Pour tout le monde, T’Challa est l’héritier du royaume de Wakanda, une petite nation isolée et pauvre, au cœur de l’Afrique. Quelques rares personnes connaissent son identité secrète de Black Panther. Mais très peu de gens connaissent le secret derrière le Wakanda.
J’ai coutume de dire que le monde est rempli de classiques que je n’ai jamais vus, lus ou entendus. La Horde du Contrevent, roman d’Alain Damasio, semble faire partie de cette catégorie, si j’en juge par le nombre de gens que je connais qui l’ont lu. Il était donc temps de combler cette lacune-ci.
Bon, on connaît tous le slogan: « espace, ultime frontière »; tellement ultime que les producteurs de Star Trek ont relancé la machine – douze ans après la fin de la précédente, Enterprise – avec une nouvelle série, intitulée Discovery.
Je viens de réaliser que Insistence of Vision est le deuxième bouquin de David Brin que je me tape en l’espace d’un mois. C’est Gromovar qui, il y a presque deux ans, en avait fait une critique enthousiaste et qui m’a incité à le commander.
Séance de rattrapage vidéo ce samedi, avec Thor: Ragnarok, troisième opus dédié au Seigneur – pardon, au Dieu – du Tonnerre et à Asgard. Ceux qui connaissent un peu leur mythologie nordique comprendront rapidement que ça va finir en catastrophe majeure.
Au cours d’un récent « défi » sur Wattpad, Cloé et Tat’ de Cestdoncvrai m’ont tagué sur un billet parlant des inspirations. Je n’aime pas les défis, mais… Bref, parlons des inspirations derrière Erdorin / Tigres Volants. J’en avais déjà parlé il y a un moment, lors d’une conférence à La Chaux-de-Fonds, mais je vais reposer ça à plat.
J’étais un peu sceptique en lisant les multiples critiques enthousiastes des chroniqueurs de Angry Metal Guy à propos de Amber Galactic, dernier album en date du Night Flight Orchestra. Bon, il est possible que les mots « space lesbians » aient quelque peu influencé mon jugement et conduit à l’achat de cet album.
Dernière fournée en date du Prix Mille Saisons, organisé par Le Grimoire, le recueil Tombé les voiles contient une vingtaine de nouvelles sur toute la gamme des littératures de l’imaginaire: du fantastique contemporain, du med-fan, du steampunk, de la science-fiction et pas mal de mélanges et de bizarreries somme toute assez réjouissantes.
Le USS Orville, vaisseau de l’Union planétaire, et son équipage sillonnent l’espace pour apporter un message de civilisation, explorer les mystères de l’univers et assister ceux qui en ont besoin. Si cette accroche de la série The Orville vous dit quelque chose, c’est normal. C’est même voulu.
Yirminadingrad. Une cité entre Asie et Europe, quelque part dans l’ancien Caucase soviétique, cartographiée originellement par Léo Henry et (feu) Jacques Muchielli, dont j’avais vaguement entendu parler au hasard de mes contacts et que j’ai découvert via Adar, quatrième livre de la série, offert par Laurent Kloetzer – qu’il en soit ici publiquement remercié!
Huitième épisode de la saga Star Wars, The Last Jedi est sorti il y a moins de deux semaines et je dois être un des derniers parmi mes contacts à l’avoir vu. Autant dire que la survie sur les réseaux sociaux en évitant les spoilers a été quelque peu rude, mais ça en valait la peine.
Jerry Beche est le dernier homme vivant sur une Terre dévastée par une arme biologique. Un jour, alors qu’il va vérifier ses éoliennes, il remarque des traces de bottes dans la neige. Ce début de Extinction Game, de Gary Gibson, est tellement un cliché que même le protagoniste le note. La suite de ce roman, par contre, est nettement moins banale.
Dans un avenir mal défini, mais définitivement cyberpunk et déglingué, Kal vivote de petits boulots à la légalité discutable: piratage informatique, intrusion, intimidation, tout ce qui peut lui rapporter de quoi payer bouffe et médocs. Et, quand son esprit vagabonde, il « commute », se projetant dans un univers virtuel de fantasy. C’est le point de départ de Les Commutants, roman de Nicolas Alucq.
Riche idée qu’a eue là l’AMDA, l’association des Amis de la Maison d’Ailleurs, qui ont organisé à Genève une projection du documentaire Jodorowsky’s Dune, en présence de son réalisateur, l’Américain Frank Pavich!
Et si, dans un avenir proche, la Terre recevait un message extraterrestre et que ce message remettait en cause de façon fondamentale le concept de sapience et de civilisation? C’est, dans les grandes lignes, le principal de Existence, gros roman de David Brin.
Matthias, étudiant glandeur dans un avenir proche où une épidémie a tué près de la moitié de la population, trouve un jour une lettre énigmatique glissée sous sa porte. Cette lettre le lance sur la trace d’une peinture du XVe siècle, sur laquelle il reconnaît sa mère et son oncle. C’est ainsi que commence Où s’imposent les silences, d’Emmanuel Quentin.
Aller aux Utopiales, quand on est geek tendance SF et autres mondes de l’imaginaire, c’est un peu achievement unlocked! Enfin, pour moi, en tout cas.
Dans le monde de Soleil froid, la Grande Peste – une variante de la grippe aviaire – a tué près de 90% de la population. Un ancien soldat d’élite arpente les ruines du monde ancien à la recherche de réponses – et peut-être d’un espoir.
Valérian et Laureline, agents spatio-temporels, s’apprêtent à arrêter un androïde soupçonné de fraude fiscale, quand apparaissent successivement un thon quantique, des Shingouz paniqués dans un vaisseau pourri et Monsieur Albert, très fâché, dans une 4L à propulsion hyperluminique. C’est ainsi que commence Shingouzlooz Inc., le nouvel album de la collection Valérian vu par…
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑