Il y a des jours où la musique me parle. Et il y a des jours un peu tous les jours. Dans le cas présent – et même si je ne suis pas convaincu par l’ensemble – ce sont deux morceaux en particulier de Endless Forms Most Beautiful, le dernier album de Nightwish, « Alpenglow » et « The Greatest Show on Earth », qui m’ont inspiré ce petit texte de fiction.
Oui, ça me fait un peu bizarre à moi aussi, mais aujourd’hui, je vais vous parler d’un appareil photo: plus précisément du Sony DSC RX100II, celui-là même que j’ai emmené il y a une semaine au concert d’Epica et qui, disons le, m’a bien bluffé.
Il y a des fois où je devrais me méfier de mon enthousiasme. À dire vrai, je soupçonne que je devrais toujours me méfier de mon enthousiasme. Témoin mon départ pour cette nouvelle édition du Night of the Prog Festival, sis au Loreley Freilichtbühne, dans la vallée du Rhin.
Deuxième jour du festival Night of the Prog. Le lendemain matin, pas de repos pour les braves – ou si peu : on reprend la route de l’amphithéâtre pour midi.
Et c’est donc reparti pour le Night of the Prog Festival treize groupes et vingt-deux heures de rock progressif dans un des plus beaux sites du monde.
Eh oui, carrément deux compte-rendus de concert à la suite, car après Dawn jeudi, je suis allé voir le Naheulband, en concert à Montreux pour Polymanga (et encore: j’ai hésité à aller voir sleepmakeswaves, qui passait à Genève hier soir, mais j’étais trop crevé).
Celui-la, je ne m’y attendais pas. Pas que j’ignorais la résurgence de Dawn, groupe de rock progressif suisse romand dont j’avais beaucoup apprécié le premier album, Loneliness. Mais leur concert au Chat Noir de Carouge a été annoncé genre la veille.
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