Au début des années 1940, alors que la guerre fait rage en Europe (et ailleurs), les États-Unis commencent à s’intéresser à l’utilisation militaire de l’atome. Parmi eux, un chimiste, Karl Cohen, parvient à convaincre le général Leslie Groves, coordinateur du projet, de privilégier une méthode permettant d’avoir une bombe rapidement. C’est le point de départ du roman uchronique The Berlin Project, de Gregory Benford.
Été 1945: les scientifiques du Projet Manhattan, cloîtrés dans un bled perdu au fin fond de l’Arizona, travaillent d’arrache-pied à la réalisation du « gadget », la bombe atomique. Mais Robert Oppenheimer a des doutes et ces doutes vont l’amener à croiser la route de Jack Kerouac. Ainsi commencent Sur la Route de Los Alamos et Opération Downfall, trente-deuxième et trente-troisième tomes de la série uchronique Jour J.
Le quatrième et dernier tome de la série Warship Jolly Roger s’intitule « Dernières volontés » est, une fois encore, à l’image de son titre. On arrive au bout de cette histoire de vengeance, il va y avoir des morts et ça ne va pas être propre.
Les extra-terrestres sont venus, une fédération stellaire de plusieurs peuples, pacifique et bienveillante. Ils ont proposé que la Terre rejoigne cette fédération après un simple test. Sauf que les Terriens ont échoué à ce test. C’est le contexte que propose ce premier tome de Fédération, scénarisé par Ange avec Alain Janolle au dessin.
Quand on parle de l’avenir, on parle souvent des technologies qui vont changer le monde ou de celles qui vont le transformer en pur cauchemar. C’est rare qu’un livre prenne le parti de faire les deux. Ce livre s’intitule « Soonish » et il est signé par Kelly et Zach Weinersmith.
Il y a pas loin de dix ans, je chroniquais dans ces pages un ouvrage que je qualifiais d’OVNI: « L’Insurrection qui vient ». Aujourd’hui, je m’attaque à sa « suite », « À nos amis », toujours signée par ce mystérieux « Comité invisible ».
Moi, vous me connaissez? Je suis fan de San-Antonio depuis des temps immémoriaux – comme le prouve d’ailleurs cette introduction. Du coup, quand on m’annonce une adaptation en bande dessinée de San-Antonio chez les Gones, un des romans de la… Continue Reading →
Bonjour, mon nom est Alias et j’ai lu une fanfic Harry Potter (BONJOUR ALIAS!). Il s’agit de À la Moldue, signée Camille Gillet et diffusée sur Wattpad. Non seulement ça, mais 1) je l’ai grave kiffée, 2) je vais la chroniquer alors qu’elle est en cours de publication et 3) je vais utiliser l’expression « grave kiffer » alors que j’ai plus de cinquante ans.
Remanence, de Jennifer Foehner Wells, est un roman de science-fiction qui fait suite à Fluency, que j’avais chroniqué en ces pages, avec une conclusion entre enthousiasme et déception. Je dois avouer que cet enthousiasme est quelque peu retombé à la lecture de ce deuxième tome.
Ces derniers temps, la série de bande dessinée uchronique Jour J a décidé de jouer la carte des épisodes. Après le triptyque Omega, cette nouvelle série, également en trois parties, s’intitule Le Prince des Ténèbres. Son premier tome annonce la couleur: les fêtes de la nouvelle année 2005 à New York avec, bien visibles, les tours jumelles du World Trade Center.
J’ai coutume de dire que le monde est rempli de classiques que je n’ai jamais vus, lus ou entendus. La Horde du Contrevent, roman d’Alain Damasio, semble faire partie de cette catégorie, si j’en juge par le nombre de gens que je connais qui l’ont lu. Il était donc temps de combler cette lacune-ci.
Je viens de réaliser que Insistence of Vision est le deuxième bouquin de David Brin que je me tape en l’espace d’un mois. C’est Gromovar qui, il y a presque deux ans, en avait fait une critique enthousiaste et qui m’a incité à le commander.
Je n’aime pas les zombies, j’ai un intérêt très limité pour les licornes, expliquez-moi donc pourquoi je me suis retrouvé à lire l’anthologie Zombies vs Unicorns, présentée par Holly Black (Team Zombie) et Justine Larbalestier (Team Unicorn)?
Qui parmi mes lecteurs ont lu la Bible? Vraiment lu, j’entends: l’Ancien et le Nouveau Testament, tous les livres évangiles et autres textes divers. Peu, j’imagine. C’est un peu pour ceux-ci que Mark Russell (Too Much Coffee Man) a écrit God Is Disapppointed in You, un ouvrage qui, en gros, réécrit le canon chrétien sans les bouts chiants.
Dernière fournée en date du Prix Mille Saisons, organisé par Le Grimoire, le recueil Tombé les voiles contient une vingtaine de nouvelles sur toute la gamme des littératures de l’imaginaire: du fantastique contemporain, du med-fan, du steampunk, de la science-fiction et pas mal de mélanges et de bizarreries somme toute assez réjouissantes.
Yirminadingrad. Une cité entre Asie et Europe, quelque part dans l’ancien Caucase soviétique, cartographiée originellement par Léo Henry et (feu) Jacques Muchielli, dont j’avais vaguement entendu parler au hasard de mes contacts et que j’ai découvert via Adar, quatrième livre de la série, offert par Laurent Kloetzer – qu’il en soit ici publiquement remercié!
Jerry Beche est le dernier homme vivant sur une Terre dévastée par une arme biologique. Un jour, alors qu’il va vérifier ses éoliennes, il remarque des traces de bottes dans la neige. Ce début de Extinction Game, de Gary Gibson, est tellement un cliché que même le protagoniste le note. La suite de ce roman, par contre, est nettement moins banale.
Dans un avenir mal défini, mais définitivement cyberpunk et déglingué, Kal vivote de petits boulots à la légalité discutable: piratage informatique, intrusion, intimidation, tout ce qui peut lui rapporter de quoi payer bouffe et médocs. Et, quand son esprit vagabonde, il « commute », se projetant dans un univers virtuel de fantasy. C’est le point de départ de Les Commutants, roman de Nicolas Alucq.
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