Il y a des jours comme ça où, au hasard d’un mot-clé, on découvre des trucs bizarres. Témoin un article de Progressive Area sur Backdrop, le dernier album en date de The Healing Road, décrit comme étant « pour les fans de Mike Oldfield ». C’est en même temps très vrai et très optimiste.
Lorsque j’avais chroniqué Reset, le précédent album de Crystal Palace, j’avais espéré que ce groupe de néo-prog allemand fasse preuve à l’avenir d’un peu plus d’originalité. Je n’ose espérer avoir été entendu, mais sans aller jusqu’à parler d’originalité, The System of Events, leur nouvelle production, se démarque quelque peu de leurs influences les plus évidentes.
Psychoanorexia de T est un album qui m’impressionne et m’enthousiasme, une sorte de panorama de quarante ans de rock progressif.
Vu que je compte aller les voir en concert ce soir, il serait peut-être bon que je vous parle de The Flood Inside, le nouvel album de Long Distance Calling. Quintette allemand donnant dans le post-rock en grande partie instrumental, avec cet album il semble décidé à mettre le rock avant le post.
Deuxième album de Frames, formation allemande de post-rock instrumental, In Via corrige un certain nombres de faiblesses de Mosaik, son premier album, et apporte quelques changements de directions, parfois bienvenus, mais aussi plutôt convenus. C’est un peu dommage, quelque part, mais pas rédhibitoire non plus.
Ce coup-ci, c’est pas moi qui suis responsable du jeu de mot pourri qu’est cet album Veritas du groupe de néo-prog allemand Invertigo, album que je découvre grâce à la critique parue récemment sur Progressive Area. Bon, j’avoue que ça a un peu joué aussi.
J’aime bien RPWL. C’était déjà le cas avant, avec leurs albums World Through My Eyes et The RPWL Experience, ça l’était encore plus depuis leur prestation satirique au Night of the Prog et c’est un fait définitivement acquis avec Beyond Man and Time, leur nouvel album studio.
Niveau fréquentation de ce blog, je me rends bien compte qu’en chroniquant des albums de rock progressif réellement obscurs, comme ce Mind Travelling de Emerald Cave, je cherche, sinon la bagarre, du moins l’obscurité. Je le sais: j’ai recherché d’autres critiques, en vain.
Vous n’allez pas y couper: la comparaison entre Sceneries, le nouvel album de Sylvan, et leur fabuleux Posthumous Silence est beaucoup trop tentante. Même rock progressif tendance néo-prog, même style de concept-album, à peu près le même ton musical. Après deux albums studios plus plan-plan dans leur structure, mais musicalement plus variés, le groupe allemand reviendrait-il à ses fondamentaux?
Ceux qui lisent ces pages savent que j’aime bien la musique de Tangerine Dream, surtout celle des années 1980. Du coup, vous ne serez sans doute pas trop étonné d’apprendre que j’ai acheté A Thousand Times, un des albums les plus récents de Johannes Schmoelling.
Je ne suis pas fan des vocaux féminins dans le rock progressif, mais il y a des exceptions et Ghost, dernier album du groupe allemand Frequency Drift, en est une de taille.
C’est rien de dire que d’aller de Genève à la riante métropole Sankt Goarshausen, non loin du site de la Lorelei, est une expédition : trois changements de train, plus de huit heures de trajet. Rien que du bonheur !
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