K est un réplicant au service de la police de Los Angeles, un androïde biologique créé pour obéir et rien d’autre, en butte au racisme de ses collègues et à une condition d’objet vivant, qui pourchasse d’autres réplicants: un blade runner. Et, comme on est en 2049, le film s’appelle Blade Runner 2049.
L’utopie – pas l’uchronie ni la dystopie – est un genre peu à la mode. Ça peut se comprendre: ne dit-on pas que les gens heureux n’ont pas d’histoire? En tant qu’historien, j’aurais tendance à ricaner et, en tant qu’auteur, un peu aussi. Et ce petit recueil de nouvelles intitulé Un tremplin pour l’utopie est là pour me donner tort.
Je préfère vous prévenir tout de suite: mon avis sur Valerian and the City of a Thousand Planets, le film de Luc Besson tiré des aventures de Valérian et Laureline, est mitigé. Par « mitigé », j’entends qu’il y a du bon et du moins bon et que, souvent, même dans le très bon, il y a du mauvais, et réciproquement. Ce « mitigé » n’est donc pas un euphémisme pour « toupourri ». Mais ça a failli.
Dans la première saison de Dark Matter, on avait six personnages amnésiques à bord d’un vaisseau qui, au fil des péripéties, retrouvaient des bribes de leur passé pour finalement convenir que leurs anciennes personnalités n’étaient pas des gens fréquentables – y compris par eux-mêmes.
Lorsque commence Crashing Heaven, roman SF/cyberpunk de Al Robertson, Jack et Hugo reviennent sur Station, le dernier refuge de l’humanité depuis que la Terre est devenue inhabitable suite à une guerre entre IA.
Partout dans le monde, d’éminents scientifiques se suicident, déclarant que « la physique est fausse » avant de mourir. Wang Miao, chercheur en nanotechnologie à l’université de Beijing, est engagé par une équipe internationale pour les aider à résoudre ce mystère, dont la réponse pourrait bien se trouver dans un jeu vidéo immersif situé sur un monde à trois planètes. Dit comme ça, on ne peut pas affirmer que The Three-Body Problem, de Liu Cixin est un ouvrage facile d’approche.
Comme mentionné précédemment, si vous voulez de la série télé de science-fiction, il y a une blinde de choix ces temps. Parmi celles-ci, The Expanse est probablement la plus impressionnante et la plus dense. Déjà par son côté hard-science et ses aspects réalistes (même si elle n’est pas complètement l’un ni l’autre), mais aussi par son scénario qui mélange géopolitique brutale et découverte majeure.
Bonjour les gens! Au moment où j’écris cette chronique, on est lundi soir et je regarde Jupiter Ascending sur ce qu’on appelle pudiquement une « chaîne du câble » (c’est un euphémisme pour « télé de merde »). On est limite dans le domaine du livetweet, là. Oui, je m’emmerde un peu, là.
Je viens de finir le dernier roman de Cory Doctorow, Walkaway. Il est très bien, il est très dense et, du coup, cette chronique va également être quelque peu massive. Et ce n’est pas seulement dû au fait que le français est un langage verbeux.
C’est une bonne époque pour être un fan de science-fiction, si l’on en juge par la profusion de séries qui sont diffusées ces temps. Killjoys est une de ces séries et, honnêtement, je me demande encore comment il se fait qu’elle ait été renouvelée pour une deuxième saison.
L’invention de Louis Zèdre-Rouge, un rayon qui permet de voyager à travers la matière solide, aurait pu lui assurer gloire et fortune, mais l’accident qui a causé la mort de sa bien-aimée Emerance, fille du magnat de Funcal, a signé sa perte. Mais était-ce vraiment un accident? C’est ce que vous saurez en lisant L’homme qui traversa la Terre, de Robert Darvel!
Lorsque j’ai ramassé le premier tome de Injection chez mon nouveau fourgue habituel en matière de comics US – Tanigami, vu que le Paradoxe Perdu a défuncté – je dois dire que je ne m’attendais à pas grand-chose. Certes, il y a Warren Ellis au scénario – raison pour laquelle je l’ai pris, d’ailleurs – mais ce dernier n’est pas toujours une valeur sûre.
Si vous avez vu le premier opus de Guardians of the Galaxy, vous n’avez sans doute qu’une question à la bouche: ce deuxième épisode est-il aussi bon que le premier? La réponse est oui et je vous expliquerai plus loin pourquoi.
À bord du paquebot Infinity, en partance pour la galaxie d’Andromède, la vie se déroule paisiblement, jusqu’à ce que le vaisseau spatial rencontre un immense champ de débris. C’est le point de départ de huit histoires, d’où son titre: Infinity 8.
En continuant à fouiller dans notre bibliothèque, en préparation de notre déménagement, je suis tombé sur un autre bouquin de Robert Heinlein que je n’avais pas lu, L’enfant tombé des étoiles.
C’est rare que je n’aime pas un bouquin, c’est encore plus rare que je finisse avec une impression qui ne peut guère se résumer autrement que par « dafuq? » How to Live Safely in a Science-Fictional Universe, de Charles Yu, entre pourtant dans cette catégorie.
Il y a bien un an de cela, je faisais un article pour partager mes lectures – en cours ou terminées sur Wattpad. Un an, c’est long, surtout quand on a mon rythme de lecture. Du coup, voici un nouveau coup de projecteur sur les textes que j’ai découvert depuis, sur Wattpad (surtout) et aussi sur Scribay.
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