Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Category Lectures

Les mots que je lis (avec ou sans images).

« The Berlin Project », de Gregory Benford

Au début des années 1940, alors que la guerre fait rage en Europe (et ailleurs), les États-Unis commencent à s’intéresser à l’utilisation militaire de l’atome. Parmi eux, un chimiste, Karl Cohen, parvient à convaincre le général Leslie Groves, coordinateur du projet, de privilégier une méthode permettant d’avoir une bombe rapidement. C’est le point de départ du roman uchronique The Berlin Project, de Gregory Benford.

Jour J, tomes 32 et 33: Sur la Route de Los Alamos

Été 1945: les scientifiques du Projet Manhattan, cloîtrés dans un bled perdu au fin fond de l’Arizona, travaillent d’arrache-pied à la réalisation du « gadget », la bombe atomique. Mais Robert Oppenheimer a des doutes et ces doutes vont l’amener à croiser la route de Jack Kerouac. Ainsi commencent Sur la Route de Los Alamos et Opération Downfall, trente-deuxième et trente-troisième tomes de la série uchronique Jour J.

Warship Jolly Roger, tome 4

Le quatrième et dernier tome de la série Warship Jolly Roger s’intitule « Dernières volontés » est, une fois encore, à l’image de son titre. On arrive au bout de cette histoire de vengeance, il va y avoir des morts et ça ne va pas être propre.

Fédération, tome 1

Les extra-terrestres sont venus, une fédération stellaire de plusieurs peuples, pacifique et bienveillante. Ils ont proposé que la Terre rejoigne cette fédération après un simple test. Sauf que les Terriens ont échoué à ce test. C’est le contexte que propose ce premier tome de Fédération, scénarisé par Ange avec Alain Janolle au dessin.

« Soonish », par Kelly et Zach Weinersmith

Quand on parle de l’avenir, on parle souvent des technologies qui vont changer le monde ou de celles qui vont le transformer en pur cauchemar. C’est rare qu’un livre prenne le parti de faire les deux. Ce livre s’intitule « Soonish » et il est signé par Kelly et Zach Weinersmith.

« À nos amis »

Il y a pas loin de dix ans, je chroniquais dans ces pages un ouvrage que je qualifiais d’OVNI: « L’Insurrection qui vient ». Aujourd’hui, je m’attaque à sa « suite », « À nos amis », toujours signée par ce mystérieux « Comité invisible ».

San-Antonio chez les Gones

Moi, vous me connaissez? Je suis fan de San-Antonio depuis des temps immémoriaux – comme le prouve d’ailleurs cette introduction. Du coup, quand on m’annonce une adaptation en bande dessinée de San-Antonio chez les Gones, un des romans de la… Continue Reading →

« À la Moldue », de Camille Gillet

Bonjour, mon nom est Alias et j’ai lu une fanfic Harry Potter (BONJOUR ALIAS!). Il s’agit de À la Moldue, signée Camille Gillet et diffusée sur Wattpad. Non seulement ça, mais 1) je l’ai grave kiffée, 2) je vais la chroniquer alors qu’elle est en cours de publication et 3) je vais utiliser l’expression « grave kiffer » alors que j’ai plus de cinquante ans.

« Remanence », de Jennifer Foehner Wells

Remanence, de Jennifer Foehner Wells, est un roman de science-fiction qui fait suite à Fluency, que j’avais chroniqué en ces pages, avec une conclusion entre enthousiasme et déception. Je dois avouer que cet enthousiasme est quelque peu retombé à la lecture de ce deuxième tome.

Jour J, tomes 29, 30 et 31: Le Prince des Ténèbres

Ces derniers temps, la série de bande dessinée uchronique Jour J a décidé de jouer la carte des épisodes. Après le triptyque Omega, cette nouvelle série, également en trois parties, s’intitule Le Prince des Ténèbres. Son premier tome annonce la couleur: les fêtes de la nouvelle année 2005 à New York avec, bien visibles, les tours jumelles du World Trade Center.

« La Horde du Contrevent », d’Alain Damasio

J’ai coutume de dire que le monde est rempli de classiques que je n’ai jamais vus, lus ou entendus. La Horde du Contrevent, roman d’Alain Damasio, semble faire partie de cette catégorie, si j’en juge par le nombre de gens que je connais qui l’ont lu. Il était donc temps de combler cette lacune-ci.

« Insistence of Vision », de David Brin

Je viens de réaliser que Insistence of Vision est le deuxième bouquin de David Brin que je me tape en l’espace d’un mois. C’est Gromovar qui, il y a presque deux ans, en avait fait une critique enthousiaste et qui m’a incité à le commander.

« Zombies vs Unicorns »

Je n’aime pas les zombies, j’ai un intérêt très limité pour les licornes, expliquez-moi donc pourquoi je me suis retrouvé à lire l’anthologie Zombies vs Unicorns, présentée par Holly Black (Team Zombie) et Justine Larbalestier (Team Unicorn)?

« God Is Disappointed in You », de Mark Russell et Shannon Wheeler

Qui parmi mes lecteurs ont lu la Bible? Vraiment lu, j’entends: l’Ancien et le Nouveau Testament, tous les livres évangiles et autres textes divers. Peu, j’imagine. C’est un peu pour ceux-ci que Mark Russell (Too Much Coffee Man) a écrit God Is Disapppointed in You, un ouvrage qui, en gros, réécrit le canon chrétien sans les bouts chiants.

« Tombé les voiles » (Prix Mille Saisons 2018)

Dernière fournée en date du Prix Mille Saisons, organisé par Le Grimoire, le recueil Tombé les voiles contient une vingtaine de nouvelles sur toute la gamme des littératures de l’imaginaire: du fantastique contemporain, du med-fan, du steampunk, de la science-fiction et pas mal de mélanges et de bizarreries somme toute assez réjouissantes.

« Adar : Retour à Yirminadingrad »

Yirminadingrad. Une cité entre Asie et Europe, quelque part dans l’ancien Caucase soviétique, cartographiée originellement par Léo Henry et (feu) Jacques Muchielli, dont j’avais vaguement entendu parler au hasard de mes contacts et que j’ai découvert via Adar, quatrième livre de la série, offert par Laurent Kloetzer – qu’il en soit ici publiquement remercié!

« Face aux Démons », d’Étienne Bar

Après les événements de La Ballade de Fronin, le jeune guérisseur est de retour auprès des Édrulains, mais le happy end du volume précédent n’en est un qu’en apparence. Comme son nom l’indique, Face aux Démons, deuxième roman dans l’univers des Folandes signé Étienne Bar, détaille quel est le prix à payer.

« La Ballade de Fronin », d’Étienne Bar

Un jeune noble exilé par son père qui rejoint un groupe de forbans au grand cœur, un monde d’archipels avec des dragons, de la magie, des nains, des elfes et un méchant empire: dit comme ça, La Ballade de Fronin, roman d’Étienne Bar, ressemble à un gros mélange d’influences mal digérées – pour ne pas dire de clichés. Ce n’est pas tout à fait exact.

« Extinction Game », de Gary Gibson

Jerry Beche est le dernier homme vivant sur une Terre dévastée par une arme biologique. Un jour, alors qu’il va vérifier ses éoliennes, il remarque des traces de bottes dans la neige. Ce début de Extinction Game, de Gary Gibson, est tellement un cliché que même le protagoniste le note. La suite de ce roman, par contre, est nettement moins banale.

« Les Commutants », de Nicolas Alucq

Dans un avenir mal défini, mais définitivement cyberpunk et déglingué, Kal vivote de petits boulots à la légalité discutable: piratage informatique, intrusion, intimidation, tout ce qui peut lui rapporter de quoi payer bouffe et médocs. Et, quand son esprit vagabonde, il « commute », se projetant dans un univers virtuel de fantasy. C’est le point de départ de Les Commutants, roman de Nicolas Alucq.

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