En fouillant dans mes archives, je m’aperçois que je ne vous ai jamais parlé de cet excellent webcomic qu’est Sinfest. J’ai dû le mentionner sur mon ancien site, Alias dedans, mais c’est vieux de chez vieux et ça mérite une vraie chronique.
Visiblement, les récits d’anticipation à cinquante ans dans l’avenir sont à la mode. En même temps, ce n’est pas très étonnant. Après Walkaway, voici une bande dessinée française, Résilience, dont le premier tome, Les terres mortes, vient de sortir.
Je viens de finir le dernier roman de Cory Doctorow, Walkaway. Il est très bien, il est très dense et, du coup, cette chronique va également être quelque peu massive. Et ce n’est pas seulement dû au fait que le français est un langage verbeux.
En l’an 48 avant notre ère, Brutus vient rendre visite à son père adoptif, l’ancien général Caius Julius Caesar, devenu aveugle après avoir reconquis la Sicile contre les esclaves en fuite de Spartacus. La visite n’a rien d’anecdotique: les armées de Cléopâtre marchent sur Rome. Faisant suite de La République des Esclaves, L’Aigle et le Cobra est le vingt-huitième tome de la collection Jour J qui traite d’uchronies en bande dessinées.
L’invention de Louis Zèdre-Rouge, un rayon qui permet de voyager à travers la matière solide, aurait pu lui assurer gloire et fortune, mais l’accident qui a causé la mort de sa bien-aimée Emerance, fille du magnat de Funcal, a signé sa perte. Mais était-ce vraiment un accident? C’est ce que vous saurez en lisant L’homme qui traversa la Terre, de Robert Darvel!
Lorsque j’ai ramassé le premier tome de Injection chez mon nouveau fourgue habituel en matière de comics US – Tanigami, vu que le Paradoxe Perdu a défuncté – je dois dire que je ne m’attendais à pas grand-chose. Certes, il y a Warren Ellis au scénario – raison pour laquelle je l’ai pris, d’ailleurs – mais ce dernier n’est pas toujours une valeur sûre.
C’est une petite bande dessinée qui a fait le buzz ces temps-ci: Imbattable, paru dans Spirou, vient de sortir en premier album, avec un titre éloquent: Justice et légumes frais, sous la plume et les crayons de Pascal Jousselin.
Quand on parle de Howard Philip Lovecraft, je m’attire toujours des regards noirs de la part de certains de mes collègues rôlistes quand je dis que je n’aime pas ses écrits – et j’ai du mal aussi avec le bonhomme, d’ailleurs. Du coup, qu’est-ce qui m’a poussé à acheter ce H.P.L., de Roland C. Wagner?
Début mai 1945, dans le Tyrol autrichien, un château va devenir le théâtre d’un des derniers affrontements de la Seconde Guerre mondiale. C’est le sujet de The Last Battle, un livre d’histoire de Stephen Harding.
À bord du paquebot Infinity, en partance pour la galaxie d’Andromède, la vie se déroule paisiblement, jusqu’à ce que le vaisseau spatial rencontre un immense champ de débris. C’est le point de départ de huit histoires, d’où son titre: Infinity 8.
En continuant à fouiller dans notre bibliothèque, en préparation de notre déménagement, je suis tombé sur un autre bouquin de Robert Heinlein que je n’avais pas lu, L’enfant tombé des étoiles.
C’est rare que je n’aime pas un bouquin, c’est encore plus rare que je finisse avec une impression qui ne peut guère se résumer autrement que par « dafuq? » How to Live Safely in a Science-Fictional Universe, de Charles Yu, entre pourtant dans cette catégorie.
Il y a bien un an de cela, je faisais un article pour partager mes lectures – en cours ou terminées sur Wattpad. Un an, c’est long, surtout quand on a mon rythme de lecture. Du coup, voici un nouveau coup de projecteur sur les textes que j’ai découvert depuis, sur Wattpad (surtout) et aussi sur Scribay.
Iskander était un janissaire, un esclave-soldat au service des Turcs, jusqu’à ce qu’il s’évade, en compagnie d’un prince valache, un certain Vlad. C’est le point de départ des Ombres de Constantinople, le dernier tome en date de la série uchronique Jour J, avec toujours Jean-Pierre Pécau à la manœuvre.
Tout commence par le massacre d’enfants dans un petit village en Suède, la nuit de Walpurgis. Martin Gudesønn, capitaine de la police de Stockholm, enquête et ne tarde pas à se rendre compte que certaines personnes au sommet de l’État pourraient être derrière ce massacre et que, comme il y a un survivant, elles pourraient bien ne pas s’arrêter là.
En cette année 1878, dans la ville (fictive) de Rapid City – quelque part dans le nord-ouest de ce qui n’est pas encore les États-Unis – vit Karen Memery, l’héroïne quasi-éponyme du roman d’Elizabeth Bear Karen Memory.
J’ai une épouse extraordinaire. Déjà parce que c’est mon épouse et qu’il faut au minimum être extraordinaire pour me supporter au quotidien, mais aussi parce que grâce à elle, j’ai pu enfin lire Les croisades vues par les Arabes, excellent livre d’Histoire signé par Amin Maalouf.
Je devrais me réjouir que ce cinquième « épisode » de la bande dessinée Mermaid Project conclue le cycle. Au lieu de ça, je me retrouve quelque peu déçu après la lecture de ce dernier tome. Lors de ma chronique de l’épisode précédent, j’espérais pour celui une conclusion et des réponses, mais au final, si ce tome boucle en effet l’affaire en cours, il ne le fait que de façon peu satisfaisante.
Ce n’est pas un titre, c’est une profession de foi: Le Grand n’importe quoi, de J.M. Erre est un roman qui emprunte plus au pastiche surréaliste qu’à la science-fiction, une sorte de fable absurde qui est à la fois une tarte à la crème et un grand cri d’amour envers la littérature en générale et celle de l’imaginaire en particulier.
Bon, autant faire péter le suspens immédiatement: Apex, conclusion de la trilogie Nexus de Ramez Naam, est une digne conclusion de ce techno-thriller d’anticipation transhumaniste. Pour poser les choses, il commence par un échange nucléaire généralisé. Enfin, pas tout à fait, mais c’est pour dire.
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