Alamänder, mage questeur, vit tranquillement entre ses enquêtes et son démon familier. Jusqu’au jour où si les nouveaux propriétaires veulent l’exproprier.
Et de quatre! Après avoir poutzé en un peu plus d’un mois les deux tomes précédent, j’ai reposé Le YArkhanie, quatrième tome du Cycle d’Alamänder, signé Alexis Flamand. Et maintenant, j’ai l’air fin: le cinquième n’est pas encore paru.
Je vous avais prévenu: une fois que je suis lancé, ça fonce! À preuve, voici déjà la chronique du troisième tome du “Cycle d’Alamänder“, Le Xéol, signé Alexis Flamand. Cette fois, l’action sort enfin des confins quelque peu claustrophobiques de Fresnel pour se lancer dans un environnement à peine moins hostile: le champ de blés carnivores.
Avant de commencer ma chronique du Mehnzotain, deuxième tome du “Cycle d’Alamänder” d’Alexis Flamand, je tiens à signaler que je connais personnellement l’éditeur de ces bouquins et que j’ai rencontré leur auteur et discuté quelques temps avec lui. Donc, si la suite de cette note sent un peu trop le copinage, il y a des raisons. Après, c’est mon blog; si vous voulez de l’objectivité, lisez des sites sérieux!
Donc, Le Mehnzotain est très bien.
*_Le T’Sank_*, premier tome du “Cycle d’Alamänder” signé Alexis Flamand, m’a chaudement été recommandé par un mien ami du nom de Dimitri Pawlowski (on se croise genre deux fois l’an, en conventions). Le fait qu’il travaille aux Éditions de l’Homme Sans Nom, qui publie ledit cycle, n’est sans doute pas un hasard total.
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