Bonjour les gens! Au moment où j’écris cette chronique, on est lundi soir et je regarde Jupiter Ascending sur ce qu’on appelle pudiquement une “chaîne du câble” (c’est un euphémisme pour “télé de merde”). On est limite dans le domaine du livetweet, là. Oui, je m’emmerde un peu, là.
Deuxième séance de rattrapage sur le thème comédie d’action sur le thème de l’espion post-bondien: le récent film Kingsman: The Secret Service, qui, comme Knight and Day, joue la carte de la satire, mais avec quelques subtilités supplémentaires. Si l’intrigue… Continue Reading →
Le hasard a voulu qu’à une semaine d’intervalle, nous regardions deux films qui ont maintenant quelques années et qui, chacun dans leur genre, présentent une relecture du film d’action/espionnage à la James Bond plus sous le signe de la comédie que du thriller. Le premier, c’est Knight and Day.
Ding dong, c’est l’heure d’un nouveau héros Marvel au cinéma: Doctor Strange est dans la place! Et, du coup, nous aussi, “la place” étant celle du cinéma pas trop loin de chez nous, qui a le bon goût de le… Continue Reading →
Bon, les copains, on va tout de suite poser les choses: je n’ai pas aimé Suicide Squad. Pour être plus précis, je n’ai pas réussi à entrer dedans dès le départ. Il m’est arrivé de prendre plaisir à voir des films qui, dès la fin de la séance, me sont apparus comme médiocres, mais pas cette fois.
Captain America: Civil War, dernier épisode cinématographique de l’univers étendu Marvel, répond à une question qui tarabuste souvent les amateurs d’histoire de super-héros: qui garde les gardiens? Ou, pour être plus précis, que se passe-t-il quand on demande aux gardiens d’être eux-mêmes gardés?
L’idée d’adapter en film Deadpool, le super-héros le plus barré de la tronche de l’univers Marvel, ressemblait à une gageüre. Le genre de projet casse-gueule qui faisait saliver tous les fans, tout en leur causant des sueurs froides.
Opération rattrapage de film, deuxième session, avec Mad Max: Fury Road. Disons que c’est un film que je serais peut-être allé voir au ciné si mes proches avaient insisté, mais un peu personne n’avait envie de le voir. Dans l’absolu, n’ayant été fan de la série – je n’ai vu que le troisième, c’est dire – je n’ai pas vraiment insisté non plus.
Profitant des fêtes, on s’est tapé, avec une partie du gang habituel, une séance de rattrapage vidéo avec Ant-Man, un des derniers avatars récents de l’univers cinématique Marvel. Je me méfiais un peu, pour cause de manque d’affinité flagrante avec l’autre super-héros insectoïde (oui, je sais que les araignées ne sont pas des insectes), mais celui-ci était plutôt rigolo.
Double passage obligé du geek blogueur contemporain: je suis donc allé voir The Force Awakens, le nouvel opus de la saga Star Wars, et me voici donc à écrire un billet là-dessus. Histoire de rendre les choses un peu plus amusantes, je vais essayer de faire en sorte de ne rien à dévoiler de l’intrigue et des surprises d’icelles.
Dans le dernier épisode en date de Agents of SHIELD, Coulson lâche “c’est le moment d’appeler les Avengers”. La nature et l’univers cinématique Marvel étant bien faits, voici donc Avengers: Age of Ultron, le nouveau film.
Pour résumer ce troisième volet de The Hobbit, il suffit d’en lire le titre: il y a un Hobbit, une bataille et cinq armées. Et c’est à peu près tout. Autant le dire tout de suite: à mon avis, cette conclusion est de loin le plus faible des six films réalisés par Peter Jackson dans l’univers de Tolkien.
Alors que le troisième volet sort ces jours au ciné, séance-rattrappage DVD pour Catching Fire, deuxième épisode de The Hunger Games. Si le premier pouvait ressembler à un remake plus ou moins réussi de Battle Royale, l’originalité de la série transparaît plus clairement avec l’ajout d’une grosse dimension politique dans le monde dystopique post-post-apo de Panem.
La séance de rattrapage DVD du week-end a été consacré à Now You See Me, un film où quatre magiciens de scène se livrent à des vols audacieux sous couvert de leur spectacle. Un film sur l’esbrouffe et, il faut bien le dire, par l’esbrouffe.
Encore un film de la franchise X-Men auquel je vais à reculons: Days of Future Past fait la liaison entre la série “contemporaine”, le flashback que constituait First Class et les spin-off sur Wolverine, X-Men Origins et The Wolverine.
À la veille d’un assaut majeur contre les Mimics, les extra-terrestres qui ont envahi la Terre, le major Cage, des relations publiques de l’armée US, a la brillante idée de menacer un général britannique pour éviter d’être envoyé couvrir le front. Du coup, le voilà rétrogradé, classé déserteur et… envoyé sur le front. Où il meurt. C’est ainsi que commence Edge of Tomorrow, un des blockbusters de l’été.
Décongelé après septante ans à la fin du premier film, plongé dans un conflit majeur dans The Avengers, Captain America revient dans The Winter Soldier, dans lequel il va devoir affronter une menace bien plus pernicieuse: un SHIELD perverti de l’intérieur.
Autant je suis allé voir The Monuments Men à reculons, autant j’étais remonté à bloc (sans jeu de mots) à l’idée de The Lego Movie. Il faut dire que j’avais vu pas mal d’extraits qui laissaient à penser que c’était bien con comme il faut. Je confirme: ça l’est.
Deuxième rattrapage de film semi-moisis pas vus au ciné, The Wolverine, la suite des aventures du sociopathe immortel qui fait “snickt!” quand on l’énerve. Cette fois-ci, il part au Japon pour y perdre son immortalité.
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