Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

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Next to None: A Light in the Dark

Troisième groupe à l’affiche de la soirée prog de la fin du mois, Next to None et son album A Light in the Dark m’a laissé quelque peu perplexe avant que je n’apprenne deux choses à son sujet: d’abord, c’est… Continue Reading →

Inanimate Existence: Calling from a Dream

OK, je dois avouer que celui-ci, j’ai hésité un moment avant de la caler dans un futur « restes du samedi ». Parce que Calling from a Dream, de Inanimate Existence, est un de ces albums qui oscillent entre le pur bruit casse-oreille et le prog déjanté et parfois brillant.

Les posts du samedi: Glasir / Sonnöv / We Were Heading North

Allez hop! Nouvelle variante des restes du samedi, consacrée à trois albums de post-rock – enfin, trois EP, plutôt, vu qu’ils dépassent rarement les trente minutes. Au menu, les Texans de Glasir et les Espagnols de Sonnöv et de We Were Heading North. Trois groupes venus d’horizons peu courants pour ce genre musical, dont les livraisons sont facilement au-dessus de la moyenne; ce n’est parce que c’est court que ce n’est pas intéressant.

Fates Warning à Aarau

Au moment où je tape ces lignes, je suis dans une chambre d’hôtel à Aarau, j’ai des étoiles plein les yeux – et des acouphènes plein les oreilles – parce que je viens de voir Fates Warning en concert au KIFF. Ouais, carrément! Et puis d’abord, c’est mon anniversaire, alors je fais ce que je veux, d’abord!

Flying Colors: Second Nature

Allez savoir pourquoi, j’étais passé complètement à côté de ce Second Nature, deuxième album du supergroupe de rock progressif Flying Colors. Certes, le premier ne m’avais pas tant emballé que ça, mais l’écoute du dernier Neal Morse m’a donné envie d’écouter celui-ci.

« A Dream in Static » de Earthside, mon album de l’année 2016

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L’un dans l’autre, au cours de cette année 2016, j’ai dû chroniquer pas loin de cent cinquante albums. Du coup, chercher dans cette masse le disque, celui qui va être mon album de l’année n’est pas chose aisée. Au final, j’ai fini par me décider pour A Dream in Static, premier album de Earthside.

Neal Morse: The Similitude of a Dream

Neal Morse, c’est un peu un goût acquis. Et son nouvel album, une double galette intitulée The Similitude of a Dream, ne va sans doute pas changer cet aspect: soit on est sensible à son rock progressif mâtiné de classic-rock très américain, soit on passe son chemin.

Les restes du samedi: Arcane Atlas / Innerchaos

Un thème pour ces restes du samedi: avec Arcane Atlas et Innerchaos, ce sont des albums potentiellement intéressants, mais quelque peu desservis par le chant. Et après, on s’étonne que je préfère les instrumentaux…

Orissa: Resurrection

« Salut, moi c’est David et voici ma musique. » On peut difficilement faire plus simple que l’intro sur la page du groupe Orissa, dont le premier LP de metal progressif, Resurrection, est sorti cette année. Et aussi plus contrasté, en regard de la musique qu’il propose.

Gracepoint: Echoes

Le rétro-progressif est partout, même dans le metal, puisqu’avec Echoes, de Gracepoint, découvert grâce à Angry Metal Guy, on a désormais un exemple frappant de metal rétro-progressif. OK, « désormais » est peut-être un peu exagéré: ce ne sont pas les premiers non plus.

Oceans of Slumber: Winter

Après mon semi-raté précédent – la mini-chronique de leur très curieux EP Blue je m’étais promis de revenir vers le groupe américain Oceans of Slumber et, plus précisément, leur album Winter, découvert par Neoprog.

Fates Warning: Theories of Flight

Pionniers du metal progressif, les Américains de Fates Warning ne nous avaient pas gratifié d’un nouvel album depuis bien trois ans. Ils reviennent cette année avec Theories of Flight. La question qui me taraude est donc: ont-ils mis ce temps à profit pour peaufiner quelque chose de plus convaincant que Darkness in a Different Light?

Danimal Cannon: Lunaria

Parce qu’il n’y a pas que le prog dans la vie, je vous présente Lunaria, de Danimal Cannon. Le nom est certes suffisamment absurde pour être celui d’un groupe de prog, mais il s’agit ici de chiptune-metal. Ou quelque chose dans le genre.

Fallujah: Dreamless

Amis du contraste, bonjour! Après un impressionnant The Flesh Prevails, il y a deux ans, Fallujah revient avec son death-metal atmosphérique, concrétisé sous la forme d’une nouvelle galette au visuel somptueux – pour dire, c’est mon fond d’écran au bureau, ce qui me vaut quelques regards bizarres de mes collègues pasteurs – intitulée Dreamless.

Les restes du samedi: Gygax, Parqks

Nouvelle fournée de mini-chroniques pour les restes du samedi, la rubrique des albums qui sont pas inintéressants, mais qui ne m’inspirent pas assez pour pondre trois cents mots dessus. Pour cette fois, j’ai du hard-rock pour nerds avec Critical Hits, de Gygax, et du post-rock instrumental, avec Slow Ascent Melancholia de Parqks.

Caspian: Dust and Disquiet

Rarement un titre d’album n’aura autant évoqué l’esprit du post-rock: Dust and Disquiet de Caspian, groupe américain dont je vous avait déjà parlé, signe ici un album impressionnant avec une vraie recherche et des montées en puissance de tueur.

Les restes du samedi: Aronora, musicformessier, Ovrfrwd

Vous savez, ces albums que vous écoutez et que vous trouvez sympas, mais sans plus? Eh bien c’est ce pourquoi j’ai inauguré, il y a quelques temps, cette rubrique « Les restes du samedi », pour brièvement parler de tous ces albums que j’écoute, mais pour lesquels je me découvre incapable d’écrire plus d’une centaine de mots.

Kardashev: Peripety

Quand Clair & Obscur titre « du death progressif qui décoiffe » pour parler de Kardashev, un trio originaire de l’Arizona, ils ne mentent pas: sur la base de Peripety, album paru l’année passée, je confirme que ce qui me reste de cheveux est en train de passer un sale quart d’heure.

Redemption: The Art of Loss

The Art of Loss, titre du dernier album de Redemption, est un peu prémonitoire, hélas. J’ai l’impression, à son écoute, que j’ai définitivement perdu le Redemption de The Fullness of Time et de n’avoir plus qu’un groupe de métal progressif lambda et pas toujours très inspiré.

The Anagram Principle: Inventor

Ce qu’il y a de bien avec The Anagram Principle, c’est qu’avec un nom pareil, on sait qu’on va avoir droit à quelque chose de bizarre. Et l’écoute de Inventor, découvert grâce à une chronique de Progcritique, confirme clairement cette impression.

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