Deux mille vingt-quatre

Bon, ben voilà: on est en 2024. Je voyais ça plus grand. Mais bon, je soupçonne que la phrase-clé de ce début de XXIe siècle, c’est très probablement « l’avenir n’est plus ce qu’il était ». La nostalgie non plus.

J’espère que 2023 a été meilleure pour vous que pour moi. On ne va pas se mentir: elle ne va pas être dans mon Top 10 de mes meilleures années. Probablement pas la pire non plus, mais entre le boulot en mode turbostress pour cause d’Assemblée, le départ de notre vieille mimine et mes projets ludico-littéraires en rade, ce n’est pas exactement la joie dans la Casa de Alias. En plus, j’ai la crève. Snurfl.

J’ai quand même quelques motifs de satisfaction. Déjà, mis à part la goutte au nez sus-mentionnée, ma santé est raisonnablement bonne. Déjà, je ne suis pas mort. En plus, cette année a été extrêmement productive en terme de photos et de vidéos. Et j’ai pas mal de clichés dont je suis vraiment contents – des vidéos aussi, d’ailleurs, même si le public ne suit pas vraiment.

Bon, sans vouloir jouer au jeu des bonnes résolutions, j’ai quand même l’intention de faire deux-trois trucs de cette année. Hormis les projets qui continuent, comme ce présent blog et Radio-Erdorin, j’aimerais bien avancer sur Erdorin:2300; OK, ça ne dépend pas entièrement de moi, mais il y a des trucs hors mécaniques que je pourrais bosser dans mon coin.

Et puis j’aimerais faire une refonte des romans Erdorin, Chroniques de l’Arbre-monde. « Refonte », parce que ça implique de retravailler l’ordre des chapitres pour y intégrer plus d’éléments qui se passent avant l’Exil. Ces éléments sont importants pour l’histoire, parce qu’ils expliquent en grande partie ce qui se passe dans le troisième tome de la trilogie. Ou, à tout le moins, ils le mettent en contexte.

Bon, dans un premier temps, je vais déjà essayer de survivre au méchant virus qui transforme mes fosses nasales en fosses sous-marines (et non pas sous-marines) et essayer de dormit un peu entre deux repas gargantuesques.

Demain sera une autre année. OK, techniquement, aujourd’hui est déjà une autre année, mais vous voyez ce que je veux dire.

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2 réflexions au sujet de “Deux mille vingt-quatre”

  1. Non mais ça a l’air plus petit, mais ya un jour en plus, tu vas voir, ça va bien se passer (bon, c’est un peu moche, il tombe un jeudi, ça pouvait pas être un dimanche là, qu’on se retrouve pas à travailler un jour de plus?) Non, ce qui serait inquiétant, ce serait de voir des pixels dans le décor…

    Compassion pour la crève. On a un Machin à la maison qui nous refile tous ses virus en pétant (lui) la forme…

    Allez, on se retrouve au 31 décembre prochain ?

    Répondre

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