Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Category Lectures

Les mots que je lis (avec ou sans images).

« 1918, L’étrange victoire », de Jean-Yves Le Naour

Avec 1918, j’arrive au bout des cinq volumes que l’historien Jean-Yves Le Naour a consacré à cette Première Guerre mondiale, qui porte en elle les germes de tout le XXe siècle. Et ce n’est pas beau à voir.

« Crux », de Ramez Naam

Crux est le deuxième roman de la trilogie Nexus, de Ramez Naam, un techno-thriller d’anticipation transhumaniste, centré sur une drogue éponyme basée sur des nanomachines, qui agit comme un système d’exploitation pour ceux qui en prennent et qui leur permet de se connecter, partager des expériences… ou pire.

« 1917, La paix impossible », de Jean-Yves Le Naour

Moi qui ne connaissais pas grand-chose de la Première Guerre mondiale (je connais nettement mieux la seconde et je ne suis pas super-enthousiasme à l’idée de devenir un spécialiste de la Troisième), je me régale avec la série de bouquins de Jean-Yves Le Naour sur ce conflit. 1917 est, comme son nom l’indique, le quatrième de la série.

Orbital, tome 7: Implosion

Bon, j’étais parti pour vous écrire une note sur Implosion, ce septième tome de Orbital, bande dessinée de science-fiction signé Pellé (dessin) et Runberg (dessin), dans la foulée des tomes précédents. Or, en consultant mes archives, je m’aperçois que je n’ai chroniqué que les deux premières « missions », à savoir les tomes un à quatre de la série.

De Cape et de Crocs, tome 12: Si ce n’est toi…

Deuxième tome du diptyque sur Eusèbe, le si mignon lapin de De Cape et de Crocs, Si ce n’est toi… est une preuve supplémentaire que cette bande dessinée est une des meilleures du monde. Ouais, carrément! Ceci posé, j’avoue que… Continue Reading →

« The Door into Summer », de Robert Heinlein

En faisant un peu de ménage pré-déménagement dans nos rayonnages, je suis tombé sur The Door into Summer, de Robert Heinlein, un autre classique que je n’avais pas lu et que j’ai dévoré en quelques soirées. Paru en 1957, c’est de la science-fiction de divertissement, un truc assez léger.

« 1916, L’enfer », de Jean-Yves Le Naour

Troisième tome de la série de livres historique sur la Première Guerre mondiale signés Jean-Yves Le Naour, 1916 est sous-titré « L’enfer« . Ce qui pose la question suivante: en quoi cette année serait encore plus infernale que les invraisemblables boucheries de 1914 et 1915? La réponse tient en deux noms de lieu: Verdun et la Somme.

« 1915, L’enlisement », de Jean-Yves Le Naour

Ces temps-ci, je me fais des séries de bouquins en rafale; après The Secret World Chronicle, j’enchaîne sur quelque chose de totalement différent avec 1915, de Jean-Yves Le Naour, suite de 1914 chroniqué en mai. J’ai déjà la suite, qui suit la même formule, à savoir un volume par année jusqu’en 1918.

The Secret World Chronicle, book four: « Collision »

Bon, ben je suis bien embêté: j’ai fini le quatrième tome de The Secret World Chronicle, intitulé Collision. C’est embêtant, parce que ce tome est paru il y a un an et il y a peu de chance de voir le prochain avant un moment. Et si ce quatrième tome ne se termine pas sur un cliffhanger, c’est pas loin quand même.

« L’homme qui vendit la Lune », de Robert Heinlein

Le truc amusant, quand on se plonge dans certains auteurs dits « classiques » qui ont écrits à peu près à la même époque, c’est qu’on peut comparer les styles. Après avoir vu le premier tome de Fondation récemment, je me suis attaqué à L’homme qui vendit la Lune, de Robert Heinlein, un autre géant de la science-fiction des années 1940-1950.

The Secret World Chronicle, book three: « Revolution »

Oui, je continue à fond les ballons dans la série co-éditée par Mercedes Lackey, The Secret World Chronicle (ou Secret World Chronicles; ce n’est pas très clair), avec ce troisième tome, intitulé Revolution. C’est un gros morceau – non pas que les autres étaient de la petite bière, mais il s’y passe vraiment beaucoup de choses.

« Fondation », d’Isaac Asimov

Je pense l’avoir déjà écrit quelque part, mais les bibliothèques sont remplies de classiques que je n’ai pas lu. Même en science-fiction – surtout en science-fiction, d’ailleurs. L’œuvre d’Isaac Asimov en fait partie et, du coup, j’ai profité d’un exemplaire de Fondation – récupéré en book-crossing lors d’un des récents Mercredis de la SF – pour m’y lancer.

The Secret World Chronicle, book two: « Worlds Divided »

Il m’a fallu un petit moment avant de me décider, mais j’ai fini par craquer et acheter les trois autres tomes de la série The Secret World Chronicle, à commencer par le deuxième tome, Worlds Divided. Je me suis dit qu’un monde contemporain avec des super-héros, ça pourrait avoir un intérêt commun avec un projet sur lequel je travaille

Blake et Mortimer: Le Testament de William S.

William Shakespeare a-t-il vraiment existé? C’est une question qui peut paraître absurde, mais qui a secoué le petit monde du théâtre et de la bonne société londonienne entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe et c’est cette énigme à laquelle s’intéresse Le Testament de William S., dernier opus des aventures de Blake & Mortimer.

« La Ligue des Héros », de Xavier Mauméjean

Ils étaient quatre. Quatre héros à se dresser, lorsque Peter Pan et ses séides du Pays de Nulle Part ont envahi la Terre depuis Kensington Gardens, en 1898. Lord Kraven, Lord Africa, English Bob et le Maître des Détectives formaient La Ligue des Héros et c’est leur histoire que nous narre Xavier Mauméjean.

« Inner City », de Jean-Marc Ligny

Quelque part au XXIe siècle, la réalité virtuelle est dans tous les foyers et rares sont ceux qui s’aventurent dans la Basse Réalité – le monde physique. C’est donc les rues désertées de Paris que se déroule Inner City, roman cyberpunk signé Jean-Marc Ligny.

« Stellicides », de Laurent Jardin

Si quelqu’un vous demande, c’est encore de la faute de Fred Bezies. Pour une fois, ce n’est pas du post-rock, mais un « roman rock »: Stellicides, de Laurent Jardin, que ce blogueur avait mentionné dans un de ses « En vrac mercurien« .

Jour J, tome 26: « La Ballade des Pendus »

Cette Ballade des Pendus, vingt-sixième tome de la série de bande dessinée uchronique Jour J, plonge le lecteur dans un Moyen-Âge plus sombre et violent que jamais. Et aussi dans quelques abîmes de perplexité, pour peu qu’il soit un chouïa historien.

« Poupée aux yeux morts », de Roland C. Wagner

Je continue mon périple un peu aléatoire, au gré des republications, dans l’œuvre de Roland C. Wagner avec Poupée aux yeux morts, réédition d’une histoire en trois tomes qui parle de voyage spatial, d’évolution, de drogues, d’amour et de jeux de mots foireux. Pile mon truc, quoi!

« Chevalier Larouille », de Mathieu Okubo

Voici une chronique littéraire un peu particulière, d’une part parce que les trois tomes de Chevalier Larouille sont d’un genre – le roman historique – que je ne recherche pas particulièrement et parce que son auteur, Mathieu Okubo, les publie sur Wattpad.

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