Règle numéro 34: quel que soit le sujet, il en existe une version porno. Aucune exception. C’est une des multiples règles à laquelle Liz Kavanaugh, inspectrice de la police écossaise dans les années 2020, est confrontée quotidiennement dans Rule 34, le dernier roman de Charles Stross.
C’est sur les conseils d’Éric Nieudan qu’au milieu des frimas de saison, j’ai pris le chemin de la riante cité de Bagneux, l’édition 2012 de Zone franche Bagneux.
Je vous ai déjà parlé de Iron Sky, ce projet finlandais barré de film de science-fiction à propos de Nazis qui reviennent, septante ans plus tard, de leur base cachée sur la lune. Non seulement le film est terminé, mais qu’il sera présenté ce dimanche aux Berlinales.
Je ne sais pas si c’est la tendance ou une sorte d’accident statistique, mais après un mois de décembre plutôt raisonnable malgré deux semaines de hiatus, 2012 commence pour moi en fanfare, avec presque cinq euros de revenus Flattr.
En ces temps où on parle beaucoup de culture, la lecture d’un ouvrage comme Mainstream, de Frédéric Martel, est un salutaire rappel à la réalité.
Il y a deux catégories de post-rock: le sombre et le lumineux. La musique des Australiens de sleepmakeswaves fait partie des deux.
Je ne peux décemment pas passer sous silence la nouvelle de la traduction en français de Lady Blackbird : Contes de l’indomptable bleu du firmament.
Ayé, l’Apocalypse TPG m’a rattrapé! Ce n’est cependant pas pour me plaindre des transports publics genevois que j’écris ce billet. Au reste, ils n’ont pas grand-chose à voir dans l’histoire.
C’est via BoingBoing que j’ai découvert Witch Doctor, série de comics narrant les exploits du docteur Vincent Morrow, de son assistant Eric Gast et de son anesthésiste Penny Dreadful.
Ça faisait un petit moment que je ne vous avais pas parlé de la campagne lupanar. Ça avance. Billet suivant!
Vous aimez King Crimson? Vous allez aimer Insano, le nouvel album du groupe chilien Platurno. Sinon, euh… disons que ça va être brutal. C’est très « rock progressif, règles avancées ».
L’inénarrable Greg « Pogo » Pogorzelski, qui sévit également dans les commentaires de ce blog, vient de nous gratifier d’un bref manifeste politique que je ne peux que recopier ici, tant il me paraît juste et en phase avec mes opinions personnelles.
On va encore dire que je me fais une crise de la quarantaine, mais je pense sérieusement abandonner à la fin de l’année 2012 l’adresse électronique chez Span.ch que je trimbale depuis maintenant plus de quinze ans.
Nick Frost et Simon Pegg campent deux Anglais fan de science-fiction qui décident de louer un camping-car pour faire « la route des OVNI ». C’est sur cette route que, par hasard, ils tombent sur Paul.
Donc d’après John Bonvin, capitaine du VSS Couchepin et héros de la websérie Les Valaisans dans l’espace et de La Guerre des Romands, je suis un putain de dégénéré. J’assume.
Sis dans l’Europe en 1881, That Darn Squid God, de Nick Pollotta et James Clay, est un délire victorien sur un thème qui m’est cher – le démontage de Cthulhu à l’arme lourde.
J’ai l’impression que les acteurs traditionnels n’ont pas compris le problème majeur de leur approche industrielle de la culture: ça se copie tellement facilement qu’essayer de la contrôler est, au mieux, voué à l’échec.
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