Pour vous parler de mon mois d’avril 2018, j’ai décidé de changer quelque peu la formule. Le mois passé, je m’étais proposé de combiner le désormais traditionnel « bilan mécénat » avec une « bilan création » qui me permettrait également de parler de ce que j’ai fait dans le mois.
J’ai vu passer, sur mes divers fils d’information, quantité de messages sur la question de la rémunération des auteurs·trices, sur la question de la création comme d’un « métier passion » et autres. Le sujet n’est pas nouveau, mais a de nouveau fleuri (c’est le printemps) avec la décision du Salon du Livre de Paris de ne pas payer les interventions des auteurs invités.
Comme quoi tout arrive: après deux ans quasiment sans y toucher, je viens de publier un nouveau chapitre pour Progressions, Échos de l’Arbre-monde sur Wattpad.
Au cours d’un récent « défi » sur Wattpad, Cloé et Tat’ de Cestdoncvrai m’ont tagué sur un billet parlant des inspirations. Je n’aime pas les défis, mais… Bref, parlons des inspirations derrière Erdorin / Tigres Volants. J’en avais déjà parlé il y a un moment, lors d’une conférence à La Chaux-de-Fonds, mais je vais reposer ça à plat.
Au milieu des témoignages #metoo ou #balancetonporc, j’ai vu passer un essai venu du blog Crêpe georgette intitulé Du serial lover au serial rapist ; comprendre la sexualité pour comprendre les violences sexuelles. Son contenu est presque aussi glaçant: si on regarde la sexualité (en Occident, tout du moins), elle est intimement – sans jeu de mot liée – à la violence.
… ou de la sortie, puisque dès demain, 29 septembre, Freaks’ Squeele, le jeu d’aventures est officiellement disponible en boutique. Après un poil plus de deux ans de travail sur le sujet et quelques malédictions diverses, c’est un peu le soulagement pour mon co-auteur principal, Antoine, et moi-même.
Alors bon, ces temps, je suis un peu le nez dans le guidon avec l’écriture de Freaks’ Squeele et de ses divers suppléments, mais j’ai quand même vu passer sur Twitter une râlaison de Greg Pogorzelski sur la notion de fiction, d’univers partagé et du canon – c’est-à-dire ce qui fait partie du contexte officiel d’une fiction.
Dans un peu moins d’un mois, le 22 août, ce sera le Ray’s Day, la fête des livres, des lecteurs et des auteurs. Lancé il y a trois ans par Neil Jomunsi en l’honneur de Ray Bradbury – le 22 août est le jour de sa naissance – l’événement se perpétue et c’est tant mieux!
Comme vous l’avez peut-être lu sur le site d’en face, j’ai décidé de sauter le pas et de publier mes deux « romans », Progressions et Erdorin, au format physique. Pour ce faire, j’ai eu recours à CreateSpace, un site américain qui propose de l’impression à la demande, à la suggestion d’une auteure suisse rencontrée récemment en librairie.
Dans le sillage de discussions ayant eu lieu dans le cadre de Nuit Debout, Neil Jomunsi a rédigé un Manifeste pour les autrices et les auteurs libres, indépendant-e-s et solidaires. Ce manifeste, dont je suis un des signataires et à la rédaction duquel j’ai participé par la bande, est reproduit ici.
Depuis que j’ai découvert Wattpad et Atramenta, je continue à m’intéresser aux plateformes d’écriture et de lecture en ligne et, grâce à Greg Siebrand, j’ai pu découvrir deux autres outils du même genre, à savoir Scribay et Tellyon.
Thierry Crouzet a publié récemment sur son blog un article très intéressant sur les licences Creative Commons et leur utilisation, intitulé Conditions opératives du Creative Commons.
Ayé, c’est fait, c’est bouclé: un vainqueur est moi! Quoi donc? Tout simplement les 50 000 mots de Progressions – Échos de l’Arbre-monde, le texte que j’avais décidé d’écrire dans le cadre du défi NaNoWriMo 2015 – National Novel Writing Month – dans lequel je me lançais pour la première fois cette année.
En ce vendredi 13, je suis heureux d’annoncer que j’en suis à peu près à la moitié de mes objectifs de NaNoWriMo. Pour mémoire – au cas où des gens plus vieux que moi liraient ces lignes – le NaNoWriMo (pour National Novel Writing Month) est une sorte de concours littéraire qui demande à ses participants d’écrire 50 000 mots en un mois.
Bon, ce n’est pas que ça me démange très intensément, mais l’envie de participer cette année au NaNoWriMo – pour National Novel Writing Month – me titille depuis un moment. Ce n’est pas tant par envie d’être tendance, mais surtout parce que c’est l’occasion de me sortir les doigts opposables de là où le soleil ne brille jamais et de finir par poser sur papier une idée qui me trotte dans la tête depuis quelques temps.
Je ne suis pas un vrai auteur, mais j’en joue un sur Wattpad. Du coup, je m’intéresse à cette plateforme de façon un peu plus active depuis quelques temps, d’abord en la découvrant du point de vue du lecteur, avec récemment One Minute et #Smartarded.
Il y a des moments, comme ça, où je me retrouve soudainement dans un million de médias différents. OK, peut-être pas un million, mais quelques-uns, en tout cas.
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