Je vous parlais précédemment de l’abus des étiquettes; vous allez rire: ça continue! Dans le cas présent, l’album Invitation to Forever, de Takara, marqué “prog” par La Citadelle, s’avère être une resucée de hard-FM des années 80.
Au temps pour le “forever” (à moins qu’ils n’aient confondu avec Foreigner…). À leur décharge, l’album a été édité par Progrock Records, qui nous avaient habitué à un peu plus de discernement.
Nonobstant ce que l’on pourrait appeler une tromperie sur la marchandise, Invitation to Forever n’est pas un mauvais album. Il n’est cependant pas très bon non plus; en fait, “peu inspiré” est le qualificatif qui s’applique le mieux. Des comme ça, j’ai dû en écouter des dizaines à l’époque où mon seul critère d’achat était “métal + claviers”, ce qui m’a valu de tomber sur un grand nombre de bouses assez spectaculaires (mais aussi sur Dream Theater, mais je vous en reparlerai un autre jour).
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11/02/2009 at 17:44
A propos d’étiquettes, le pire du pire dans l’évolution des classements de genre musicaux c’est la dérive totale du R&B qui était à mon époque (et même avant) une musique tout à fait respectable et agréable et qui est devenu sous le même vocable une soupe fade et osons le dire, carrément merdique. Si bien que maintenant je n’ose plus dire que j’aime le Rythm&Blues. Parfois je me demande ce qui s’est passé et à quelle moment il y a une rupture dans le continuum.
12/02/2009 at 10:14
Ça me dérange moins, vu que je n’aime aucune des versions du RnB. 😉