Tales from the Borderlands

Tales from the Borderlands

Les soldes de Steam, c’est le Mal pour le porte-monnaie, mais c’est le Bien pour le gamer qui a quelques jours de vacances devant lui. C’est dans cette optique que j’ai raflé Tales from the Borderlands, un jeu d’aventure genre “point-and-click” qui se déroule, comme son nom l’indique, dans l’univers de Borderlands.

Borderlands: The Pre-Sequel

Borderlands: The Pre-Sequel

C’est avec un plaisir non dissimulé (comprendre: une banane visible depuis l’orbite) que j’ai repris le chemin de Pandora. Pas celui d’Avatar, mais plutôt la planète SF/post-apo décalée du jeu vidéo de tir à la première personne Borderlands: The Pre-Sequel qui, comme son nom l’indique, est la suite-qui-se-passe avant de Borderlands 2.

Nuclear Throne

Nuclear Throne

Le dernier bidule sur lequel je passe trop de temps, aussi appelé “jeu vidéo”, c’est Nuclear Throne, un jeu du développeur indie Vlambeer publié sur Steam, au look pseudo-vintage (gros pixels et résolution en 320×200) et au thème post-apo. On (= quelqu’un sur Casus NO) me l’a vendu comme un Rogue-like et, s’il possède quelques points communs avec ce genre que j’aime bien, il n’a en fait pas grand-chose à voir.

 

Ceci ne parle pas d’éthique dans le journalisme

Il est peu probable que vous ayiez pu échapper à la tempête fécale du nom de GamerGate. Je n’ai pas vraiment envie de m’étendre sur le caractère ultra-vomitif de toute cette affaire. Par contre, j’aimerais pointer vers un article du site Popehat, intitulé Ten Short Rants About #GamerGate.

Brütal Legend

Il est rare que j’abandonne un livre en cours de lecture, un album au milieu de l’écoute ou un jeu vidéo avant de l’avoir terminé. C’est pourtant le cas avec le jeu vidéo Brütal Legend et c’est d’autant plus frustrant que j’avais attendu – sans trop y croire – sa sortie sur Mac depuis longtemps.

Rise of Mythos

Il y a les bons et les mauvais jeux free-to-play: le mauvais, il t’oblige à dépenser pour mieux jouer; le bon aussi, mais il est bon. Rise of Mythos (anciennement connu sous le nom Kings and Legends), le dernier coule-temps qui me scotche devant mon écran, fait partie des seconds.

De base, il s’agit d’un jeu de cartes à collectionner, de thème médiéval-fantastique plus-bateau-tu-meurs (genre “je prends tout D&D, je secoue et je mélange”), qui se joue sur navigateur compatible Flash. Oui, je sais, Flash c’est le Mal; sauf pour les jeux. Je l’ai découvert sur Kongregate, mais il est également accessible sur Gamefuse.

Lire plus

Bioshock Infinite

Depuis le temps, vous devez connaître certains de mes réflexes pavloviens. Par exemple, il suffit de dire “bioshock” pour me voir faire comme Ian Fleming: des petits bonds partout. Du coup, l’annonce de la sortie de Bioshock Infinite sur Mac à la fin du mois passé a eu quelques effets délétères sur mon cerveau reptilien. Et sur mon compte en banque, aussi…

(Note: je vais essayer, autant que faire se peut, de limiter les spoilers, mais il risque quand même d’y en avoir un peu; vous êtes prévenus.)

Lire plus

Jeux vidéo: et toi, t’es un gamer ou bien?

Posée comme cela, la question que lance le Traqueur Stellaire (dont les rumeurs de mort numérique semblent fort heureusement très surestimées) aurait tendance à faire ricaner ceux qui me connaissent, même de loin. Elle concerne néanmoins une activité dont je parle ici de temps en temps, mais qui est loin d’occuper le plus clair de mon temps: les jeux vidéos.

Je joue sans doute beaucoup plus aux jeux vidéos que je ne devrais, sans pour autant ne pas me considérer comme un hardcore gamer, celui qui a deux consoles en plus de son PC Windows et qui achète systématiquement tout ce qui passe. Je vais néanmoins tenter de répondre aux questions (forcément indiscrètes) du susnommé.

Lire plus

Wreck-It Ralph

Wreck-It Ralph n’aime pas qu’on lui marche sur les pieds – même si, vu la taille de ces derniers, ça relève de l’exploit – et a tendance à réagir à l’adversité en cassant tout. Ralph est un personnage de jeu vidéo Fix-It Felix Jr., qui va fêter ses trente ans, et il commence à en avoir doucement marre, non pas tant d’être le méchant, mais d’être salement déconsidéré par ses collègues de jeu. Il décide donc de devenir un héros.

Je résume, mais c’est l’idée générale de ce dessin animé Disney en images de synthèse: la quête de reconnaissance d’une brute au grand cœur, qui va s’avérer presque aussi doué pour résoudre les catastrophes que pour les créer, passant d’un jeu à l’autre pour aboutir dans un jeu de course dans un monde de friandise à aider une gamine victime d’un bug.

Lire plus

Le Joueur du grenier

Vous l’aurez sans doute constaté, c’est Noël.

(criquets)

Tout ceci pour vous dire que c’est Noël pour tout le monde, moi-même y compris, et que par conséquent, les mises à jour de ce blog vont quelque peu s’espacer, d’une part parce que je suis très occupé à digérer et, d’autre part, parce que je me suis lancé dans une frénésie de matage d’épisodes du Joueur du grenier.

Lire plus

Borderlands 2

Entre l’arrivée de Steam et une sorte de frénésie de portage de jeux plus ou moins récents, je me suis retrouvé ces temps-ci avec une belle quantité de jeux vidéos bien sympa. Le dernier en date, c’est Borderlands 2, un croisement jeu de rôle/jeu de tir à la première personne (un peu comme Deus Ex) dans un univers SF/post-apo/western à mi-chemin entre Fallout et Firefly, mais avec beaucoup plus de flingues.

Je n’ai pas joué au premier, donc du coup je me retrouve à prendre l’histoire en route et je comprends vite que j’interprète l’un des quatre personnages qui cherche à faire une grosse tête à Handsome Jack, le PDG de la méchante corpo Hyperion qui met la planète Pandora (oui, ça fait un peu Avatar, aussi) en coupe réglée. Ah, celui-là, vous allez apprendre à le haïr!

Lire plus

Dix jours avec Diablo III

Il fallait s’y attendre (et, à dire vrai, j’avais prévenu): sitôt Deus Ex bâché, je suis allé télécharger Diablo III. Oui, je sais, la boîte est moins chère, mais c’est une boîte et j’en ai déjà trop. Donc, téléchargement. J’appréhendais un peu, mais j’y avais un peu joué chez Fulgan auparavant et ça m’avait convaincu que c’était dans la lignée de ce que j’attendais: du combat bourrin.

Alors oui, c’est un jeu qui peut se jouer fin, tactique, subtil et tout, mais soyons clair: le fun de Diablo III, c’est de prendre un barbare, de se jeter au milieu d’une horde de monstres et de faire voler corps, armes, éléments d’anatomie et bouts de décor. C’est très défoulant. À peu près autant que le Negev à Urban Terror, c’est dire (les connaisseurs apprécieront).

Lire plus

Deus Ex: Human Revolution

Bon, maintenant que j’ai fini Deus Ex: Human Revolution, sorti sur Mac tout récemment, je vais pouvoir télécharger Diablo III. Comme ça va prendre une certain temps, je vais quand même vous parler un peu de ce jeu (Deus Ex, donc, je précise pour ceux qui n’auraient pas lu le titre de cet article; ne riez pas: ça arrive).

Pour simplifier, disons qu’il s’agit d’un jeu de tir à la première personne dans un univers futuriste de type cyberpunk à l’ancienne: nuit permanente, pollution, misère urbaine et corporations en roue libre. Vous voyez le genre: c’est le genre d’univers dans lequel les rôlistes des années nonante se reconnaîtront.

Lire plus

Bioshock 2

C’est brutal, une utopie qui ne veut pas mourir! Huit ans après la chute de Rapture, la cité sous-marine bâtie par Andrew Ryan pour appuyer ses thèses ultra-individualiste, Bioshock 2 (qui vient de sortir pour Macintosh) nous renvoie dans cet univers rétro-futuriste déliquescent, cette fois dans la peau d’un Big Daddy, un de ces colosses en scaphandres accompagnées des Petites sœurs.

Cela commence d’ailleurs très fort, puisque, sur l’injonction d’une psychiatre qui se veut successeur de Ryan, le personnage se colle une balle dans la tête. Le reste est à l’avenant: Bioshock 2 est l’histoire des derniers instants d’une utopie folle, qui devient encore plus folle au fur et à mesure que sa fin est proche. Une histoire d’asservissement, de manipulation et de libération. Autant dire que ça ne fait pas dans le feutré et les petites fleurs – encore que, mais même là, c’est brutal…

Je vous préviens, je spoile un peu vers la fin, mais ce n’est pas très grave.

Lire plus

Les badges du jeu de rôle

L’idée est à mettre au crédit de Cédric Ferrand, auteur de Wastburg et moitié de Hugin & Munin (je n’ai jamais sur qui était qui, mais ce n’est pas grave). En d’autres termes, si elle vous casse le cerveau, c’est de sa faute.

L’idée, donc: et si on intégrait au jeu de rôle sur table le concept de badges ou de trophées – en anglais, achievements – des jeux vidéos pour récompenser des actions particulières. Je cite le coupable l’auteur:

Lire plus

W.E.L.D.E.R

Mon dernier passe-temps (“perd-temps” serait plus juste) en matière de jeu sur iPhone est un jeu de lettres malin, mais agaçant, baptisé W.E.L.D.E.R. On pourrait le définir comme un croisement entre le Scrabble et les jeux de type Connect-4 qui foisonnent sur les plateformes portables (voir Dungeon Raid): l’idée est de composer des mots en permutant des tuiles voisines sur lesquelles se trouvent des lettres, étant bien entendu que certaines lettres valent plus que d’autres.

Lors de chaque niveau, on dispose d’un certain nombre de permutations simples – puis, le jeu avançant, d’inversions, de glissements ou de permutations sautées – pour créer un nombre donné de mots. Plus on avance dans les niveaux, plus on doit créer de mots et moins on a de permutations initiales pour ce faire; la bonne nouvelle, c’est qu’on en regagne en marquant des points. Il y a donc deux buts: faire le maximum de points et faire le nombre de mots requis pour passer au niveau suivant.

Lire plus

Le média, le contexte, la forme et le fond

Ça paraît une évidence, mais un livre, ce n’est pas la même chose qu’un film, qu’une bande dessinée ou qu’un scénario de jeu de rôle. Et pourtant, pas plus tard que dimanche, je me suis pris à répéter cette évidence dans un commentaire faisant référence au film The Three Musketeers.

Bon, je soupçonne que ceux qui ont un problème avec ce film peuvent aisément m’objecter qu’il n’y a pas que cela comme problème dans ce film. Certes. Cependant, je soupçonne que beaucoup des plus virulentes critiques envers nombre d’adaptations cinématographiques d’œuvres venues d’autres médias devraient se rappeler cette évidence.

Lire plus

Dungeon Crawl Stone Soup

Ma dernière excuse en date pour un manque de productivité massif s’appelle Dungeon Crawl Stone Soup. Comme son nom l’indique, il s’agit d’un jeu d’exploration de donjon à la Rogue, en d’autres termes un “Rogue-like”. Vous connaissez la routine: créer un personnage, descendre dans un labyrinthe, y basher du monstre, ramasser du trésor et de l’équipement, monter de niveau, trouver l’artefact ultime et ressortir.

L’intérêt de cette énième variation est qu’une attention particulière a été portée à la conception et à l’ergonomie du jeu. La plupart des trucs inutiles ou chiants ont été purement et simplement retirés du jeu, comme la gestion de la lumière (ceux qui se sont retrouvé à court de torche dans Moria savent de quoi je parle), pas mal de trucs ont été simplifiés et il y a même un bouton pour explorer automatiquement le niveau.

Le jeu comporte également un grand nombre de classes et de races dans la grande tradition D&D et, plus intéressants, des dieux qui ont tous leur agenda et qui influent sur la manière de jouer: l’un déteste la magie, l’autre ne supporte pas les mutations, etc. Les niveaux sont aussi assez variés, avec quelques sous-donjons intéressants.

Lire plus