Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Tag humour

Con comme un homophobe devant un tribunal

Il y a des jours qui apportent leur lot de bonnes nouvelles, même dans le paysage politique français, qui rappelle parfois les bouts de désert dans le jeu post-apo Fallout, pixellisation comprise. Aujourd’hui, le quotidien Libération nous apprend qu’un politicien, accusé de propos homophobes, a été relaxé au motif que ses élucubrations étaient ridicules.

Laissez parler les petits papiers…

Ceux qui me connaissent (ou qui me fréquentent sur les réseaux sociaux et ailleurs) savent qu’en matière de jeux de mots pourris, il faut faire très fort pour me surprendre. Le Tumblr Laissez parler les petits papiers… fait très, très fort.

« Le T’Sank », d’Alexis Flamand

*_Le T’Sank_*, premier tome du « Cycle d’Alamänder » signé Alexis Flamand, m’a chaudement été recommandé par un mien ami du nom de Dimitri Pawlowski (on se croise genre deux fois l’an, en conventions). Le fait qu’il travaille aux Éditions de l’Homme Sans Nom, qui publie ledit cycle, n’est sans doute pas un hasard total.

L’usage de l’humour

Aujourd’hui, j’avais une autre idée de billet (qui viendra vendredi prochain), mais est apparu sur mon radar un article assez ancien, intitulé L’humour est une arme, publié sur le fort bien nommé blog L’égalistarisme c’est pas ce que vous croyez! (c’est vachement mieux).

Freaks’ Squeele 6: Clémentine

Après les groupes éponymes, la tendance de l’automne est aux bouquins qui ont pour titre Clémentine. Bon, ce n’est pas tout à fait vrai: ce sixième tome de la série Freaks’ Squeele est une bande dessinée et l’ouvrage de Cherie Priest chroniqué il y a peu est sorti depuis plusieurs années. Au fait, pourquoi s’appelle-t-il « Clémentine »? Je ne sais pas, je cherche encore…

Deadpool vol. 1: Dead Presidents

Quelque part, pour quelqu’un comme moi qui ai une relation avec les histoires de superhéros que l’on pourrait qualifier de « conflictuelle » en se vautrant avec délices dans l’euphémisme, ce premier volume relié des récentes aventures de Deadpool, titré Dead Presidents, est exactement ce qu’il faut.

RED 2

Hier soir, nous sommes allés voir au cinéma le scénario de Feng Shui filmé sous le nom de RED 2. Je sais, c’est un peu lapidaire, comme dirait le joaillier, mais je ne vois pas d’autre façon de résumer les quelques deux heures de plans débiles entrecoupés de bagarres, de fusillades et de poursuites qui constituent ce film.

Comment régler tous les problèmes de Genève

Dans un mois, ce sont les élections cantonales à Genève et, du coup, fleurissent les affiches politiques, notamment celles hideuses par la forme et par le fond du parti qu’un ami (pourtant pas du même bord politique que moi) qualifie de « mouvement si moyen genevois ».

The Lone Ranger

The Lone Ranger est un western sale et violent, avec des personnages crépusculaires aux intentions troubles, une interprétation moderne et réaliste des mythes de l’Ouest américain. Enfin, pas tout à fait.

Borderlands 2, retour sur Pandora

Si je vous reparle aujourd’hui de Borderlands 2, c’est parce que j’ai également téléchargé les quatre DLC et que c’est vraiment de la bonne!

Despicable Me 2

Après pas mal de déceptions cinématographiques, ça fait plaisir de voir enfin un film qui tient plus que ce qu’il promet. De plus, ce film est une suite, puisqu’il s’agit de Despicable Me 2, ce qui en fait un oiseau encore plus rare.

Câline et Calebasse, l’intégrale

Avec la réédition de Câline et Calebasse, bande dessinée signée Mazel et Cauvin parue dans Spirou entre 1969 et 1992 (mais surtout dans les années 1970), je suis en train de me taper une madeleine de Proust enrichie à la nostalgie pure. J’ai un peu honte, mais comme le dit la pub (et, du coup, j’ai doublement honte), c’est bon la honte!

« Mon donjon, mon dragon », de Lilian Peschet

Et me voilà donc à chroniquer un autre livre électronique écrit par quelqu’un que je connais – en l’occurrence Mon donjon, mon dragon, de Lilian Peschet, qui hante parfois ces pages sous le pseudonyme de ianian!

« Strate-à-gemmes », de Terry Pratchett

Cette chronique est à placer sous le signe de la honte: d’une part, Strate-à-gemmes est le premier livre de Terry Pratchett que je lis (Good Omens, écrit avec Neil Gaiman, ne compte pas vraiment), d’autre part, il a fallu que Fulgan me le colle d’autorité dans les mains pour que je l’ouvre (depuis qu’il fait de la musculation, je ne me sens pas trop de le contrarier) et, pour ne rien arranger, je l’ai lu en français.

« The Rapture of the Nerds », de Cory Doctorow et Charles Stross

Avouez que, d’entrée de jeu, avoir Charles Stross et Cory Doctorow à l’affiche, ça fait un peu dream team pour ce The Rapture of the Nerds, roman de science-fiction décalé bien comme il faut que l’on pourrait résumer par « la Singularité vue par quelqu’un qui ne l’aime pas ».

« La Porte », de Karim Berrouka

Dans la même volée que Les poubelles pleurent aussi, j’ai également acheté – sur le conseil insistant des personnes du stand Griffe d’encre – La Porte, une autre novella signée Karim Berrouka. L’idée générale – et, j’en ai peur, la conclusion – est similaire, sauf qu’il s’agit là une sorte de conte fantastique absurde, mettant en scène deux loups-garous dans leur chaumière, ayant affaire à toute une série de visiteurs du soir.

« Les poubelles pleurent aussi », de Guillaume Suzanne

Les extra-terrestres ont débarqué à Paris, attiré par la Tour Eiffel, avec leurs cadeaux par milliers et leur apparente omnipotence. Mais n’ont-ils pas une idée derrière la tête? Tel est le point de départ du court roman Les poubelles pleurent aussi, de Guillaume Suzanne, paru chez Griffe d’encre.

« Jean Yanne à rebrousse-poil », par Bertrand Dicale

Cadeau d’anniversaire inattendu mais très bien tombé, Jean Yanne à rebrousse-poil est un pavé biographique signé Bertrand Dicale qui explore la vie et la carrière d’un acteur si râleur qu’il aurait pu être genevois (il était en fait parisien, ce qui n’est pas beaucoup mieux).

Borderlands 2

Entre l’arrivée de Steam et une sorte de frénésie de portage de jeux plus ou moins récents, je me suis retrouvé ces temps-ci avec une belle quantité de jeux vidéos bien sympa. Le dernier en date, c’est Borderlands 2, un croisement jeu de rôle/jeu de tir à la première personne (un peu comme Deus Ex) dans un univers SF/post-apo/western à mi-chemin entre Fallout et Firefly, mais avec beaucoup plus de flingues.

Embellie probable (avec risques de fin du monde)

Ce n’est pas souvent que Le Matin, l’un des quotidiens sous-médiocres de Suisse romande, me fait rire. Volontairement, du moins. Et c’est encore plus rare que ce soit avec la page météo. Comme quoi il y a un début à tout.

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