Avertissement liminaire: je n’aime pas Spider-Man. Le personnage et ses traitements à l’écran, s’entend; je crois n’avoir jamais lu un comics à son sujet – même les Spidey, c’est dire. Pourtant, je suis allé voir Into the Spider-Verse.
Bon, je vous préviens tout de suite, après un longue période d’abstinence, j’ai repris le chemin du ciné et, du coup, j’ai vu beaucoup de film ces derniers jours. Après la suite de Wreck-It Ralph, nous sommes allés voir le troisième – et, très probablement, dernier – film de la série How to Train Your Dragon, intitulé The Hidden World.
Ralph Breaks the Internet commence six ans après le précédent opus. Après leurs aventures, Ralph et Vanellope coulent des jours paisibles, au milieu de leurs collègues des bornes d’arcade voisines. Paisible? Peut-être trop paisibles pour Vanellope, qui rêve de changement.
C’est en train de devenir une tradition de Noël: la séance de ciné le soir du 24 décembre. Pour le coup, ma dame et moi avons même vu deux films à la suite, le premier étant Astérix: Le Secret de la potion magique, dessin animé réalisé par Alexandre Astier et Louis Clichy.
Une princesse, un elfe et un démon entrent dans un bar. Oui, je sais: je vous ai déjà fait la blague un certain nombre de fois, mais, dans le cas de Disenchantment, c’est à peu près littéralement le début de cette série animée signée Matt Groening. À vrai dire, c’est le titre du premier épisode.
Pour la séance rattrapage DVD de cette fin d’année, c’est Incredibles 2 que nous avons choisi. Enfin, le plus difficile a été de trouver un lecteur DVD opérationnel. Bienvenue en 2018! Si cette suite est sortis pas moins de quatorze ans après l’original, elle se situe dans la continuité immédiate du premier.
Histoire de fêter dignement le 14 juillet, je vais vous parler d’un truc français. J’ai souvent tendance à dire que « à la française » est un synonyme de « en moins bon ». Il y a des exceptions, mais, comme je me souviens de quelques abominations des années 1980, les films d’animation figuraient encore en bonne place dans cette catégorie. Mais, là encore, les choses changent et Le Grand méchant renard est une bonne surprise.
Mardi soir, l’indigence télévisuelle étant ce qu’elle est, ce fut séance rattrapage DVD avec le dessin animé The Secret Life of Pets – en français, Comme des bêtes, parce que la France est aux traductions WTF de titres ce que le Japon est au WTF tout court. Passons.
Petit génie de la robotique, Hiro Hamada fait le désespoir de son grand frère Tadashi, également roboticien, en gaspillant son talent dans des combats de robots moyennement légaux. Lorsqu’il parvient enfin à le convaincre d’entrer à l’université, il meurt dans un incendie, laissant à Hiro un prototype de robot infirmier, Baymax. Mais Hiro découvre que la mort de son grand frère n’est peut-être pas accidentelle.
J’avoue que ce n’est pas sans une certaine appréhension que je me suis laissé entraîné à une séance de rattrapage DVD pour Ice Age 4: Continental Drift. Non que les trois premiers films n’étaient pas bons, mais c’est précisément ce qui me fait peur: vous vous souvenez d’un film numéroté « 4 » qui tenait debout, vous? Et non, Star Wars: A New Hope ne compte pas.
Septante ans après que l’avatar Aang ait rétabli l’harmonie dans les nations élémentaires du monde, un nouvel avatar arrive. Elle s’appelle Korra, c’est une adolescente de la tribu de l’Eau et elle a un très mauvais caractère. The Legend of Korra est donc une suite de la série Avatar, the Last Airbender, mais dans un monde et avec une approche qui ont beaucoup changé – mais qui déménage tout autant que la première série.
Ces dernières semaines, il m’est arrivé un truc bizarre: je me suis retrouvé avoir sept ans et regarder des épisodes de Scoubidou. Bon, ce n’est pas tout-à-fait exact, vu que j’en ai toujours quarante-sept et qu’il s’agit de la nouvelle série, Scooby-Doo! Mystery Incorporated (Mystères associés en français).
Cinq ans après les événements du premier film (et des deux saisons de la série télé), How to Train Your Dragon 2 nous renvoie sur l’île de Berk, ses vikings, ses dragons et ceux qui les dressent. Hiccup (Harold en VF), Astrid et sa clique sont devenus de jeunes adultes et l’ambiance est au beau fixe.
En ce jour où Leiji Matsumoto était de passage à Genève, pour le Salon du Livre, nous avons décidé de regarder le film Space Pirate Captain Harlock, adaptation en images de synthèse d’un des personnages les plus célèbres de cet auteur, connu en France sous le nom d’Albator.
Dans les séries animées qui passent sur Cartoon Network, j’ai des potes qui sont fans d’Adventure Time, moi celle qui m’éclate complètement et systématiquement, c’est The Amazing World of Gumball – ou Gumball pour faire court.
Or donc, comme vous avez pu le lire hier, j’ai passé une bonne partie de ce week-end pascal à geeker chez les otakus, à savoir à Polymanga, sis au Montreux musique & convention centre – 2m2c pour les intimes. Bon, j’ai surtout joué le photographe officiel de ma cosplayeuse d’épouse, je dois dire.
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