Nouveau tome (le cinquième), nouvelle rentrée pour Les Cavaliers de l’Apocadispe. Et, donc, nouvelles catastrophes à grand spectacle pour le trio infernal et leur plans géniaux.
Comme ça fait un petit moment que je ne vous ai pas reparlée de cette bande dessinée, signée Libon, Les Cavaliers de l’Apocadispe, c’est trois gamins, Ludo, Jé et Olive, qui font des bêtises, dans un genre quelque part entre Le Petit Nicolas et Tex Avery.
Que ce soit lorsqu’ils veulent réparer une voiture, construire une cabane dans les arbres ou juste sauter par-dessus une branche au moyen d’une catapulte, on peut être sûr que ça va tourner à la catastrophe, avec des enchaînements calamiteux se terminant par des gens décalqués sur les murs. Ou sur une lessiveuse en panne.


Si j’ai lus tous les tomes de cette série, je me rends compte que je ne les ai pas tous chroniques parce que, soyons honnête, il n’y a pas grand-chose à en dire ici que je n’ai pas déjà mentionné dans un des billets précédents.
La formule est connue et Libon la déroule de façon très satisfaisante, mais ça reste dans la veine des précédents. Peut-être la seule « petite » nouveauté, c’est la présence d’une assez longue aventure – une trentaine de page.
Alors, OK, c’est pour les enfants, à la base. Mais pas que et, perso, j’ai beaucoup rigolé. Entre les hyperboles et les ellipses, c’est assez mon genre d’humour. Je vous recommande donc Les Cavaliers de l’Apocadispe si vous aimez les histoires avec des bêtises hyperboliques.
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