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Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Tag néo-prog

T: Psychoanorexia

Psychoanorexia de T est un album qui m’impressionne et m’enthousiasme, une sorte de panorama de quarante ans de rock progressif.

Mytho: In The Abstract

Le rock progressif est un genre qui supporte assez mal la médiocrité; du coup, quand on tombe sur un album assez moyen, comme c’est le cas de ce In The Abstract du groupe italien Mytho (déjà, le nom n’est pas très heureux…), le chroniqueur est un peu embêté.

Flicker: How Much Are You Willing to Forget?

Si vous n’aimez pas le rock progressif et, plus précisément, le néo-prog, passez votre chemin! Parce que ce How Much Are You Willing to Forget?, premier album du groupe britannique Flicker, est tellement représentatif du genre que c’en est presque douloureux.

Vienna Circle: Silhouette Moon

Les recommandations de ProgArchives, c’est toujours un peu la loterie, mais avec quand même un peu plus de chances de gagner un truc sympa – comme dans le cas présent, Silhouette Moon, album de Vienna Circle, qui est un petit bijou de rock progressif.

The Aurora Project: Selling the Aggression

Le groupe néerlandais de rock progressif The Aurora Project revient, avec son néo-prog à la Arena, pour nous narrer, avec Selling the Aggression, un conte des temps modernes: les guerres de l’Occident contre des nations plus ou moins barbares ayant l’avantage d’être truffées de ressources et l’inconvénient d’être dirigées par des dictateurs. Indice: à la fin, c’est la même chose; moralité: aucune.

Spock’s Beard: Brief Nocturnes and Dreamless Sleep

Lorsque j’ai écrit la critique de X, le précédent album de Spock’s Beard, je disais que c’était un groupe qui semblait avoir du mal à se remettre du départ de Neal Morse, son talentueux et emblématique chanteur-compositeur. Force est de constater, à l’écoute de ce Brief Nocturnes and Dreamless Sleep, que cette remarque est toujours d’actualité.

Jolly: The Audio Guide to Happiness (part two)

Un peu moins de deux ans après le part one, voici Jolly qui nous balance son Audio Guide to Happinness (part two). Et, du coup, j’ai bien envie de vous renvoyer à la chronique du précédent, tant celui-ci est dans la lignée.

Höstsonaten: The Rhyme of the Ancient Mariner – Chapter One

Encore un album pioché chez Gibert le mois passé (je vous rassure: j’arrive au bout), The Rhyme of the Ancient Mariner – Chapter One, du groupe de rock progressif italien Höstsonaten, pose pour moi un grave problème: comment en parler sans le comparer à la version d’Iron Maiden?

Zenit: The Chandrasekhar Limit

Ah, que je n’aime pas chroniquer des albums qui m’ont déçu! Surtout quand ils ont 1) un passé glorieux et 2) des qualités rédemptrices. C’est le cas de The Chandrasekhar Limit, du groupe suisse Zenit. Si au moins il avait été complètement naze et le fait d’inconnus, j’aurais pu le casser sans vergogne ou, mieux, l’ignorer.

DeeExpus: King of Number 33

Le deuxième album de DeeExpusKing of Number 33, fait partie du lot de disque que j’ai raflé à Paris il y a dix jours; en général, cette descente sur le rayon “rock progressif” de Gibert Musique se solde par beaucoup d’achats impulsifs et, en général, pas mal de déceptions. Cette fournée aura cependant été particulièrement faste et cet album est probablement le meilleur du lot, un pur bijou de néo-prog contemporain.

Morph: Sintrinity

C’est la critique assez largement positive de Progressive-Area qui m’a incité à mettre une grosse papatte velue sur Sintrinity, premier album du duo suédois Morph. Notamment, les fourbes ont mentionné TesseracT et Breaking Orbit. C’est très fourbe, parce que le rapport est quelque peu ténu.

Silhouette: Across the Rubicon

Après le rétro-progressif, le nouveau genre oxymorique du jour est le rétro-néo-progressif! C’est en tous cas ce que m’inspire Across the Rubicon, nouvel album du groupe néerlandais Silhouette, dont le néo-prog aurait été juste parfait il y a vingt-cinq ans. Cela dit, il faut reconnaître que, quand c’est bien fait, c’est le genre de musique qui tape directement dans le reptilien. 

SoulenginE: Mind Colours

Comme quoi tout arrive: ce Mind Colours, des Italiens de SoulenginE est une découverte enthousiasmante à mettre au crédit de Progarchives. Bon, je suis un peu méchant, mais mes derniers achats sur la recommandation de ce site s’étant souvent révélées décevantes, je me méfiais.

 

3RDegree: The Long Division

Bon, ces derniers jours, on est déjà passé par ce chemin: chroniques dithyrambiques sur Progarchives, achat et téléchargement et, au final, déception. La candidat du jour est The Long Division, du groupe américain de néo-prog 3RDegree.

Mad Puppet: King Laurin and his Rosegarden

Bon, j’ai beau avoir daubé par deux fois cette semaine sur Prograchives et ses chroniques moubourratives, il m’arrive tout de même de découvrir par ce biais quelques pépites fort sympathiques, comme le groupe italien Mad Puppet, actif entre 1982 et 2001. Je vais vous parler ici de l’album King Laurin and his Rosegarden, mais sachez que toute leur discographie est disponible gratuitement sur leur site (italo-allemand et un peu toupourri).

Opus Symbiosis: Nature’s Choir

Je crois l’avoir déjà dit une ou douze fois, si j’aime beaucoup le rock progressif, j’ai plus de mal avec le prog à chanteuse. Du coup, un album comme Nature’s Choir, tout récent opus du groupe finlandais Opus Symbiosis, me laisse des sentiments mitigés.

IOEarth: Moments

Si je vous dis que Moments, de IOEarth, est un album de néo-prog britannique, il y a de bonnes chances que – pour peu que vous vous intéressiez un peu au rock progressif, bien sûr – vous vous dites “encore?”. Je peux difficilement vous en vouloir, mais restez quand même un moment.

Landmarq: Entertaining Angels

Je soupçonne qu’il faudrait que je lance une nouvelle section sur ce blog, intitulée “je n’aime pas X, mais…” – X étant, au choix, le rétro-progressif, les histoires de superhéros ou, comme dans le cas de Entertaining Angels, le nouvel album de Landmarq, le rock progressif à voix féminines.

Izz: Crush of Night

La sortie du nouvel album de Izz, intitulé Crush of Night, n’a pas déchaîné chez moi des passions inextinguibles. Ceux qui se souviennent de la critique dythirambique que j’avais adressé au précédent, The Darkened Room, en seront peut-être étonnés, mais j’avoue que, depuis, l’enthousiasme est un peu retombé.

Overhead: Of Sun and Moon

Overhead, groupe de rock progressif finlandais, est pour moi une découverte récente, puisque je n’ai acquis leur premier album, And We’re Not Here After All, qu’en mai de cette année. Du coup, je rattrape le temps perdu avec Of Sun and Moon, qui est leur dernier album en date, sorti il y a quelques semaines à peine.

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