Si vous cherchez le contraste maximum avec les derniers albums chroniqués ici-même, ne cherchez pas plus loin que Valtari, le petit dernier de Sigur Rós. Le quatuor islandais, catalogué « post-rock » faute de mieux, nous livre ici une galette dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle donne dans l’ambiante.
Cela fait un petit moment que je me suis intéressé au réseau social Diaspora. Lancé en 2010, au moment des premières sérieuses alertes sur ce que l’on qualifiera charitablement de libertés prises par Facebook avec les données privées de ses utilisateurs, l’idée d’avoir un réseau social open-source et décentralisé faisait du sens.
Après deux « gros » mois en mai et juin, le bilan Flattr pour juillet retombe à des niveaux beaucoup plus modestes: €1.81 de revenus pour (toujours) €5 de dons. Chose étonnante: presque tous les dons reçus concernent des articles plutôt anciens.
La confession de prog-head du jour: je n’aime pas trop The Flower Kings, ce groupe suédois emblématique du courant que j’appelle rétro-progressif. Voilà, c’est dit. Maintenant, par curiosité, j’ai écouté Banks of Eden, leur nouvel album, et j’avoue être déçu en bien (traduit du Suisse, ça veut dire « agréablement surpris »).
Il y a des bouquins dont on achève la lecture avec une banane irrépressible ; Ready Player One, premier bouquin de Ernest Cline, est de ceux-ci. On y parle de jeux vidéo, de réalité virtuelle, de passage à l’âge adulte et des années 1980 ; ceci explique sans doute cela.
Le plan du week-end était : monter à Colmar (quatre heures de train) et y retrouver Ghislain pour la « Hard Rock Session » de la Foire aux Vins, qui consiste en la bagatelle de cinq groupes de métal, dont trois du type « à chanteuse ». À savoir les régionaux Lonewolf et Nightmare, suivis par Epica, Within Temptation et Nightwish. Beau programme.
Hier soir, après le traditionnel barbeuque du samedi soir, nous avons regardé Ghost Rider: Spirit of Vengeance. Ça devait arriver: à force de s’enquiller des séries de films de superhéros, on devait finir tomber sur un qui n’est pas terrible – à se demander même comment ça se fait que la proportion ne soit pas inverse.
À force de faire des billets sur les articles de Calimaq, je vais peut-être finir par suivre son blog S.I.Lex… Toujours est-il que le dernier en date, intitulé Réforme du droit d’auteur et financement de la création : il est temps de passer à l’offensive !, est encore une lecture incontournable pour qui s’intéresse aux droits d’auteur.
Il semblerait que, dans le pseudo-courant que je nomme « rétro-progressif », la tendance actuelle semble osciller entre Genesis Van Der Graaf Generator – ce qui, en terme de rock progressif « dinosaurien », est un peu le grand écart. Témoin ce Fantastic Dreamer, du trio américain Temporal Chaos Project – ou TCP pour les intimes.
On ne change pas une équipe qui gagne: la quatrième saison de la Flander’s Company reprend très exactement les mêmes éléments des deuxième et troisième saisons, tout en y rajoutant un petit coup de volant scénaristique classique, certes, mais toujours efficace.
Ces jours, la planète n’a d’yeux que pour Londres et la collection de jeunes personnes déguisés en panneaux publicitaires sous couvert de sport, événement désigné sous le terme de Jeux olympiques (JO pour les intimes). Je mets le lien officiel rien que pour les embêter, vous verrez pourquoi.
Chapitre final de la trilogie consacrée à Batman par le réalisateur Christopher Nolan, après Batman Begins et The Dark Knight, c’est peu dire que The Dark Knight Rises était attendu. C’est une relecture modernisée et « réaliste » du personnage, dans un monde très noir, et qui commence d’ailleurs sur une séquence surprenante: un Bruce Wayne physiquement diminué, vivant en reclus depuis huit ans et qu’une série d’événements le visant personnellement va enfin faire sortir de sa retraite.
Overhead, groupe de rock progressif finlandais, est pour moi une découverte récente, puisque je n’ai acquis leur premier album, And We’re Not Here After All, qu’en mai de cette année. Du coup, je rattrape le temps perdu avec Of Sun and Moon, qui est leur dernier album en date, sorti il y a quelques semaines à peine.
Et allez, avec 20/20, le nouvel album de Saga, c’est encore un groupe phare du rock progressif mâtiné AOR des années 1980 (de mes années 1980, en tous cas) dont je vais vous causer. À la différence du précédent – Asia, pour ceux qui auraient oublié – Saga est un groupe qui, à ma connaissance, n’a jamais fait de mauvais albums (Steel Umbrellas étant juste médiocre).
La souscription de la campagne « Le Secret du Domaine des trois sources » est désormais close et se conclut sur la bagatelle de 158% de financement!
Il faut vraiment que je sois un fanboy de Nicolas Bouvier pour qu’il me fasse acheter un bouquin qui parle de vanille! Au reste, Une orchidée qu’on appela vanille est somme toute une œuvre mineure de l’écrivain genevois, tant par sa longueur (une petite centaine de pages écrit gros) que par son contenu et qui est presque plus intéressant par son contexte et son histoire que par son contenu.
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