Convention de La Horde 2019
Les conventions se suivent et ne se ressemblent pas: après Ludesco et sa démesure de l’autre côté de la Romandie, ce samedi avait lieu la convention de La Horde, au Grand-Lancy.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Les conventions se suivent et ne se ressemblent pas: après Ludesco et sa démesure de l’autre côté de la Romandie, ce samedi avait lieu la convention de La Horde, au Grand-Lancy.
Comme le temps passe vite: déjà la dixième édition de Ludesco, la convention qui, le temps d’un (gros) week-end, transforme la cité neuchâteloise de La Chaux-de-Fonds en salle de jeux géante.
Japan Impact a ouvert les portes de sa onzième édition à l’EPFL ce week-end. Et, comme d’habitude, j’ai sorti le matos photo et joué les journalistes embedded auprès de ma cosplayeuse d’épouse.
Il est samedi matin, je prends le train pour Monthey – proverbiale terre de mes ancêtres – et la Convention du Dé qu’a dents, le club de jeux chablaisien. Si vous avez lu le live report d’hier, vous aurez complété: “je prends le train à Aarau”. Un petit détour, mais ça en valait (sans jeu de mot) la peine.
Et nous voici reparti pour Sion et pour Destination Tokyo, la plus grande des petites conventions cosplay de Suisse! Enfin, c’est un peu plus compliqué que ça: vu que j’ai traîné toute cette semaine une méchante bronchite, j’ai décidé de rejoindre ma dame que le samedi matin.
Ce week-end, premier d’octobre, c’était la désormais habituelle convention OctoGônes, à Lyon. Je dis « désormais habituelle » parce que ça fat bien la sixième à laquelle je participe avec les amis et collègues de 2D Sans Faces.
Salins-les-Bains, vous connaissez? Moi non plus. Enfin, jusqu’à ce samedi et ma présence aux Journées du Livre à la médiathèque de cette petite ville du Jura français. J’y étais invité pour présenter le jeu de rôle Freaks’ Squeele: faire des parties, mais pas seulement.
En théorie, le week-end de la Japan Expo aurait dû être studieux, avec multiples parties de Freaks’ Squeele dans l’antre des otakus. Comic-Con staïle, quoi. Ça ne s’est pas fait, du coup ma dame et moi y sommes allés en touristes.
Il semble qu’une “évolution pokémon” classique des conventions en Suisse romande implique de relocaliser l’événement au Palais de Beaulieu, à Lausanne. Après Polymanga et Japan Impact, c’est le cas cette année du Swiss Fantasy Show. Précédemment hébergée au Théâtre de Beausobre (et dans l’école voisine), à Morges, la manifestation geek bisannuelle est donc venue garer …
Si vous habitez en Suisse romande et que vous n’avez jamais entendu parler de Polymanga, la convention geeko-japonaise annuelle qui prend ses quartiers à Montreux le week-end de Pâques, c’est que vous habitez sous un gravillon au fin fond de la Brévine ou de la campagne genevoise.
Ce week-end, ma dame et moi avons récidivé sur le doublé FIJ/Magic: le vendredi et le dimanche à Cannes pour le Festival international des jeux – je vous en reparle demain – et le samedi à Monaco pour la quatrième édition du Monaco Anime Game International Conferences (MAGIC pour les intimes).
Vendredi matin, je me baisse pour ramasser la fourre de mon laptop – un bidule qui doit tout de suite peser ses huitante grammes tout mouillé – et je me pète le dos. Samedi matin: je suis à l’EPFL pour Japan Impact, édition 2018, avec six kilos de matos photo sur le dos, un badge presse autour du cou et toujours les lombaires en vrac. Oui, je suis un peu con.
J’aurais pensé que Destination Tokyo eut été la dernière convention cosplay de la saison, j’avais tort: il y avait encore Japan Cosplay. À ma décharge, je n’aurais jamais pensé qu’un tel événement puisse se dérouler pendant les Automnales de Genève.
Donc, vendredi passé, c’était concert (et c’était cool). Le lendemain, un tunnel du Lötschberg plus tard (plus ou moins) et je retrouve ma cosplayeuse d’épouse (avec Psychée dans ses bagages) à Sion pour Destination Tokyo, édition 2017 de la convention japonaise bisannuelle du Valais.
À l’origine, il y avait un Plan Génial: retourner à la Japan Expo pour y faire des démos de Freaks’ Squeele, le jeu d’aventures.
En même temps que la saison des conventions de jeux revient, celle des conventions geeks à forte coloration japonaise également: à preuve, cette édition 2017 de Japan Impact, qui déboule une semaine après Orc’idée.
Et voici encore un week-end bien intense qui s’achève avec le Swiss Fantasy Show, édition 2016, au Foyer de Beausobre de Morges. Après le concert de 65daysofstatic de vendredi et, hier, une visite au Geneva Beer Festival, ça commence à faire beaucoup pour les vieux.
S’il existe un rendez-vous incontournable de la pop-culture asiatique – animés, manges, cosplay, jeux vidéos, web séries et autres – en Suisse romande, c’est bien Polymanga. Enfin, quand je dis “incontournable”, je n’y vais qu’une année sur deux et encore: pas pendant les quatre jours qu’elle dure. D’ailleurs, cette année, je n’y suis allé que le samedi – pour accompagner ma cosplayeuse d’épouse.
Cette année, petit changement de programme pour notre traditionnelle escapade cannoise: le samedi, nous avons délaissé le FIJ pour aller voir la convention MAGIC, à Monaco. MAGIC, c’est pour Monaco Anime Game International Conferences; cette édition 2016 était la deuxième de la formule.
Ce week-end, c’était la troisième édition de Destination Tokyo – De-To pour les intimes – une convention japonaise perdue au fin fond du Valais. Enfin, à Sion, qui est juste la capitale cantonale, mais bon: en vrai Bas-Valaisan, je considère tout ce qui est au-delà de la Morge de Conthey, c’est le fin fond du Valais.