Trente minutes dans l’avenir, le monde est ravagé par une série de catastrophes climatiques exceptionnelles. Un an plus tard, à la recherche de son navire-sœur, le chalutier Kapital de l’organisation écologiste Ninth Wave sillonne les océans, en tentant de concilier son engagement et ses idéaux pacifistes avec un monde qui sombre dans la violence. Tel est le point de départ de The Massive, une bande dessinée écrite par Brian Wood.
L’homme regardait la soucoupe volante fermement engoncée dans la boue du champ de patates, tout en dégustant sa tasse de thé. Le fermier, un vieux rugueux du Devonshire qui donnait l’impression d’avoir déjà tout vu trois fois, avait visiblement sorti son service des grands jours.
Encore un film de la franchise X-Men auquel je vais à reculons: Days of Future Past fait la liaison entre la série « contemporaine », le flashback que constituait First Class et les spin-off sur Wolverine, X-Men Origins et The Wolverine.
Encore un joli résultat mensuel avec Flattr ce mois de juin: €20.62 de revenus pour €15 de dons. J’en profite, parce que je soupçonne qu’avec les vacances, les prochains mois risquent d’être moins glorieux.
Déjà un troisième épisode pour Mermaid Project, cette bande dessinée se déroulant dans un avenir dominé par le manque de ressources et la déchéance des nations du nord. D’ailleurs, cet épisode s’ouvre sur Romaine Pennac qui déboule dans une Rio de Janeiro devenue une métropole pimpante, bien plus avancée que Paris ou New York vus dans les tomes précédents.
Songs, Poems and a Lady du groupe italien Empirical Times est un de ces albums que j’ai acheté chez Gibert un peu juste parce qu’il y avait marqué « rock progressif » dessus. Et, au final, j’ai un peu l’impression que c’est la seule chose que j’en retiendrai.
Dans la nuit du 14 avril 1912, le Titanic, qui accomplit là son voyage inaugural, évite de justesse un immense iceberg grâce au jeune Max Waterson. C’est le point de départ de L’Étoile blanche – symbole de la White Star Line, qui possède le navire –, seizième tome de la série de bande dessinée uchronique Jour J.
Stille Volk, le groupe de folk pyrénéen tellurique, revient avec un nouvel album tellurique, intitulé La Pèira Negra, autrement dit la « pierre noire », autrement dit quelque chose de tellurique. Retenez bien ce mot, « tellurique », parce que c’est un peu le mot-clé de cet album, qui parle de pierre et de pétrification, mais aussi de forêts et de malédictions.
Le groupe italien The Watch est surtout connu pour être un cover-band, c’est-à-dire un groupe qui joue des reprises, dans le cas présent du Genesis période Peter Gabriel. Leur dernier album Tracks from the Alps, sorti il y a peu, prouve qu’ils font aussi des reprises de morceaux de Genesis qui n’existent pas.
Or donc, début janvier, je prenais la « bonne résolution » d’essayer plus de solutions open-source pour remplacer mes habituels logiciels. Qu’en est-il six mois plus tard?
(Indice: ce billet s’inscrit dans le cadre du défi « Summer of Fail – l’été de l’échec ».)
Plus ça va, plus je me dis que la récente carrière d’Anathema n’aura connu qu’un seul faux pas et ce n’est pas ce nouvel album, intitulé Distant Satellites, qui viendra me contredire. Cela dit, ce n’est pas non plus l’album de l’année, même s’il reste très plaisant.
Ces dernières semaines, il m’est arrivé un truc bizarre: je me suis retrouvé avoir sept ans et regarder des épisodes de Scoubidou. Bon, ce n’est pas tout-à-fait exact, vu que j’en ai toujours quarante-sept et qu’il s’agit de la nouvelle série, Scooby-Doo! Mystery Incorporated (Mystères associés en français).
Ce dimanche, en guise d’anniversaire de mariage un peu en avance, nous avons décidé d’aller voir ailleurs si nous y étions. Par « Ailleurs », j’entends « Maison d’Ailleurs« , le musée de la science-fiction sis à Yverdon-les-Bains. L’occasion était une exposition intitulé « Superman, Batman & Co… mics » sur – vous l’aurez deviné – les superhéros. Oui, nous sommes de grands romantiques.
Cinq ans après les événements du premier film (et des deux saisons de la série télé), How to Train Your Dragon 2 nous renvoie sur l’île de Berk, ses vikings, ses dragons et ceux qui les dressent. Hiccup (Harold en VF), Astrid et sa clique sont devenus de jeunes adultes et l’ambiance est au beau fixe.
Or donc, jusqu’à peu, je me considérais comme un écolo: entre autres choses, je roule à vélo, je trie mes déchets et, surtout, je suis contre les OGM, les organismes génétiquement modifiés. Ce jusqu’à ce que je lise La démocratie des crédules et que je tombe sur cet article, A founder of the anti-GM food movement on how he got it wrong sur Macleans.ca (grâce à Tyrian Dunaédine sur G+).
En général, j’aime bien le néo-prog. Pourtant, avec le projet chilien Aisles et leur troisième album intitulé 4:45 AM, je suis un peu frustré. Peut-être parce qu’il est un peu trop néo et pas assez prog.
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