L’idée d’adapter en film Deadpool, le super-héros le plus barré de la tronche de l’univers Marvel, ressemblait à une gageüre. Le genre de projet casse-gueule qui faisait saliver tous les fans, tout en leur causant des sueurs froides.
Mon épouse, qui connaît – de trop près – mes mauvais goûts, m’a offert, pour mon anniversaire, Deadpool: L’Art de la Guerre, une courte BD sur le Mercenaire à Grande Gueule et sur Sun Tzu. Brièvement, pour ce dernier.
Tu es jeune, tu aimes la littérature de jeune, avec ses hachetagues et ses personnages gènedeurcouire? Tu vas quifer #MonOrchide, le deuxième tome du cycle des NoéNautes, signé de Pouhiou! Quoi, j’en fais trop? C’est pas de ma faute, c’est lui qui a commencé!
Opération rattrapage de film, deuxième session, avec Mad Max: Fury Road. Disons que c’est un film que je serais peut-être allé voir au ciné si mes proches avaient insisté, mais un peu personne n’avait envie de le voir. Dans l’absolu, n’ayant été fan de la série – je n’ai vu que le troisième, c’est dire – je n’ai pas vraiment insisté non plus.
James, Élise et Jorg sont un trio d’arnaqueurs dans la ville de Nowy Krakow, vivotant de petits expédients, jusqu’à ce qu’un mystérieux commanditaire leur proposent un coup unique – et dangereux. C’est le point de départ de La Stratégie des As, roman de fantasy/steampunk de Damien Snyers.
Qui dit voyage en avion, dit occasion de voir des films que j’avais soit raté à leur sortie, soit qui n’étaient pas sortis du tout. Il me semble que ce The Man from U.N.C.L.E rentre dans la seconde catégorie, mais, ayant repéré la bande-annonce il y a quelques temps, j’ai profité de l’aubaine – en l’occurrence, dix heures de vol au-dessus de l’Afrique.
Et hop! Une troisième saison pour Agents of SHIELD, la série de l’univers cinématique Marvel qui, en se focalisant sur le pendant humain des Avengers, fait le lien entre les divers films. Bon, dans le cas présent, ce n’est pas vraiment le cas et c’est peut-être un peu dommage.
Quand j’ai dis faire du rattrapage sur l’œuvre de Roland C. Wagner, je le fais jusqu’au bout (oui, je sais qu’il m’en reste encore plein à lire, à commencer par les Futurs mystères de Paris)! Acheté en même temps que Rêves de Gloire, Le train de la réalité de Roland C. Wagner est un complément à ce dernier composé de plusieurs textes de longueur variable, entre deux et une vingtaine de pages.
Depuis le temps qu’on m’en parle, j’ai fini par lire Rêves de Gloire, le roman de Roland C. Wagner que beaucoup considèrent comme son « Grand-œuvre ». Il est vrai qu’avec ses huit cents pages en version poche, le bouquin se pose un peu là! Paru en 2011, c’est aussi, hélas, son dernier roman.
De retour d’urgence d’une mission diplomatique, le professeur Dominique « Mo » O’Brien découvre chez elle une vampire, qui se trouve également être une ex de son mari. La situation devient encore plus complexe quand son violon maudit s’en mêle, au point que le mari en question – qui n’a honnêtement pas grand-chose à se reprocher – doit lancer des imprécations en énochien ancien pour que tout le monde se calme.
Celui-là, j’ai failli le rater: pour des raisons qui m’échappent, Opération Aiglon, le troisième et dernier tome de la série Spynest est sorti il y a presque un an (en mars 2015) et si je ne l’avais pas vue en passant dans une librairie française, je l’aurais complètement zappé. Ce qui eut été dommage.
Le nom du groupe comme le titre de l’album annoncent la couleur: The Fall de Collapse, c’est du gros post-rock cinématique sur thème de catastrophe. J’arrive dessus après la bataille – après surtout que Fred Bezies ait écrit un article dithyrambique dessus – mais j’aurais déjà dû le voir passer à l’époque de sa sortie, vu que Neoprog et Clair & Obscur l’avaient chroniqué.
Profitant des fêtes, on s’est tapé, avec une partie du gang habituel, une séance de rattrapage vidéo avec Ant-Man, un des derniers avatars récents de l’univers cinématique Marvel. Je me méfiais un peu, pour cause de manque d’affinité flagrante avec l’autre super-héros insectoïde (oui, je sais que les araignées ne sont pas des insectes), mais celui-ci était plutôt rigolo.
Double passage obligé du geek blogueur contemporain: je suis donc allé voir The Force Awakens, le nouvel opus de la saga Star Wars, et me voici donc à écrire un billet là-dessus. Histoire de rendre les choses un peu plus amusantes, je vais essayer de faire en sorte de ne rien à dévoiler de l’intrigue et des surprises d’icelles.
Les soldes de Steam, c’est le Mal pour le porte-monnaie, mais c’est le Bien pour le gamer qui a quelques jours de vacances devant lui. C’est dans cette optique que j’ai raflé Tales from the Borderlands, un jeu d’aventure genre « point-and-click » qui se déroule, comme son nom l’indique, dans l’univers de Borderlands.
Arcanum 101, court roman écrit par Mercedes Lackey et Rosemary Edghill, c’est un peu Harry Potter croisé avec les X-Men, en plus terre-à-terre. Il fait partie d’un univers commun, intitulé « Elves on the Road »; on y retrouve aussi un personnage nommé Victoria Victrix, comme dans les Secret World Chronicles.
Dans le monde de The God Engines, de John Scalzi, non seulement les dieux existent, mais ils propulsent les vaisseaux spatiaux. De fait, la foi est une valeur primordiale, surtout pour le capitaine Ean Tephe, chargé d’une mission capitale pour l’humanité face à ses ennemis impies et malgré un dieu récalcitrant.
Deux frères, Loki et Roka, deux géants de la mythologie nordique, des ambiances glacées et un post-rock cinématique à l’intensité impressionnante: le premier album de Nordic Giants, A Séance of Dark Delusions, est un des concepts les plus spectaculaires que j’ai entendu cette année.
Johnny Kwan, l’exorciste hongkongais qui est le protagoniste du roman Les 81 frères, n’est pas un inconnu de nos services – enfin, des miens – puisqu’il apparaît pour la première fois dans l’anthologie L’Amicale des jeteurs de sorts, parue en 2013. Son auteur, Romain d’Huissier, non plus, d’ailleurs.
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