Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Category Musique

C’est peut-être un peu exagéré: j’y parle de métal – mais aussi de rock progressif, de post-rock et de plein d’autres genres entre les deux, à côté, dans les parages ou complètement à l’ouest.

TesseracT: Polaris

Polaris est donc le nouvel album de TesseracT, la formation anglaise de métal progressif tendance djent et, si vous avez lu mon précédent billet – et les quelques autres que j’ai consacré au groupe – vous vous doutez que je l’attendais avec impatience et appréhension.

 

Kingcrow: Eidos

À écouter Eidos, on pourrait croire que Kingcrow est un groupe scandinave ou britannique, à la limite américain, tant leur métal progressif contemporain rappelle Pain of Salvation, Riverside, Threshold ou Dream Theater. Surprise: ce sont des musiciens venus de la région de Rome qui nous livrent cet album plutôt enthousiasmant.

Ghost: Meliora

Après quelques écoutes de Meliora, dernier album en date du groupe mystérieux, mais néanmoins suédois Ghost, j’avais dit qu’il s’agissait d’un groupe de black-metal essayant de faire du prog, ou le contraire. En fait, Ghost est plus proche du « shock rock » des années 1970, dans l’esprit ainsi que dans le style.

Myrkur

Myrkur, c’est un projet qui a fait pas mal de petits tours dans mes divers flux RSS: Fred Bezies en a parlé, mais c’est loin d’être le seul. Il faut dire qu’un album de post-black-metal à voix féminine, ce n’est pas banal. Même venant du Danemark.

 

Amorphis: Under the Red Cloud

C’est peut-être moi, mais à l’écoute de Under the Red Cloud, j’ai l’impression que plus ça va, plus les Finlandais de Amorphis rajoutent du mélodique dans leur métal progressif. Sans enlever du métal pour autant. Ce n’est pas très raisonnable: à force d’empiler des trucs comme ça, on risque l’accident nucléaire.

Tuomas Holopainen: The Life and Times of Scrooge

Quand on découvre, avec nos yeux de francophones, que Tuomas Holopainen, ci-devant claviers de Nightwish, a composé un album sur The Life and Times of Scrooge – autrement dit, sur la vie de Picsou – on se prend un grand coup de WTF entre les deux oreilles.

 

TesseracT: Odyssey

Alors que Polaris, le nouvel album studio du groupe de métal progressif britannique TesseracT, est sorti (je vous en parle bientôt), j’ai enfin pu mettre la main sur Odyssey, leur album live – sorti sous le titre Odyssey/Scala, Scala étant le titre du DVD qui va avec. Il reproduit assez fidèlement l’expérience en concert que j’ai pu avoir et ce n’est pas une bonne nouvelle.

 

Spock’s Beard: The Oblivion Particle

Quand on aime le rock progressif, l’annonce d’un nouvel album de Spock’s Beard – en l’occurrence, The Oblivion Particle, le douzième – est toujours accueilli avec un certain enthousiasme. Enthousiasme teinté d’un certain scepticisme, car les Américains ont souvent déçu, ces derniers temps. Dans le cas présent, je me dois de prévenir que ce n’est pas le cas.

 

Borealis: Purgatory

Disons-le tout de suite: Purgatory, dernier album en date du groupe canadien Borealis, n’est pas l’album le plus original du siècle. La bonne nouvelle, c’est que s’ils inspirent très fort d’un groupe bien connu, ce n’est pas non plus le plus bateau du genre, puisque leur métal progressif énervé est très proche de celui d’Evergrey.

Soirée bien secouée rock/métal à l’Undertown de Meyrin

Samedi soir, c’était soirée métal genevois-mais-pas-que (pas que genevois et pas que métal non plus) à l’Undertown de Meyrin. Selon l’expression consacrée – surtout par moi, mais je l’ai volée originellement au Joe Bar’s Team – vous avez raté, c’était génial!

Deathwhite: Solitary Martyr

Deathwhite est un projet de métal progressif, tendance gothico-dépressif, dont on ne sait pas grand-chose sinon que Solitary Martyr est leur second EP en date. Visiblement, le groupe aime ses petits secrets et, si l’on en croit la chronique de Angry Metal Guy qui a attiré mon attention, personne ne sait réellement qui se cache derrière.

Mors Principium Est: Dawn of the Fifth Era

Mors Principium Est est un groupe finlandais, mais surtout fourbe, en ce qu’il attend ma deuxième bière à la Citadelle pour venir insidieusement et sauvagement me tabasser le tympan avec ce Dawn of the Fifth Era, un album de death-metal à la fois ultra-bourrin et très mélodique.

 

Manes: Be All End All

Il fut un temps où Manes était un groupe de black-metal norvégien; mais ça, c’était avant. Depuis quelques albums, le groupe se dirige vers des rivages bien plus improbables, comme le prouve ce Be All End All, dernier album en date du groupe, que l’on croyait pourtant défunt après Vilosophe, en 2003, et How the World Came to an End en 2007 (que j’ai manqué).

Gentle Knife

Dans la progosphère francophone, cet été, deux articles sur Neoprog et JesterProg ont quasi-simultanément salué Gentle Knife, groupe norvégien éponyme de son premier album. Du néo-prog léché, souvent contemplatif, dont la principale caractéristique est un duo vocal masculin-féminin.

Sirenia: The Seventh Life Path

Préparez vos cartons de metal-bingo, car voici The Seventh Life Path, le nouvel album de Sirenia, groupe norvégien de métal symphonique à voix féminine. On y trouve des chants féminins en clair, des chants masculins en growl, des orchestrations symphoniques et du goth inspiration Sisters of Mercy. La routine.

Symphony X: Underworld

Ah, Symphony X! À lui seul, le nom de ce groupe américain symbolise le power-metal symphonique, et ce depuis une bonne vingtaine d’années. Eh oui, déjà. Underworld est le neuvième album studio du groupe et représente plus la continuité que la rupture, avec tout ce que cela implique.

Arch Enemy: War Eternal

OK, après avoir écouté War Eternal, le dernier album des Suédois de Arch Enemy, je me dis que j’ai vraiment un problème avec ce groupe. Ce n’est pas mon premier essai et ça ne fonctionne toujours pas. Pourtant, il y aurait de quoi appuyer sur un certain nombre de mes boutons – ceux à dopamine, pas les autres.

La musique de merde n’est pas une fatalité

Un des sujets récurrents de ridicule, sur les réseaux sociaux ou dans la vraie vie, c’est la musique de merde. Pas seulement la musique qu’on n’aime pas: la vraie grosse soupe bien daubesque que l’on nous sert à longueur d’antenne. Mais, derrière les mèmes rigolards, je me pose deux questions: qui écoute ça et, surtout, pourquoi ceux qui se moquent n’écoutent-ils pas autre chose?

Locrian: Infinite Dissolution

Locrian est un duo originaire de Chicago, un de ces groupes sur lesquels on tombe un peu par hasard (OK, c’est grâce à Angry Metal Guy) et dont la musique – en l’occurence leur sixième album, Infinite Dissolution – qui vous laissent une impression étrange.

Loch Vostok: From These Waters

En théorie, je ne devrais pas aimer Loch Vostok: trop bruyant, trop confus, le métal de ce groupe suédois est souvent plus régressif que progressif. Pourtant, j’aime bien From These Waters; je le qualifierais de « formidable ». au sens premier du terme: il contient une telle impression d’urgence, de tension, que c’en est impressionnant.

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