Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Year 2015

Les dix raisons pour aller au Night of the Prog Festival

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Avertissement sans frais, je reviens de la Planète Prog, aussi connue sous le nom de Night of the Prog Festival, au Loreley Freilichtbuhne, en Allemagne. Si vous n’aimez pas le rock progressif, je vous conseille de faire un break de mon blog cette semaine, parce que ça va sentir la musique de vieux. Mais si vous aimez ça, je peux vous donner dix bonnes raisons d’aller à ce festival.

Carrot et Pressformore: un autre Flattr est-il possible?

La question de la rémunération des contenus est à mon avis une des questions clés de la création sur Internet, c’est pourquoi j’ai tendance à m’intéresser aux différentes solutions potentielles, comme Carrot et Pressformore.

 

Penny Dreadful, saison 2

Après une excellente première saison, la série américano-britannique Penny Dreadful revient pour une deuxième dose d’horreur gothique dans un Londres victorien du plus bel effet. Retour gagnant? Oui et non.

 

Nocturna: Lucidity

Quand on a mon âge et ma culture musicale, on se rappelle forcément de la grande époque du Hard-FM, entre 1985 et 1990 en gros. Et, du coup, au détour d’une chronique mi-figue mi-raisin de Angry Metal Guy, on se prend le Lucidity de Nocturna en pleine tronche, comme un TGV orange (ou une facture de Minitel). Et on en redemande!

Steve Rothery: The Ghosts of Prypiat

Trente ans après les faits, la catastrophe de Chernobyl continue de marquer les esprits et les musiciens, puisqu’après The Taste of Wormwood de Philippe Luttun, c’est Steve Rothery qui propose un album sur ce thème, The Ghosts of Prypiat. Oui, ce Steve Rothery: le guitariste de Marillion. Et oui, c’est son premier album solo, curieusement.

Microscope, construire l’Histoire

Grâce à Roboduck, j’ai pu tester Microscope, un OVNI rôlistique que son auteur qualifie de « jeu de rôles fractal » et qui permet de recréer une Histoire, de celle qui a des majuscules et qui se déroule sur des dizaines d’années. Voire plus, si affinités.

Ray’s Day 2015: le retour de Ray

Et voilà que Neil Jomunsi remet le couvert, le 22 août 2015, avec le Ray’s Day, la fête de la lecture, des lecteurs et des auteurs, suite à une intense pression de ses pairs (entendez par là: une campagne ayant réunis cinq twittos et duré un peu plus de deux heures).

 

Flattr: bilan pour juin 2015

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Comme disent les gens sérieux, la tendance est décidément baissière: sur Flattr, ce mois de juin se traduit par un revenu de €8.52, pour €10 de dépenses sur 43 objets. Je doute que juillet et août, mois traditionnellement pauvres, viennent inverser la courbe.

 

Wilderun: Sleep at the Edge of the Earth

Au début de l’année, je vous avais présenté Wilderun, groupe bostonien qui, en 2012, nous avait gratifié d’un très agréable Olden Tales & Deathly Trails. Hasard – bienveillant – du calendrier, le groupe revient en 2015 avec Sleep at the Edge of the Earth, ce qui me permet de le chroniquer deux fois en moins de six mois.

 

The Pineapple Thief: Magnolia

Il est facile de comparer The Pineapple Thief avec Porcupine Tree – à commencer par les initiales et, désormais, la même maison de disque – mais, avec Magnolia, leur dernier album, le groupe britannique prouve une fois de plus que leur style va au-delà de la simple copie et ajoute notamment une énergie impressionnante.

 

« Atlas des cités perdues », de Aude de Tocqueville

Allez, il est temps de remettre son vieux cuir, d’attraper son sac de voyage et la Thompson, de chausser les grosses lunettes de sécurité et d’embarquer dans le zeppelin! Une main sur le gouvernail, l’autre sur l’Atlas des cités perdues, d’Aude de Tocqueville, cap sur l’Aventure!

 

Klone: Here Comes the Sun

Je dois avouer qu’en achetant Here Comes the Sun, le dernier album du groupe français Klone, je m’attendais à autre chose. Du coup, je me retrouve avec un ressenti de déception alors que, dans l’absolu, c’est un album plutôt bon dans son genre.

« Neptune’s Brood », de Charles Stross

Il faut reconnaître à Charles Stross un certain génie pour trouver des idées originales en SF et de construire des univers bluffants là-dessus. Témoin un de ses derniers romans, Neptune’s Brood, qui allie transhumanisme, hard-science et économie interstellaire.

Je suis terroriste

En ces jours où on nous sert du « terrorisme » à toutes les sauces, il serait bon de rappeler un petit détail, que j’ai récemment trouvé sur le site de la BBC: il n’existe aucune définition consensuelle de ce qu’est le terrorisme ou un terroriste.

Borderlands

Oui, cette chronique parle du premier jeu vidéo Borderlands, celui sorti en 2009. Comme je suis quelqu’un d’ordonné et de méthodique, je les ai joué dans un ordre bien particulier, déterminé par une raison et une logique très précise.

Leprous: The Congregation

Même si j’arrive quelque peu après la bataille – à savoir leur album Bilateral – je ne me lasse pas de Leprous et de son métal progressif atypique. Cela dit, l’écoute de The Congregation après celle de Coal me laisse comme un goût trompeur de trop peu. C’est un peu frustrant.

Wunderwaffen, tome 7: « Amerika Bomber »

Eh bien non, malgré tout le mal que j’ai pu en dire, je n’ai pas abandonné Wunderwaffen, la série de bande dessinée uchronique. Il faut dire qu’elle a beau être truffée de défauts, d’un point de vue d’historien, elle dépote quand même pas mal. D’ailleurs, ce septième tome, intitulé Amerika Bomber, comporte une gigantesque bataille aéronavale sur près des deux-tiers de sa longueur.

 

The Gentle Storm: The Diary

Derrière l’album The Diary et le projet The Gentle Storm se cachent deux noms plutôt connus dans le petit monde du rock progressif: la chanteuse Anneke van Giersbergen et le compositeur Anthony Arjen Lucassen. Le résultat final est un album décliné en deux disques: un « gentle » folk et acoustique et un « storm » plus métal et symphonique.

Les voleurs de libre

Un des arguments qu’on oppose souvent à la notion de licence libre, c’est le côté « oui, mais si je ne protège pas mes créations, n’importe qui peut les prendre et les vendre en mon nom. » C’est vrai et ça arrive – et les quelques anecdotes récentes que je mentionne dans ce billet le prouvent – mais c’est moins grave que l’on pourrait le penser. Parce que voler quelque chose qui est disponible gratuitement, c’est quand même très con, quelque part.

De l’équipement comme un avantage

Je n’ai pas trop eu l’occasion de vous en reparler depuis, mais j’ai continué un petit peu ma réflexion sur l’équipement dans Tigres Volants nouvelle formule et j’en ai également profité pour tester deux-trois trucs à la Fête du Jeu.

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