disques ou concerts – et plus d’une soixantaine de livres et de bandes dessinées. Ce qui fait à peu près six billets par semaine: à peu près tous les jours, sauf le dimanche, en gros. Bon rythme.

Ceux que je n’ai pas chroniqués

Parfois, on me demande comment je fais pour tout chroniquer. Ça me fait un peu rire: même si j’arrive à afficher un rythme de publication semi-régulier, je suis loin d’être un de ces blogueurs qui balancent trois articles de cinq cents mots avant le petit-déjeuner. La vraie vérité authentique véritable, c’est que je ne chronique pas tout ce que je lis, écoute ou regarde.

Ray’s Day: c’est aujourd’hui

Petite piqûre de rappel aux ceusses qui n’ont pas vu mes quelques 167 messages sur ce sujet, ces derniers jours: aujourd’hui, c’est le Ray’s Day, fête de la lecture, des lecteurs et des auteurs. C’est même la première du genre, lancée par Neil Jomunsi et soutenue par un certain nombre d’auteurs – dont votre serviteur.

City Hall: écrire avec l’Histoire

Autour du premier avril, emboîtant le pas à une série de délires facebookiens de Romain d’Huissier, j’annonçais que j’allais, cette année, travailler sur un projet qui ne serait pas en rapport avec Tigres Volants. Rires dans l’assistance.

“Some Remarks”, de Neal Stephenson

J’aime bien Neal Stephenson, mais il faut reconnaître que, surtout ces dernières années, il a la prose un peu envahissante. Du coup, je me suis intéressé à Some Remarks, un ouvrage de taille raisonnable (un peu plus de trois cents pages) qui regroupe une petite vingtaine de textes courts: interviews, conférences, nouvelles et autres articles.

Ray’s Day: fêtons la lecture

Je crois vous avoir déjà dit que Neil Jomunsi est un grand malade. Déjà, c’est l’auteur de Jésus contre Hitler, un jalon dans l’histoire de la bargitude littéraire. Ensuite, il est à l’origine du Projet Bradbury, qui est aussi un joli plan de cinglé. Cette semaine, voila-t-y pas qu’il lance Ray’s Day, une fête de la lecture, des lecteurs et des auteurs, le 22 août prochain.

Erdorin: À la recherche de la suite perdue

Il y a très longtemps – c’était encore le XXe siècle – Psychée, Jess et moi-même lancions un projet de bande dessinée dans l’univers de Tigres Volants: Erdorin, chroniques de l’Arbre-Monde. Ceux qui ont suivi l’affaire vont sans doute, à ce stade, hocher la tête d’un air triste, entendu, ou les deux.

Lâcher prise de l’obligation de revenu

Petite nouveauté sur Blog à part: voici un article invité, signé Thomas MunierPersonne ne vit du jeu de rôle. C’est une litanie que j’entends souvent. Le jeu de rôle ne serait pas rentable pour ses acteurs. Il existe pour autant quelques contre-exemples.

“Demain”: écrire un programme politique

Comme beaucoup de gens de ma génération (c’est-à-dire dans une tranche d’âge de ±15 ans par rapport à moi) avec qui je discute, j’ai l’impression de plus en plus forte que les partis politiques ne s’adressent pas à moi. Ce qui explique peut-être pourquoi j’ai bêtement oublié de voter aux dernières élections cantonales…

Les projets d’un auteur flemmard

Dans la série “demain, je commence ma thèse sur la procrastination” et pour compléter ce dont je parlais dans le compte-rendu de Zone franche, un petit mot pour parler de mes quelques projets d’écriture.

Zone franche Bagneux 2013

Si je vous parle d’une convention de science-fiction sise dans la salle des fêtes d’une petite cité de la banlieue parisienne, vous êtes en droit de supposer qu’il s’agit là d’un événement mineur. Les figures de style étant ce qu’elles sont, vous faites erreur : Zone franche est un festival majeur.

 

Ce que je n’aime pas lire en science-fiction

Malgré les commentaires de mes collègues et amis sur mon caractère aigri et ronchon – commentaires pas totalement dénués de fond et imputables à ma nature de Genevois et à mon âge – je pense être raisonnablement bon public. Certes, j’aime râler, mais il est rare que je tombe sur un truc qui ne me plaise pas. Rare, mais pas impossible: là, je viens de tomber sur un bouquin de science-fiction francophone   qui est limite douloureux.

Les auteurs de science-fiction contemporains ont-ils peur de l’avenir?

Et boum! Encore un (semi) pavé signé Charles Stross que cet essai intitulé SF, big ideas, ideology: what is to be done? et résumé par Warren Ellis en “Charles Stross tabasse la SF avec un bâton merdeux”. Merci, Warren…

Irrwisch Terminal: leçons et suite

J’avais prévenu: ma nouvelle Irrwisch Terminal dans l’univers de Tigres Volants était une expérimentation à plus d’un niveau. D’une part, au niveau de la méthode d’écriture: un premier jet plus ou moins écrit à l’arrache, dans le train entre la Belgique et Genève. Ensuite au niveau de l’envie d’écrire de la fiction dans un format un peu plus accessible au lecteur lambda que des scénarios de jeu de rôle.

Irrwisch Terminal, une nouvelle dans l’univers de Tigres Volants

Bon, je ne vais pas continuer à tourner autour du pot (blague eyldarin) plus longtemps: la nouvelle dont je vous parlais en début de semaine est en ligne, sous le titre Irrwisch Terminal. J’avoue: le titre n’est pas vraiment l’élément qui me satisfait le plus dans ce texte.

“Les figures de San-Antonio”, de Raymond Milési

C’est un peu ce qu’on appelle une “tête de gondole”: si je n’avais pas vu ce livre, Les figures de San-Antonio, signé Raymond Milési, je ne me serais sans doute jamais intéressé à la série de science-fiction “Delcano” du même. À croire que c’était calibré pour moi – ce qui est le signe d’un excellent marketing.

Tigres Volants: Écriture en roue libre

“Au commencement, il y avait une île. Après, il y a eu un starport, mais les choses sont un peu plus compliquées que cela. OK, mauvais exemple : les choses sont toujours plus compliquées, surtout quand on doit gérer dix mille ans d’histoire, avec des Eyldar, des Atlani et des Siyani. Ah, et maintenant, de Terriens. Ne pas oublier les Terriens : d’abord, parce que ça les vexe, mais surtout parce que, pour donner des coups de pieds dans la fourmilière, ils sont très forts.”

Ainsi commence un texte que je me suis soudainement mis à écrire vendredi, dans le train entre Bruxelles et Marloie.

Le retour des bas(-résille) de pages

J’ai déjà dû vous le dire une ou trente fois, mais à la demande générale (de brigade), la “campagne lupanar” verra le grand retour des citations idiotes de bas de page, présentes dans le livre de base de Tigres Volants et dans le livret de l’écran, mais disparues dans les Bibliothèque tachyonique pour cause de refonte de mise en page.

Lupanar par design

Ça faisait un petit moment que je ne vous avais pas parlé de la campagne lupanar. Ça avance. Billet suivant!

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