S’il y a bien un projet Tigres Volants sur lequel je n’ai pas beaucoup travaillé jusqu’à récemment, c’est bien les mises à jour du Tigres Volants Central, le site officiel de Tigres Volants. Oui, je viens de placer trois fois « Tigres Volants » en une phrase (et quatre fois dans ce paragraphe), ça va être bien pour mon SEO, sinon pour mon style…
The Gathering est un groupe que je suis depuis pas-ses-débuts-mais-presque (l’album Mandylion, pour être précis, qui reste encore mon préféré) et je dois avouer que j’ai un petit peu du mal avec ses évolutions récentes. Avec Disclosure, le dernier en date, j’ai l’impression de retrouver en partie le groupe que j’aimais bien.
Old Man’s War, le premier roman de John Scalzi, c’est de la science-fiction militaire dans un contexte de space-opéra, avec une différence majeure: le héros, John Perry, s’engage dans les Forces de défense coloniales à l’âge de septante-cinq ans.
Okay, celui-ci est bizarre. Oui, même pour moi. Il s’agit donc de Invicta, le nouvel album de The Enid, un de ces groupes de rock progressif britanniques à la fois légendaire et obscur (certain diront « légendaire, parce qu’obscur ») qui a traversé près de quatre décennies en sous-marin (avec un gros passage en plongée entre 1999 et 2007).
J’ai acheté ce Fear of a Unique Identity, dernier album du groupe britannique Antimatter, avec une certaine appréhension: le précédent, Leaving Eden (qui date tout de même d’il y a cinq ans), m’avait laissé un souvenir mitigé, pour dire le mieux.
Cet hiver, j’ai enfin pu combler une lacune dans ma culture SF en (re)lisant l’intégrale de la série des Lensman, signée Edward Elmer Smith (plus connu sous le nom de « Doc Smith »). Lacune d’autant plus frustrante que j’en avais lu les trois premiers en français il y a très longtemps, parus dans une collection qui atteint aujourd’hui des sommets de rareté et dont je n’avais jamais pu trouver la suite.
La grande question qui semble tarabuster pas mal de chroniqueurs qui se sont frottés à Nightingale Express, le premier album du groupe néerlandais A Liquid Landscape, c’est de savoir si c’est du rock progressif ou non. La réponse évidente, pour ma part, s’échelonne entre « on s’en fout » et « c’en est si je le décide », mais, pour être très honnête, si ça n’en est pas, c’est quand même vachement bien imité.
La Sorcière de l’Ouest (sous-titré Astraea’s Testament) est un de ces animés dont on se demande assez régulièrement d’où il veut en venir, de quoi il parle réellement, voire, sérieusement, WTF quoi merde! Quelque part, c’est très japonais dans la tendance au nawak qui ne sait pas trop ce qui se veut.
Cette année, j’ai décidé de ne pas faire de bonnes résolutions. À la place, je préfère me concentrer sur les deux que j’avais déjà mises en place en 2011 et en 2012, à savoir éviter d’acheter des gadgets inutiles et me débarrasser du bordel qui encombre.
Vous aurez peut-être noté que ce blog accueille pas mal de chroniques sous l’appellation « séance rattrapage DVD ». La raison en est que beaucoup de films – notamment des dessins animés – tendent à rester à l’affiche au ciné pendant trop peu de temps pour que je puisse les voir dans de bonnes conditions (une séance en VF 3D à 11 h du matin ne compte pas). C’est le cas de Brave, la production la plus récente des studios Pixar.
C’est donc dans le plus complet désordre que je conclus, avec ces Chroniques birmanes, le « quadriptyque » autobiographique de Guy Delisle, dessinateur de bande dessinée et animateur en dessin animés, globe-trotteur pour des raisons d’abord professionnelles, puis familiales. Chronologiquement, il se situe entre Pyongyang et les Chroniques de Jerusalem.
Cette fois-ci, si j’ai reçu pour Nawel les quatre premiers volumes de Judge Dredd, The Complete Case Files, un des monuments de la bande dessinées britannique et de la bande dessinée de science-fiction tout court, on va dire que c’est de la faute au site io9. Et aussi à un certain pote anglais de l’époque du CLIC, dont le nom rime avec « Martin Jennings », mais que je ne citerai pas ici; il se reconnaîtra.
Je suis un peu ennuyé avec All the Wars: j’ai déjà dit tellement de bien de The Pineapple Thief, groupe anglais de rock progressif, dont les deux précédents albums Tightly Unwound et Someone Here Is Missing m’avaient enthousiasmé, que je me retrouve quelque peu perplexifié à l’écoute de ce nouvel album.
Dans le petit monde des webséries SF ou fantastiques françaises, Le visiteur du futur est une des plus connues, mais manquait à mon palmarès. C’est désormais corrigé, grâce à l’indigence crasse des programmes télé en ces périodes de fêtes.
Comme quoi tout arrive: ce Mind Colours, des Italiens de SoulenginE est une découverte enthousiasmante à mettre au crédit de Progarchives. Bon, je suis un peu méchant, mais mes derniers achats sur la recommandation de ce site s’étant souvent révélées décevantes, je me méfiais.
Mes lecteurs vont finir par croire qu’on couche, mais Lionel « Ploum » Dricot vient encore de pondre un article qui me fait sautiller sur ma chaise en hurlant mon approbation. Dans le cas présent, Mais qui paie la publicité ? s’interroge sur la pertinence de la publicité en ligne.
Le titre complet de cette bande dessinée est « Moi, René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag IIB« ; elle est signée Jacques Tardi, fils de. C’est un résumé et, dans le genre biographie qui décape, c’est du lourd!
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