On vieillit quand on va à une convention comme Ludesco et, avant de considérer des questions ludiques, on se dit qu’il y a de la bonne bière et qu’on y mange bien.
Samedi soir, c’était l’assemblée générale de 2 dés sans faces et on en a profité pour parler un peu de la campagne lupanar. « Un peu », comme dans « beaucoup, mais on avait aussi d’autres choses à discuter » (et des bières à boire). Ce qui signifie que, oui, 2 dés sans faces existe toujours, ce qui est peut-être une surprise pour certains d’entre vous.
Si je vous parle d’un dessin animé américain pas tout jeune, mettant en scène un savant génial, deux adolescents et leur garde du corps, les plus ravagés d’entre vous vont sans doute penser à Jonny Quest. The Venture Bros. en est la version trash et décalée.
En 1932, Ella Maillart, jeune Suissesse assoiffée de grands espaces, parcourt l’Orient soviétique: Kazakhstan, Ouzbékistan, Kirghizistan; elle écrit plus tard son récit de voyage, Des Monts célestes aux sables rouges.
La Horde de Barbarie, c’est la convention en bas de chez moi. Presque littéralement, d’ailleurs, puisqu’elle a lieu dans un bled à deux bornes en contrebas de là où j’habite.
Déjà cinq tomes avec ce Nanorigines et Freaks’ Squeele m’apparaît comme une de mes séries préférées, un délire construit à mi-chemin entre les univers de Harry Potter et d’In Nomine Satanis/Magna Veritas, le tout traité à la double sauce du manga shoujo et de l’humour décalé.
C’est un tout petit billet très court signé Warren Ellis, dont le contenu peut se résumer à son titre: Any Sufficiently Advanced Civilization Is Indistinguishable From Nature.
C’est devenu notre virée bi-annuelle dans le sud de la France : Isa et moi étions au Festival international des jeux de Cannes (FIJ pour les intimes) ce week-end.
Règle numéro 34: quel que soit le sujet, il en existe une version porno. Aucune exception. C’est une des multiples règles à laquelle Liz Kavanaugh, inspectrice de la police écossaise dans les années 2020, est confrontée quotidiennement dans Rule 34, le dernier roman de Charles Stross.
C’est sur les conseils d’Éric Nieudan qu’au milieu des frimas de saison, j’ai pris le chemin de la riante cité de Bagneux, l’édition 2012 de Zone franche Bagneux.
Je vous ai déjà parlé de Iron Sky, ce projet finlandais barré de film de science-fiction à propos de Nazis qui reviennent, septante ans plus tard, de leur base cachée sur la lune. Non seulement le film est terminé, mais qu’il sera présenté ce dimanche aux Berlinales.
Il y a deux catégories de post-rock: le sombre et le lumineux. La musique des Australiens de sleepmakeswaves fait partie des deux.
Je ne peux décemment pas passer sous silence la nouvelle de la traduction en français de Lady Blackbird : Contes de l’indomptable bleu du firmament.
C’est via BoingBoing que j’ai découvert Witch Doctor, série de comics narrant les exploits du docteur Vincent Morrow, de son assistant Eric Gast et de son anesthésiste Penny Dreadful.
Ça faisait un petit moment que je ne vous avais pas parlé de la campagne lupanar. Ça avance. Billet suivant!
Sis dans l’Europe en 1881, That Darn Squid God, de Nick Pollotta et James Clay, est un délire victorien sur un thème qui m’est cher – le démontage de Cthulhu à l’arme lourde.
Un ancien soldat, un Paris transformé par l’impulsion d’un préfet mégalomane, des « anomalies » biomécaniques, une conspiration autour d’un personnage légendaire, tels sont quelques-uns des éléments de Masqué.
Anima Morte et son album The Nightmare Becomes Reality fait un rock progressif instrumental, qui suggère une ambiance façon musique de film d’horreur italien de la « grande époque ».
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑