Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Category Musique

C’est peut-être un peu exagéré: j’y parle de métal – mais aussi de rock progressif, de post-rock et de plein d’autres genres entre les deux, à côté, dans les parages ou complètement à l’ouest.

Sugarfields à Genève

Ce sont un peu les hasards des rézosocios qui m’ont mis sur la piste de ce concert de Sugarfields, dans la microscopique salle du Bouffon de la Taverne. Le nom est récent, mais les lecteurs se souviendront peut-être que j’avais chroniqué un concert de Primasch il y a un peu plus de deux ans: c’était le même endroit, au sous-sol de la Taverne de la République.

Teramaze: Her Halo

En écoutant l’album Her Halo de Teramaze, je me suis demandé qui pouvait bien faire un métal progressif aussi soigné et aussi bien foutu. Un rapide coup d’œil sur la chronique de Neoprog qui m’avait incité à m’y intéresser a confirmé mes soupçons: des Australiens. Encore. Y’a un nid.

Breaking Orbit: Transcension

Il y a peu de choses plus frustrantes qu’un album attendu qui ne tient pas ses promesses. C’est le cas de Transcension, le deuxième album du groupe australien de métal progressif Breaking Orbit, groupe dont j’avais sélectionné le précédent album, The Time Traveler, comme album de l’année en 2012.

Forsaken World/The Erkonauts/Cosmosonic à Genève

Ales Campanelli, le bassiste et chanteur de The Erkonauts, a une habitude assez sympathique pour son anniversaire: il organise un concert de metal avec des potes. C’était déjà le cas l’année passée et, cette année, c’était le groupe français de death-metal mélodique Forsaken World et le stoner genevois de Cosmosonic qui encadrait sa formation, pour un concert 100% local et 100% metal à l’Écurie.

Hors Sujet: Nous n’y trouvons que le doute

Troisième billet de cette série consacrée aux groupes de post-rock français, toujours grâce à une recommandation de Fred Bezies, Hors Sujet est un autre projet autour d’un musicien, Florent Paris, de Toulouse. Son album, Nous n’y trouvons que le doute, se réclame d’une veine plus cinématique et intimiste.

GrimLake: Atlas Hands

En matière musicale, l’ami Fred Bezies a souvent raison. Bon, pas toujours, mais quand il souligne l’impressionnant foisonnement du post-rock français, notamment avec ce Atlas Hands de GrimLake, ce n’est pas moi qui vais lui donner tort.

Collapse: The Fall

Le nom du groupe comme le titre de l’album annoncent la couleur: The Fall de Collapse, c’est du gros post-rock cinématique sur thème de catastrophe. J’arrive dessus après la bataille – après surtout que Fred Bezies ait écrit un article dithyrambique dessus – mais j’aurais déjà dû le voir passer à l’époque de sa sortie, vu que Neoprog et Clair & Obscur l’avaient chroniqué.

Les restes du samedi: Last Chance to Reason, Selene, Vly

Hop, commençons la nouvelle année en reprenant les pratiques de la précédente avec cette troisième édition des « restes du samedi », avec aujourd’hui trois mini-chroniques d’albums pas mauvais, mais pas suffisamment enthousiasmants pour que je me lance dans un billet entier: Last Chance to Reason, Selene et Vly.

« The Grey » de Stömb, mon album de l’année 2015

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On ne va pas chipoter: même s’il est techniquement sorti en octobre 2014, l’abum The Grey du groupe français Stömb est, à mon avis, le meilleur album de 2015! La formation parisienne nous a sorti ici un petit bijou de métal instrumental, entre progressif et post-metal, qui réussit l’exploit de durer une heure sans jamais lasser.

Heir Apparent: One Small Voice

Tiens, ça faisait longtemps que je ne vous avais pas fait un billet « Cabinet des curiosités » sur un vieux truc pas ou mal connu! Un peu plus de quatre ans, à vrai dire. Avec One Small Voice, du groupe américain Heir Apparent, c’est un retour au tout début du métal progressif que je vous propose aujourd’hui.

Enshine: Singularity

Trois jours avant la fin de l’année et voici un sérieux concurrent au titre d’album de l’année: les death-prog-métalleux suédois de Enshine et leur dernier album en date, Singularity, découverts grâce à Angry Metal Guy.

Profusion: Phersu

Les étiquettes, c’est pratique, mais il y a des fois où on se retrouve face à un album qui jongle avec les styles et rend une identification absolue difficile. C’est le cas des Italiens de Profusion et de leur nouvel album, Phersu, qui propose un rock progressif aux frontières avec le métal progressif, à moins que ce ne soit le contraire.

Jethro Tull / Ian Anderson: Thick as a Brick 1 & 2

Le passage chez Gibert Musique, début novembre, est parfois pour moi l’occasion de ramasser quelques classiques, en profitant d’actions à vil prix. C’est ainsi que j’ai raflé Thick as a Brick, de Jethro Tull – un des albums cultes du rock progressif des années 1970 – ainsi que sa suite, parue en 2012 sous le seul nom de Ian Anderson.

Iron Maiden: The Book of Souls

Il doit y avoir quelque chose dans l’air, mais le nouvel album d’Iron Maiden, The Book of Souls, est juste le troisième que je chronique qui se présente sous la forme d’un double CD. Ce qui est d’ailleurs une première, en trente-cinq ans d’existence, pour un album studio de ces géants du heavy-metal britannique.

IO Earth: New World

Avec New World, le groupe britannique de rock progressif IO Earth – que j’avais découvert avec leur précédent album Moments et en live au Night of the Prog cette année – n’a pas fait dans le détail et nous propose un concept-album symphonique sous la forme d’un double CD. Carrément.

Ozric Tentacles: Technicians of the Sacred

Hier, je vous parlais de Quantum Fantay, digne représentant de cette variante de space-rock qui touche au rock progressif. Il est à peu près impossible d’évoquer ce genre musical sans parler de Ozric Tentacles, à la fois dans le rôle du grand-père et du gorille de huit cents livres. Le hasard a voulu que, dans le même temps que j’achetais Dancing in Limbo, j’ai également acquis Technicians of the Sacred, leur nouvel album.

Quantum Fantay: Dancing in Limbo

Décidément, on n’arrête plus les space-rockers belges de Quantum Fantay: je n’avais pas sitôt chroniqué leur précédent album que voici Dancing in Limbo!

 

Nad Sylvan: Courting the Widow

Si vous connaissez un peu le rock progressif, Nad Sylvan est un chanteur suédois que vous connaissez sans doute sans le connaître (moi je l’ai vu récemment au Night of the Prog) et c’est un peu pareil pour la musique de son album, Courting the Widow.

 

Gazpacho: Molok

Gazpacho est un groupe bizarre. Bon, OK, il y a le nom, mais pas que. Il y a aussi un amour pour les concepts bizarres et pour une musique lente, mais qui sait distiller des ambiances inquiétantes. Molok, leur dernier album en date, en est la preuve.

Dead Soul: In The Darkness/The Sheltering Sky

Or donc, il y a deux semaines, je faisais connaissance avec le duo électro-western suédois Dead Soul, qui passait en première partie de Ghost à L’Usine. Dans la foulée, j’achetais leurs deux albums, In the Darkness et The Sheltering Sky, principalement parce que leur musique me rappelle un de mes groupes préférés des années 1980: Wall of Voodoo.

 

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