Nouvelle année, nouvelle édition de la Japan Expo, à Paris. Cette année, c’est même la vingtième. Rien que! Ma première, c’était en 2004 au CNIT de La Défense: j’y étais allé pour faire la chasse aux illustrateurs pour Tigres Volants.
« Les étoiles sont alignées ». Les expressions lovecraftiennes, ce n’est pas trop mon truc, mais le slogan des Hydriades 2019 me paraît être le résumé le plus apte pour décrire cet événement ludique exceptionnel.
Les conventions se suivent et ne se ressemblent pas: après la très grande Trolls & Légendes, la grande et locale Orc’idée, me voici invité pour la deuxième Journée des mondes oniriques, à Charleville-Mézières.
Les conventions se suivent et ne se ressemblent pas: après Ludesco et sa démesure de l’autre côté de la Romandie, ce samedi avait lieu la convention de La Horde, au Grand-Lancy.
Il est samedi matin, je prends le train pour Monthey – proverbiale terre de mes ancêtres – et la Convention du Dé qu’a dents, le club de jeux chablaisien. Si vous avez lu le live report d’hier, vous aurez complété: « je prends le train à Aarau ». Un petit détour, mais ça en valait (sans jeu de mot) la peine.
Ce week-end, premier d’octobre, c’était la désormais habituelle convention OctoGônes, à Lyon. Je dis « désormais habituelle » parce que ça fat bien la sixième à laquelle je participe avec les amis et collègues de 2D Sans Faces.
Salins-les-Bains, vous connaissez? Moi non plus. Enfin, jusqu’à ce samedi et ma présence aux Journées du Livre à la médiathèque de cette petite ville du Jura français. J’y étais invité pour présenter le jeu de rôle Freaks’ Squeele: faire des parties, mais pas seulement.
Si on vous demande un jour quelle est la convention de jeu de rôle la plus paumée de Francophonie – les Chimériades étant hors concours, parce que la paumitude fait partie du concept – je vous suggère de mentionner RPGers, surtout si on pose un ratio fréquentation/éloignement.
À toute chose malheur est bon: grâce à un article nauséabond d’un masculiniste de gouttière qui a quelque peu enflammé les réseaux sociaux (enfin, surtout un) ce dimanche, je me suis souvenu que je m’étais promis de revenir sur mon expérience avec la Carte X. Si le sujet vous emmerde, vous avez le droit de ne pas lire: promis, je ne formaliserai pas.
Il semble qu’une « évolution pokémon » classique des conventions en Suisse romande implique de relocaliser l’événement au Palais de Beaulieu, à Lausanne. Après Polymanga et Japan Impact, c’est le cas cette année du Swiss Fantasy Show. Précédemment hébergée au Théâtre de… Continue Reading →
Les beaux jours reviennent et, avec eux, Orc’idée, qui est probablement la plus grande et/ou la plus ancienne des conventions de jeu de rôle de Suisse romande. Et donc, je reprends le chemin de l’EPFL – après Japan Impact –… Continue Reading →
La troisième convention de ce mois de mars m’emmène, non pas en Belgique, mais pas loin: Lille, pour l’édition 2018 de Ludinord. Ludinord, c’est un festival de jeux multi-genres – un peu comme Ludesco, mais à l’échelle d’une grosse région transfrontalière. Du coup, l’affluence sur les trois jours est de l’ordre de 10 000 personnes.
J’ai coutume de dire que la convention de La Horde est « la convention en bas de chez moi ». Pour cette édition 2018, même si dans l’intervalle j’ai déménagé un chouïa plus loin, j’ai décidé de faire vivre ce slogan en y allant en vélo. Huit kilomètres, ça réveille! Bon, pour ça, j’ai quand même attendu qu’il s’arrête de pleuvoir; faut pas pousser, non plus.
J’ai vu passer, sur mes divers fils d’information, quantité de messages sur la question de la rémunération des auteurs·trices, sur la question de la création comme d’un « métier passion » et autres. Le sujet n’est pas nouveau, mais a de nouveau fleuri (c’est le printemps) avec la décision du Salon du Livre de Paris de ne pas payer les interventions des auteurs invités.
Back to Cannes! Après une année de pause pour cause de « pas vraiment de chose à dire/montrer/faire » (et, si mes souvenirs sont bons, d’un peu trop de choses à la suite, genre Orc’Idée et Japan Impact), ma dame et moi avons repris le chemin de Cannes et de son Festival international des jeux.
Ce week-end, ma dame et moi avons récidivé sur le doublé FIJ/Magic: le vendredi et le dimanche à Cannes pour le Festival international des jeux – je vous en reparle demain – et le samedi à Monaco pour la quatrième édition du Monaco Anime Game International Conferences (MAGIC pour les intimes).
Vendredi matin, je me baisse pour ramasser la fourre de mon laptop – un bidule qui doit tout de suite peser ses huitante grammes tout mouillé – et je me pète le dos. Samedi matin: je suis à l’EPFL pour Japan Impact, édition 2018, avec six kilos de matos photo sur le dos, un badge presse autour du cou et toujours les lombaires en vrac. Oui, je suis un peu con.
Camarades ludistes, le dernier congrès de notre Internationale a eu lieu à la Maison du Peuple de Monthey, en République socialiste du Valaisistan, et j’ai eu l’honneur d’y représenter les camarades du kolkhoze 2d Sans Faces et ses fières productions!
Bon, donc, c’était la convention annuelle du Dé qu’a dents et c’était cool.
Aller aux Utopiales, quand on est geek tendance SF et autres mondes de l’imaginaire, c’est un peu achievement unlocked! Enfin, pour moi, en tout cas.
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