C’est tout de la faute de Boulet! Oui, je sais, on ne prête qu’aux riches, mais si je me suis plongé dans la lecture du roman de Thomas Hercouët, publié sur Wattpad, J’ai tué mon ange gardien, c’est en grande partie à cause d’un tweet de Boulet qui le recommandait avec enthousiasme.
Elle s’appelle Chien du Heaume, elle est mercenaire et c’est son histoire que nous raconte Justine Niogret. Quelque part, c’est un peu tout ce que l’on saura vraiment sur cette protagoniste étonnante, femme de guerre dans un Moyen-Âge d’hommes.
Il est Adjaï, elle est Sélène ou une myriade d’autres personnes, pour une minute ou pour plusieurs années. Adjaï aux mille visages, héros éponyme du roman d’Aquilegia Nox, est un changelin, un doppelgänger, un changeur de forme qui essaye de survivre, voire de vivre dans un monde où son peuple est pour le moins mal vu.
Si quelqu’un vous demande, c’est encore de la faute de Fred Bezies. Pour une fois, ce n’est pas du post-rock, mais un « roman rock »: Stellicides, de Laurent Jardin, que ce blogueur avait mentionné dans un de ses « En vrac mercurien« .
Dans La Lune n’est pas pour nous, roman de Johan Heliot, il y a des Nazis, des Zeppelin, du dieselpunk, de l’uchronie et des extra-terrestres. Je signe où? En fait, avant de signer, j’aurais peut-être dû faire attention à un léger détail: ce livre est en fait non seulement la suite de La Lune seule le sait, que je n’ai donc pas lu, mais il précède également La Lune vous salue bien. Du coup, j’ai un peu l’air fin en déboulant au milieu d’une trilogie.
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