C’est en train de devenir une tradition de Noël: la séance de ciné le soir du 24 décembre. Pour le coup, ma dame et moi avons même vu deux films à la suite, le premier étant Astérix: Le Secret de la potion magique, dessin animé réalisé par Alexandre Astier et Louis Clichy.
Une princesse, un elfe et un démon entrent dans un bar. Oui, je sais: je vous ai déjà fait la blague un certain nombre de fois, mais, dans le cas de Disenchantment, c’est à peu près littéralement le début de cette série animée signée Matt Groening. À vrai dire, c’est le titre du premier épisode.
Non, ce n’est pas une typo: ce sont bien des Cavaliers de l’Apocadispe dont il s’agit. D’ailleurs, ils ne sont que trois. Et un peu jeunes, aussi. Ce sont des gamins, quoi. Du genre à faire des bêtises. Plein de bêtises. Bref, cette BD de Libon, parue récemment chez Dupuis, est très drôle.
Barne Mustii est un comptable. Pas vraiment le héros des légendes: il est harcelé par son patron, sa femme l’a quitté et il s’engueule tous les matins avec son miroir. Il faut aussi préciser que, dans le monde imaginé par Simon « Gee » Giraudot dans ce roman Working Class Heroic Fantasy, le miroir est magique, l’ex-épouse une elfe et le patron un gobelin.
Revenu en héros dans sa ville natale de Elk Grove, Ash Williams peut espérer reprendre une vie pépère et rouvrir la quincaillerie familiale. Mais les démons ne vont pas le laisser tranquille, au propre comme au figuré. Sans parler de sa femme et de sa fille. Wait, what?… Et c’est ainsi que commence la troisième et dernière (en théorie) saison de Ash vs Evil Dead.
Cthulhu revient parmi les siens! Eh oui, le réveil du Dieu ancien et néanmoins poulpique est proche. Sauf que la clé de ce réveil est une jeune femme, Celle qui n’a pas peur de Cthulhu, et c’est l’histoire de cette derrière que nous narre le fort narrant Karim Berrouka dans son dernier roman.
Vous avez peut-être pu constater, au fil de certaines de mes chroniques littéraires, que j’ai un certain intérêt pour le fait religieux, pas forcément en relation avec une quelconque croyance. C’est dans cette catégorie que je classe la nouvelle BD de Fred Boot, Les Aventures de Rabbi Jeshua.
Moi, vous me connaissez? Je suis fan de San-Antonio depuis des temps immémoriaux – comme le prouve d’ailleurs cette introduction. Du coup, quand on m’annonce une adaptation en bande dessinée de San-Antonio chez les Gones, un des romans de la… Continue Reading →
Qui parmi mes lecteurs ont lu la Bible? Vraiment lu, j’entends: l’Ancien et le Nouveau Testament, tous les livres évangiles et autres textes divers. Peu, j’imagine. C’est un peu pour ceux-ci que Mark Russell (Too Much Coffee Man) a écrit God Is Disapppointed in You, un ouvrage qui, en gros, réécrit le canon chrétien sans les bouts chiants.
Vous avez le droit de dire que je suis un peu trop sur le problème, mais il se trouve que mes dernières réflexions sur les nazis, Internet, les communautés numériques m’a amené à d’autres considérations sur la notion de communautés toxiques.
Histoire de fêter dignement le 14 juillet, je vais vous parler d’un truc français. J’ai souvent tendance à dire que « à la française » est un synonyme de « en moins bon ». Il y a des exceptions, mais, comme je me souviens de quelques abominations des années 1980, les films d’animation figuraient encore en bonne place dans cette catégorie. Mais, là encore, les choses changent et Le Grand méchant renard est une bonne surprise.
Bon, j’admets ici que vous avez tous vu la première saison de Ash vs Evil Dead, la série télé qui reprend le principe des trois films Evil Dead et le personnage de Ash Williams (l’inénarrable Bruce Campbell), accompagné de ses deux acolytes Pablo (Ray Santiago) et Kelly (Dana De Lorenzo).
Mardi soir, l’indigence télévisuelle étant ce qu’elle est, ce fut séance rattrapage DVD avec le dessin animé The Secret Life of Pets – en français, Comme des bêtes, parce que la France est aux traductions WTF de titres ce que le Japon est au WTF tout court. Passons.
Ce n’est pas un titre, c’est une profession de foi: Le Grand n’importe quoi, de J.M. Erre est un roman qui emprunte plus au pastiche surréaliste qu’à la science-fiction, une sorte de fable absurde qui est à la fois une tarte à la crème et un grand cri d’amour envers la littérature en générale et celle de l’imaginaire en particulier.
Au hasard des derniers Mercredis de la SF genevois, j’ai récupéré la bande dessinée What the Future, de MO/CDM, parue aux éditions Fluide Glacial. C’est un peu « les Bidochons du futur »: une famille avec papa, maman et le fiston ado à une période mal définie, mais au moins deux siècles dans l’avenir.
OK; j’avoue, je suis en retard sur mes chroniques musicales – et avec tous les disques qui déboulent ces jours, ça ne va pas s’arranger – alors pour ce vendredi, je vais vous balancer une ch’tite connerie vue sur Facebook et qui m’a beaucoup fait rire: le Tumblr Sérial Râlistes, une belle collections de mèmes francophones et un peu méchants sur le jeu de rôle.
Au risque de me répéter, Empowered, la bande dessinée érotico-superhéroïque d’Adam Warren, se bonifie avec le temps. Il en est d’ailleurs de même avec son héroïne éponyme qui continue à sortir de son carcan de potiche surpulmonnée pour fantasmes bondage.
Vous connaissez l’histoire: un génie et son ami, associé et biographe qui partagent une colocation dans une pension tenue par une charmante vieille dame, dans le Londres de la fin du XIXe siècle. Eh bien Professor Moriarty, de Kim Newman, reprend et retourne l’histoire en la regardant par l’œil de l’antagoniste.
Une de mes nouvelles expressions fétiches, c’est « ce n’est pas un problème de XYZ, c’est un problème de connards« , où XYZ est un phénomène de société quelconque. Je crois qu’une des premières fois où je l’ai sortie, c’était au cours d’une discussion avec Axelle sur le narrativisme en jeu de rôle. Pour poser le niveau, donc.
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