Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Category Musique

C’est peut-être un peu exagéré: j’y parle de métal – mais aussi de rock progressif, de post-rock et de plein d’autres genres entre les deux, à côté, dans les parages ou complètement à l’ouest.

Nordic Giants: A Séance of Dark Delusions

Deux frères, Loki et Roka, deux géants de la mythologie nordique, des ambiances glacées et un post-rock cinématique à l’intensité impressionnante: le premier album de Nordic Giants, A Séance of Dark Delusions, est un des concepts les plus spectaculaires que j’ai entendu cette année.

 

Killing Joke: Pylon

Le premier qui invoque la nostalgie pour justifier mon amour pour Killing Joke, dont Pylon est le dernier album en date, risque de gros ennuis. Les suivants aussi. Même s’il est vrai qu’objectivement, c’est un groupe qui me rappelle des souvenirs – mais pas forcément ceux des années 1980 (et notamment « Love Like Blood »).

WOLVE: Sleepwalker

Le défaut des chroniques dithyrambiques – comme celles de Sleepwalker, du groupe français WOLVE – c’est qu’elles peuvent parfois engendrer la déception. Non pas tant que l’album soit mauvais, mais parce qu’on attendait quelque chose d’exceptionnel et qu’au final, on trouve « juste » un très bon album.

 

Amorphis, Arch Enemy et Nightwish à Lyon

Quand on est fan, il n’y a pas de lundi qui fasse: si vos groupes préférés passent dans la région, c’est banzaï et puis c’est marre! Donc, ce lundi soir, déplacement à Lyon pour voir Amorphis, Arch Enemy et Nightwish qui passent à la Halle Tony Garnier. En théorie.

Les restes du samedi: Blurred Vision, Clint Slate, Twin Lords

Allez, un peu de pub pour commencer cette deuxième édition des « restes du samedi » (pour rappel: les albums que je n’ai pas aimés, mais qui sont objectivement pas mal quand même): quand je vais à Paris, je ne manque jamais de passer à Gibert Musique.

Ghost à l’Usine

Ghost et moi, c’est l’histoire d’un coup de foudre: il y a six mois, je ne connaissais pas ce groupe suédois, qui propose une variante de hard-rock typé Californie 1974, mais avec des costumes absurdes et un fond de satanisme d’opérette. Et donc, hier soir, j’assiste à leur passage à l’Usine de Genève.

Elferya: Eden’s Fall

Certaines chroniques musicales sont plus difficiles à écrire que d’autres, notamment quand elles impliquent une formation régionale – dans le cas présent, le groupe de métal symphonique Elferya et son album Eden’s Fall.

Sumer: The Animal You Are

Comme, en cette fin d’année 2015, nous sommes toujours sans nouvelles d’un éventuel nouvel album de Tool, il est toujours agréable de trouver des formations qui s’inspirent de ce – désormais lointain – modèle. Sumer et son album The Animal You Are est à cette aune un peu plus que de la simple méthadone musicale.

 

Erang: Kingdom of Erang

Jusqu’à ce que je sois contacté par le musicien français Erang, j’ignorais qu’il existait un genre qui s’appelle le « Dungeon Synth ». En même temps, je suppose qu’il en va des genres musicaux comme des fantasmes sexuels: si tu penses avoir inventé un truc, le temps que tu vérifies sur Internet, tu trouveras toute une communauté qui est déjà dédiée.

 

T: Fragmentropy

Thomas Thielen, T pour les intimes, est un de ces artistes furtifs dont les albums, comme le dernier Fragmentropy, sortent loin du bruit et de la fureur des circuits traditionnels, mais parviennent néanmoins à susciter l’enthousiasme des amateurs de rock progressif.

fractures

Si le bruit des os brisés, les craquements de phalanges et le math-rock vous indisposent: passez votre chemin! Même si le groupe français fractures ne livre ici qu’un EP éponyme très bref – six pistes et un quart d’heure – sa thématique est limpide.

Elyose: Ipso Facto

Quelque part, ce nouvel album d’Elyose, Ipso Facto, se présente sous le signe de l’occasion ratée: alors que le groupe parisien passe demain en concert à moins d’un kilomètre de chez moi, j’embarque ce matin dans le TGV pour Paris. Je chouine un peu, mais bon.

Damnation Angels: The Valiant Fire

Pour comprendre ma chronique de The Valiant Fire, de Damnation Angels, il faut savoir comment s’opère mes choix, Quand je dis que c’est via la recommandation d’un site que j’ai découvert un album, cela signifie que j’ai parcouru la chronique, que j’y ai vu quelques mots-clés et que j’ai sauvegardé le tout et, plus tard, téléchargé l’album.

 

Behemoth: The Satanist

Dans la tête – notez que je n’ai pas dit « le cerveau » – de la ménagère de moins de cinquante ans, qui dit heavy-metal dit satanisme. Behemoth est un groupe polonais qui a décidé de prendre le qualificatif au premier degré et de carrément appeler son dixième album The Satanist. Au moins, comme cela, les choses sont claires.

 

Dave Kerzner: New World

Dans le petit monde du rock progressif, on a beaucoup parlé de New World, le premier album de Dave Kerzner. Multi-instrumentiste, compositeur, ingénieur du son, ex-membre du groupe Sound of Contact du fiston Collins, l’Américain est une de ces pointures peu connues de la scène prog et cet album est plutôt déroutant.

Gloryhammer: Space 1992 – Rise of the Chaos Wizards

Peut-on rester sérieux en écoutant un album intitulé Space 1992: Return of the Chaos Wizards, de Gloryhammer ? Pour ma part, je ne me suis pas autant bidonné depuis le dernier album de Nanowar (of steel).

 

Leaves’ Eyes: King of Kings

Le métal symphonique, c’est un peu comme pour tout: il y a du bon et du moins bon; la Loi de Sturgeon, en quelque sorte. J’ai tendance à classer le groupe germano-norvégien Leaves’ Eyes dans la première catégorie et leur nouvel album, King of Kings, est plutôt du genre à me donner raison.

Eluveitie à Thônex

À l’origine, je n’étais pas parti pour aller voir Eluveitie à Thônex, mais deux éléments m’ont convaincu: d’abord Fulgan, autant ami que beau-frère – à moins que ce ne soit le contraire – et ensuite la frustration de les avoir ratés à Trolls & Légendes.

Le restes du samedi: Alustrium, Muse, Promethee, Seylig Oya

J’inaugure ici une nouvelle rubrique, de parution probablement très irrégulière, puisque ça parle de ce que j’ai écouté (ou lu, ou regardé, mais cet épisode concerne seulement la musique), mais que je n’ai pas chroniqué, faute d’intérêt.

Riverside: Love, Fear and the Time Machine

C’est curieux, les impressions: j’écoutais Love, Fear and the Time Machine, le dernier album de Riverside, sur mes écouteurs à la caf’ du bureau et, soudainement, j’avais l’impression d’avoir Mariusz Duda et sa bande à la même table que moi. Un peu comme si je retrouvais des vieux amis et qu’on déconnait ensemble du dernier épisode de Doctor Who.

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