Crusader Kings III: une dynastie plus tard…
Je suis arrivé jusqu’à la fin de Crusaders Kings III, en 1453, avec ma dynastie irlandaise. Le voyage était cool, la destination… un peu moins.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Avec des vrais gens dedans, des vrais faits, de la vraie science et des vrais morceaux de politique.
Je suis arrivé jusqu’à la fin de Crusaders Kings III, en 1453, avec ma dynastie irlandaise. Le voyage était cool, la destination… un peu moins.
J’avais entendu parler de cette anthologie, Au Bal des Actifs, à sa sortie, début 2017. J’ai fini par l’acheter et la lire dans la foulée.
Étrange petit bouquin que ce Les Ruines de Paris en 4908, d’Alfred Franklin. D’abord pour son concept, qui est résumé par le titre, mais aussi par son histoire.
C’est – sans surprise – par le forum 1940 La France Continue que j’ai appris l’existence d’un numéro de la revue française Historia consacré à l’uchronie.
Ce billet d’humeur n’est pas consacré au déboulonnage de statues. En fait, la principale statue est ici plus métaphorique: il s’agit de Warren Ellis.
Si Roma Æterna avait réellement été éternelle? Les douze nouvelles de Semper Lupa, recueil signé Meddy Ligner, tentent de répondre à cette question.
J’ai tardé à chroniquer le troisième et dernier tome de Moi, René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag IIb. Une première lecture m’avait laissé perplexe.
Il y a quelques années, le hasard a voulu qu’à quelques mois de distance, deux blogs me parlent d’ouvrages de Gilles Thomas, spécialiste des catacombes.
Comment je suis devenue anarchiste, d’Isabelle Attard, est un livre que j’ai lu en un peu moins de deux heures. Autant dire que c’est une chronique à chaud.
Avec “Station Metropolis Direction Coruscant”, Alain Musset s’intéresse à la représentation des villes et leur réalité sociale dans la science-fiction.
En 2013, David Graeber avait publié un essai sur les “bullshit jobs”. Avec le livre “Bullshit Jobs”, il revient sur cette notion de façon plus structurée.
Il y a des défaites qui ont le goût de la victoire: le 26 novembre 1989, il y a trente ans, 35% des votants demandaient l’abolition de l’armée suisse.
Ça faisait longtemps que je n’avais pas lâché un de mes coups de gueule de vieux gauchiste. Heureusement, il y a les gens qui publient de la merde sur Facebook.
J’ai quelque peu révisé mon gauchisme primaire avec ce court Traité d’économie hérétique, de Thomas Porcher.
Le climat change, la planète se réchauffe et c’est collectivement de notre faute. Voilà, c’est un fait et si vous n’êtes pas d’accord, vous pouvez tout de suite arrêter de lire. Ce changement climatique est une chose, ce qui est plus difficile à admettre c’est qu’avec ce changement, il va falloir un changement de mentalité majeur, comme celui que décrit Tristan Nitot dans sa dernière note de blog, intitulée Le déni.
Ces derniers jours, j’ai vu passer deux documents venant de deux sources différentes et qui parlent d’action concrètes pour lutter contre le changement climatique.
À la fin de ce mois, le peuple suisse devra voter sur la dernière initiative débile en date de l’UDC. Ça vire à la tradition: le parti populiste, ou un de ses séides, lance une initiative populaire bien démago sur un sujet sensible, reformule le bazar de façon à faire croire que La Nation Est En Danger, ou un truc du genre, et on est obligé de voter sur un nouvel étron.
Il n’y a pas que pour les monarques républicains et les forêts arctiques que l’été est chaud, cette année. Des sites de financement participatif ont connu quelques déboires ces derniers temps, déboires qui motivent, directement et indirectement, ce billet.
Un certain Tonton, dont je partage nombre des idées, a encore été viré d’un groupe Facebook pour avoir posté à rebrousse-poil de l’opinion majoritaire, défendue par les admin et clairement inscrite dans le règlement du groupe : les sujets trop “politiques” et leurs militants seront exclus pour ne pas déranger les discussions légitimes.
Il y a quelques années, Thierry Crouzet a décidé de faire un break, de “débrancher”. Il en a profité pour écrire un livre sur le sujet, mais ce n’est pas de celui-ci dont je vais vous parler. En effet, il a aussi écrit “Ya Basta”, un essai quelque peu pamphlétaire, manifeste pour l’autogestion en réponse à notre société actuelle.