Quand j’ai dis faire du rattrapage sur l’œuvre de Roland C. Wagner, je le fais jusqu’au bout (oui, je sais qu’il m’en reste encore plein à lire, à commencer par les Futurs mystères de Paris)! Acheté en même temps que Rêves de Gloire, Le train de la réalité de Roland C. Wagner est un complément à ce dernier composé de plusieurs textes de longueur variable, entre deux et une vingtaine de pages.
Depuis le temps qu’on m’en parle, j’ai fini par lire Rêves de Gloire, le roman de Roland C. Wagner que beaucoup considèrent comme son « Grand-œuvre ». Il est vrai qu’avec ses huit cents pages en version poche, le bouquin se pose un peu là! Paru en 2011, c’est aussi, hélas, son dernier roman.
Or donc, il y a deux semaines, je faisais connaissance avec le duo électro-western suédois Dead Soul, qui passait en première partie de Ghost à L’Usine. Dans la foulée, j’achetais leurs deux albums, In the Darkness et The Sheltering Sky, principalement parce que leur musique me rappelle un de mes groupes préférés des années 1980: Wall of Voodoo.
C’est le moment de dire « c’est la faute à Axelle » et de pointer un doigt accusateur dans sa direction pour la blâmer de m’avoir fait découvrir le groupe américain de pop-rock épique Les Friction, éponyme de son premier et, pour le moment, unique album. Oui, car je suis comme ça, moi, je balance! Et ça tombe bien, parce que l’album balance aussi pas mal.
Il y a cinq minutes, j’ai finalement reposé The Armageddon Rag, de Georges R.R.Martin. Oui, ce Georges R.R. Martin. Pour la plupart des gens, c’est l’auteur de la série Game of Thrones; pour moi, c’est l’auteur de The Armageddon Rag.
C’est François qui, le premier, avait évoqué sur son blog cet étrange recueil de nouvelles au titre non mois étrange: Comme un automate dément reprogrammé à la mi-temps, de Laurent Queyssi. Huit histoires bizarres, où les protagonistes jouent – souvent contre leur gré – avec la notion de réel.
The Gathering est un groupe que je suis depuis pas-ses-débuts-mais-presque (l’album Mandylion, pour être précis, qui reste encore mon préféré) et je dois avouer que j’ai un petit peu du mal avec ses évolutions récentes. Avec Disclosure, le dernier en date, j’ai l’impression de retrouver en partie le groupe que j’aimais bien.
J’ai acheté ce Fear of a Unique Identity, dernier album du groupe britannique Antimatter, avec une certaine appréhension: le précédent, Leaving Eden (qui date tout de même d’il y a cinq ans), m’avait laissé un souvenir mitigé, pour dire le mieux.
Je me rappelle d’une époque où Marillion était mon BEST FAVORITE BESTEST BAND EVAR! ou quelque chose dans ce goût-là. Cette époque est aujourd’hui lointaine, mais, au risque de me pourrir ma réputation d’anti-nostalgique hardcore, je dois avouer que je retrouve toujours dans les albums récents, comme ce Songs That Can’t Be Made, quelque chose qui me renvoie à cette période.
Il fut un temps où la sortie de Bonne-espérance!, le nouvel album du Voyage de Noz, aurait provoqué chez moi une poussée de fièvre, des hurlements enthousiastes à base de « IT MUST BE MINE! » et autres dommages collatéraux au décor alentours. Et puis on vieillit. Bon, ça, plus le fait que le précédent, Tout doit disparaître, s’apparentait à une demi-déception.
Comment vendre un disque? Facile: mettez des pointures de groupes mythiques ensemble et faites leur faire un album. Rajoutez une pochette qui repompe l’air de rien certains éléments graphiques de ces mêmes groupes et balancez le tout à grand renforts… Continue Reading →
J’ai longtemps hésité à poster un billet sur cet album, le petit dernier des Lyonnais de Noz. Principalement parce que, malgré tout l’amour que je porte, depuis longtemps, aux morceaux de ce groupe, Tout doit disparaître ne m’a pas laissé… Continue Reading →
Il y a des nouvelles, comme ça, qui vous font trépigner de joie en poussant des petits cris d’excitation. Le genre de chose qui met tout de suite de l’ambiance dans les bureaux et qui m’a rendu si populaire auprès… Continue Reading →
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