Cet article est le numéro 97 d'une série de 100 intitulée Radio-Erdorin
Actualité chargée pour Radio-Erdorin: deux concerts et un épisode traditionnel en trois semaines. Je viens de mettre en ligne ce dernier, pour octobre 2024.
Quand on est chroniqueur, certains albums sont des passages obligés. En metal progressif, Melodies of Atonement de Leprous rentre dans cette catégorie.
Avant cette chronique de Manifesto, de Sunburst, j’avais parlé du groupe en 2016, pour Fragments of Creation, mais ils n’ont pas fait d’albums entre deux.
Mes conseils en création: « un: pompez; deux: changez les noms ». Wheel n’a sans doute pas suivi ce conseil, mais leur album Charismatic Leaders l’illustre.
Encore un groupe de metal progressif! Certes, mais The Anchoret est un groupe qui nous emmène dans une autre direction avec It All Began with Loneliness.
Le metal progressif est un genre varié et si je compare Nascence, de The Aphelion, avec le précédent chroniqué, il y a quand même des différences majeures.
Rhyme Signatures a un don certain pour mettre la patte sur des albums qui sortent de l’ordinaire, comme Portal Hopper, de Mothman and the Thunderbirds.
C’est sur la foi d’une recommandation de Rhyme Signatures que je me suis intéressé à Kaleidoscope, de The Stranger, dont le défaut est d’être paru en 2021.
Quand deux vidéastes prog encensent un album, je dresse forcément l’oreille. Et, dans le cas de ce Bellum II, de Aquilus, je ne peux qu’abonder dans leur sens.