Alamak et Séléné

Alamak et Séléné sont les deux petites terreurs qui sont entrés dans notre vie il y a un peu plus d’un mois – et dans à peu près tous les recoins de la maison depuis. Ce sont deux chatons, né début avril, une fratrie à l’hérédité incertaine, mais au pelage sable marbré de brun.

Ils sont très mignons. Normal: ce sont des chatons.

Alamak, c’est le mâle; Séléné, c’est la femelle. Deux noms d’origine astronomique. Normal, pour des chatons-stars. Elle est plutôt câline, tendance machine à ronrons. Lui, beaucoup moins: il n’aime pas qu’on le caresse. J’ai même tendance à dire qu’il n’a peur de rien, sauf de ma main.

Notre maison, c’est un peu le terrain de jeu idéal: deux étages, des tonnes de bordel. Le bonheur félin! Ils explorent, souvent de conserve, et nous laissent parfois quelques cadeaux malodorants dans des endroits inaccessibles. Bon, on ne va pas se plaindre: ils sont raisonnablement propres.

Sans surprise, ce sont des boules d’énergie avec un enthousiasme qui confine à l’explosion nucléaire. Du genre à faire des courses dans notre chambre. À trois heures du matin.

Une que tout ce remue-ménage amuse moyennement, c’est la Reine-mère, à savoir Winry. L’idée de prendre deux chatons, c’est qu’ils pouvaient s’occuper parmi et éviter d’enquiquiner notre vénérable minette (quinze ans en septembre). Cette partie du plan a plutôt bien fonctionné.

Ce qu’on n’avait peut-être pas prévu, c’est que ce petit bout de persanne de rien du tout deviendrait turbo-territoriale avec l’âge. Du coup, les deux petits fauves, elle a d’abord eu tendance à leur courir après. Comme disait une amie sur Facebook, « compagnie et coach sportif ».

Les débuts ont été rugueux, avec des chatons planqués et une minette en mode übersturmmiaou. Ça a fini par se calmer, du moins au rez-de-chaussée; à l’étage, elle défend toujours vigoureusement son territoire. Bon, quand elle ne dort pas…

Le quatrième chat de la maisonnée, le gros tas de poils de notre locataire qui vit sous les combles, reste cloîtré. Elle regarde ça de loin et désapprouve.

Quant à nous, on a de nouveau plein de chats, on est contents. Mes allergies un peu moins, mais je m’adapte. Et puis, ce n’est pas si cher payé.

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2 réflexions au sujet de “Alamak et Séléné”

  1. Qu’ils sont tous mignons !

    Ici j’ai deux “gouttières” : (Isaac) Asimov, un roux de à peu près neuf ans, et Chen (Balbus, oui celui d’Orphaned) un petit gris de trois ans. De vrais défonceurs de canapé et de câbles…

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  2. Qu’ils sont meugnons ces petits diablotins. C’est reparti pour 15 ans alors…
    Je pense qu’après en avoir eu 5, maintenant 3, on fera une petite pause quand même. Bref, dans 10 ans.
    Et puis l’avantage d’une maison avec porte entre les étages , c’est que si vraiment ça se passe mal, on peut séparer, ne serait-ce que quand on n’est pas là. Parce que les flaques de sang partout, on a donné une fois :s

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