Foin des séries kilométriques, avec USA über alles, Jean-Pierre Pécau a le bon goût de signer un triptyque uchronique dont le troisième et dernier tome, sous-titré « L’Ombre rouge », vient donc de sortir ces jours.
C’est l’histoire de cinq potes qui essayent de finir la tournée des douze pubs de leur patelin natal, vingt ans après, en terminant par celui qui s’appelle The World’s End. Et c’est là que les extra-terrestres envahissent la Terre.
Stupor Mundi, vingt-quatrième tome de la série uchronique Jour J et suite du vingt-deuxième, L’Empire des Steppes, reprend les choses là où elles étaient restées. À Karakorum, l’ambassade chrétienne auprès du Grand Khan ne se passe pas très bien: Guillaume, le moine franciscain, et son maître Matteo, sont esclaves des Mongols et ils voient arriver Renaud, le frère de Guillaume et Aleksander, le mercenaire.
Il y a des commémorations plus joyeuses que d’autres, celles autour de la guerre 14-18 le sont assez modérément. Si le commun des mortels a une assez bonne idée de l’horreur de ce conflit, des ouvrages comme ce 1914, de Jean-Yves Le Naour, met en lumière des aspects peu connus en se concentrant sur cette seule année.
Captain America: Civil War, dernier épisode cinématographique de l’univers étendu Marvel, répond à une question qui tarabuste souvent les amateurs d’histoire de super-héros: qui garde les gardiens? Ou, pour être plus précis, que se passe-t-il quand on demande aux gardiens d’être eux-mêmes gardés?
Pour quelqu’un qui prétend ne pas être patriote, je dois quand même avouer un intérêt certain pour les productions suisses, surtout quand elles concernent des sujets qui m’intéressent, comme ce Futurs insolites, une anthologie suisse de science-fiction et de fantastique, dirigée par Elena Avdja et Jean-François Thomas.
Qu’obtient-on quand on mélange du post-apo, du western et des combats de sabre façon film de Hong-kong? Une série télé assez surprenante intitulée Into the Badlands et qui parle surtout de gens qui aimeraient bien sortir des badlands en question.
Troisième tome de la série Crown of Slaves, dérivée du Honorverse, Cauldron of Ghosts renoue avec l’improbable duo d’agents spéciaux Victor Cachat et Anton Zilwicki. Si on retrouve un autre duo à l’écriture – David Weber et Eric Flint – le ton est clairement plus sombre que dans les deux premiers.
OK, qui d’entre vous n’a jamais vu les films Evil Dead, de Sam Raimi et avec Bruce Campbell? À part moi, s’entend, je n’ai vu que le troisième, Army of Darkness. Bref, sachez qu’il existe désormais une série télé, Ash vs Evil Dead, où Bruce Campbell reprend son rôle de Ash, trente ans plus tard, et s’en retourne buter du mort-vivant avec fusil à pompe et tronçonneuse.
Imaginons que, demain, on apprenne que non seulement le peuple féerique existe, mais qu’il revient parmi les hommes, avec sa propre technologie parallèle à la nôtre et des tonnes de solutions pour les problèmes de notre temps. C’est, à peu de choses près, le propos de Techno Faerie, de Sara Doke.
Il y a plusieurs décennies, les premières sondes spatiales américaines ont repéré, dans la ceinture d’astéroïdes entre Mars et Jupiter, quelque chose qui pourrait bien être un vaisseau spatial. Dans Fluency, premier roman de la série Confluence écrit par Jennifer Foehner Wells, les premiers astronautes arrivent en vue du vaisseau, dans le plus grand secret.
J’avoue: je n’ai pas d’idée cette année pour un poisson d’avril, alors je me dis qu’autant faire la chronique d’une série bien tarte à la crème, à savoir Galavant, dont la deuxième saison vient d’être diffusée aux USA. J’avais beaucoup aimé la première et je me réjouissais à l’avance de ce renouvellement.
Ma lecture de Shadow of Freedom part d’un malentendu: j’ai cru qu’il s’agissait du nouveau tome de la saga de science-fiction Honor Harrington, de David Weber. Or, si cet ouvrage se déroule bel et bien dans le Honorverse, il s’agit d’une série annexe intitulée Saganami Island.
Quatrième et dernière saison pour Continuum, la série canadienne de voyage dans le temps de Simon Barry qui met en scène Kiera Cameron, une policière de 2077, propulsée à notre époque en même temps qu’un groupe de révolutionnaires qui comptent bien changer l’histoire.
Pour ce vingt-troisième tome – eh oui, déjà! – la série uchronique Jour J nous offre une balade loin de ses habituels rivages franco-américains: La République des Esclaves traite en effet de la rébellion de Spartacus, en 71 avant notre ère et imagine le destin de son armée d’esclaves qui réussit à s’embarquer pour la Sicile et y fonder une république indépendante.
Parue dans un seul volume avec Legion, The Emperor’s Soul est une autre nouvelle – une novella, pour être précis – de Brandon Sanderson, très différente du précédent, puisque se déroulant dans un contexte fantastique orientalisant, à la cour de l’empereur d’une nation genre Chine-avec-de-la-magie.
Stephen Leeds, le protagoniste de Legion, novella de Brandon Sanderson, vit seul dans un grand manoir. Seul, avec un majordome. Et aussi, JC, Ivy, Tobias et beaucoup d’autres personnes – à ceci près que ces dernières n’existent pas vraiment: ce sont des hallucinations.
Nexus, la drogue éponyme du roman d’anticipation de Ramez Naam, est un peu plus qu’une simple drogue: un outil pour augmenter les capacités du cerveau, le mettre en réseau avec d’autres utilisateurs de Nexus et même un système d’exploitation neurologique; en résumé, c’est la porte ouverte vers la transhumanité. Et c’est bien là, le problème.
En rédigeant cette chronique du dixième tome des Notes de Boulet, intitulé Le pixel quantique, je m’aperçois que j’ai fait l’impasse sur le neuvième. Et sur pas mal d’autres, également. Bon, ce n’est pas très grave: en règle générale, si c’est Boulet, c’est bien.
Au cours de mes études d’histoire, j’ai eu l’occasion d’étudier les complots, les conspirations et autres sociétés secrètes. C’est pourquoi, quand j’en ai lu la chronique de Tristan Lhomme sur Hugin & Munin, j’ai eu envie de lire La Synarchie, signé de l’historien français Olivier Dard.
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