Et c’est parti pour une deuxième saison de la série de science-fiction la plus improbable de la décennie, avec son vaisseau spatial en forme de siège de toilettes (ou de décapsuleur) et son équipage semi-dysfonctionnel – j’ai nommé The Orville!
Game of Thrones? Pfah! S’il y a une nouvelle saison que j’attendais avec impatience, c’est bien celle de Star Trek Discovery. L’épilogue de la première saison promettait un chouette mélange entre mystères spatiaux et figures légendaires et, au final, je ne suis pas déçu.
La saison 4 de Agents of SHIELD se terminait par un gros cliffhanger des familles – ainsi qu’une séquence post-générique WTF montrant Coulson dans l’espace (aaace… aaace…) et laissant présager une cinquième saison bien fumée. Ça n’a pas raté.
Une princesse, un elfe et un démon entrent dans un bar. Oui, je sais: je vous ai déjà fait la blague un certain nombre de fois, mais, dans le cas de Disenchantment, c’est à peu près littéralement le début de cette série animée signée Matt Groening. À vrai dire, c’est le titre du premier épisode.
L’inspecteur Tyador Borlú, de la police criminelle de Besźel, enquête sur la mort d’une étudiante en archéologie. En apparence, rien de plus banal. Mais, dans l’univers de The City and the City, il n’y a aucune affaire banale, surtout quand elle est en lien avec la ville siamoise d’Ul Qoma, cité tellement haïe que les citoyens de l’une ont appris à ne pas voir l’autre. Littéralement.
On va poser les choses dès le départ: à moins que quelqu’un arrive, dans les deux ans à venir, à faire quelque chose de vraiment top-fumé, la troisième saison prouve que The Expanse est la meilleure série de science-fiction de la décennie (avec Person of Interest en numéro 2) épicétout.
Ben Larson travaille pour Spiga, une multinationale de l’alimentation. En apparence, c’est un cadre ambitieux et doué. Mais, derrière Ben Larson, il y a Aaron Sloane, ancien réfugié climatique qui a usurpé l’identité d’un membre de l’élite pour retrouver celle qui l’aime. On est en 2074, les corporations dominent un monde ravagé par les crises et le changement climatique, bienvenue dans Incorporated!
Une des séries de science-fiction les plus innovantes – visuellement mais pas que – de ces dernières années, c’est Into the Badlands, qui nous revient avec une deuxième saison (et même une troisième, mais je ne l’ai pas encore vue).
Revenu en héros dans sa ville natale de Elk Grove, Ash Williams peut espérer reprendre une vie pépère et rouvrir la quincaillerie familiale. Mais les démons ne vont pas le laisser tranquille, au propre comme au figuré. Sans parler de sa femme et de sa fille. Wait, what?… Et c’est ainsi que commence la troisième et dernière (en théorie) saison de Ash vs Evil Dead.
Arthur n’est pas quelqu’un de normal. Déjà, il vit dans un monde où les super-héros sont une réalité. Ensuite, il est persuadé que le Grand Méchant disparu il y a plusieurs années, est encore en vie. De plus, il se retrouve avec une tenue qui lui donne des super-pouvoirs. Et, enfin, il gagne un allié fort encombrant, un colosse de plus de deux mètres, à peu près indestructible, affublé d’une combinaison bleue et appelé The Tick.
Au 24e siècle, un « mathusalem » – un membre de l’ultra-élite à la fortune incommensurable et quasi-immortel de fait – cherche à enquêter sur sa propre mort. Pour cela, il réincarne Takeshi Kovacs dans un nouveau corps et lui promet fortune et impunité. C’est ainsi que commence Altered Carbon, série adaptée du roman éponyme de Richard K. Morgan.
Un an s’est écoulé après les événements qui ont secoué la petite ville d’Hawkins – et surtout les quatre gamins qui jouaient à D&D avant que l’un d’entre eux, Mike, disparaisse. Mais les problèmes sont, eux, loin d’avoir disparu quand commence cette deuxième saison de Stranger Things.
Bon, on connaît tous le slogan: « espace, ultime frontière »; tellement ultime que les producteurs de Star Trek ont relancé la machine – douze ans après la fin de la précédente, Enterprise – avec une nouvelle série, intitulée Discovery.
Oui, je sais: tout le monde et son chien a déjà vu la deuxième saison de Stranger Things et moi je déboule avec mon air con, ma vue basse et ma chronique sur la première saison. C’est ça ou du rock progressif, alors ne venez pas piorner!
Le USS Orville, vaisseau de l’Union planétaire, et son équipage sillonnent l’espace pour apporter un message de civilisation, explorer les mystères de l’univers et assister ceux qui en ont besoin. Si cette accroche de la série The Orville vous dit quelque chose, c’est normal. C’est même voulu.
Posons tout de suite les choses avant de parler de cette première saison de la série American Gods: non, je n’ai pas lu bouquin, oui, je sais que c’est du Neil Gaiman, et oui, je vais sans doute le faire un de ces quatre. Ok, c’est bon?
Dans la première saison de Dark Matter, on avait six personnages amnésiques à bord d’un vaisseau qui, au fil des péripéties, retrouvaient des bribes de leur passé pour finalement convenir que leurs anciennes personnalités n’étaient pas des gens fréquentables – y compris par eux-mêmes.
Bon, j’admets ici que vous avez tous vu la première saison de Ash vs Evil Dead, la série télé qui reprend le principe des trois films Evil Dead et le personnage de Ash Williams (l’inénarrable Bruce Campbell), accompagné de ses deux acolytes Pablo (Ray Santiago) et Kelly (Dana De Lorenzo).
Comme mentionné précédemment, si vous voulez de la série télé de science-fiction, il y a une blinde de choix ces temps. Parmi celles-ci, The Expanse est probablement la plus impressionnante et la plus dense. Déjà par son côté hard-science et ses aspects réalistes (même si elle n’est pas complètement l’un ni l’autre), mais aussi par son scénario qui mélange géopolitique brutale et découverte majeure.
C’est une bonne époque pour être un fan de science-fiction, si l’on en juge par la profusion de séries qui sont diffusées ces temps. Killjoys est une de ces séries et, honnêtement, je me demande encore comment il se fait qu’elle ait été renouvelée pour une deuxième saison.
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