Jusqu’à ce que je sois contacté par le musicien français Erang, j’ignorais qu’il existait un genre qui s’appelle le « Dungeon Synth ». En même temps, je suppose qu’il en va des genres musicaux comme des fantasmes sexuels: si tu penses avoir inventé un truc, le temps que tu vérifies sur Internet, tu trouveras toute une communauté qui est déjà dédiée.
J’ai failli oublier de faire le bilan Flattr de ce mois d’octobre 2015. Pas qu’il soit insignifiant – il est toujours à un niveau similaire, soit €8.96 et 18 clics reçus pour €10 donnés – mais je n’ai pas vu passer la notification de Flattr avant ce matin.
Thomas Thielen, T pour les intimes, est un de ces artistes furtifs dont les albums, comme le dernier Fragmentropy, sortent loin du bruit et de la fureur des circuits traditionnels, mais parviennent néanmoins à susciter l’enthousiasme des amateurs de rock progressif.
Moi qui pensais que la Saison des Conventions se terminerait plus ou moins après OctoGônes, je me retrouve ce week-end à me balader en région parisienne pour le premier Festival du jeu de Villepreux – et j’ai encore deux autres événements prévus d’ici la fin de l’année.
La Cour des Miracles est l’anthologie du Prix Mille Saison; c’est donc un recueil de vingt-et-une nouvelles ayant toutes comme thème, justement, « la Cour des Miracles »; c’est également un concours littéraire auquel j’ai voulu participer, sans arriver à trouver une idée qui tienne la route, mais passons.
Après un premier tome prometteur, la nouvelle trilogie uchronique signée Jean-Pierre Pécau USA über alles revient et, pour le coup, sort l’artillerie lourde. Par « artillerie lourde », j’entends surtout les gros avions qui tachent, à commencer par le bombardier Thunderbird, croisement entre un Amerikabomber signé Lippisch et un V-bomber anglais, revu et corrigé par Dassault.
Une mission habitée sur Mars qui tourne mal, un astronaute laissé pour mort sur la surface de la planète et la survie à tout prix pendant plus de 500 jours, tels sont les thèmes de The Martian, dernier film de Ridley Scott, avec Matt Damon dans le rôle-titre.
Bon, ce n’est pas que ça me démange très intensément, mais l’envie de participer cette année au NaNoWriMo – pour National Novel Writing Month – me titille depuis un moment. Ce n’est pas tant par envie d’être tendance, mais surtout parce que c’est l’occasion de me sortir les doigts opposables de là où le soleil ne brille jamais et de finir par poser sur papier une idée qui me trotte dans la tête depuis quelques temps.
Tiens, à l’occasion de la sortie du deuxième tome de Le Château des Étoiles, je m’aperçois que j’ai complètement oublié de vous parler du premier – découvert l’année passée à Geekopolis – et, partant, de cette très chouette série de bande dessinée steampunk signée Alex Alice.
Dans le petit monde du rock progressif, on a beaucoup parlé de New World, le premier album de Dave Kerzner. Multi-instrumentiste, compositeur, ingénieur du son, ex-membre du groupe Sound of Contact du fiston Collins, l’Américain est une de ces pointures peu connues de la scène prog et cet album est plutôt déroutant.
Ce week-end, c’était la troisième édition de Destination Tokyo – De-To pour les intimes – une convention japonaise perdue au fin fond du Valais. Enfin, à Sion, qui est juste la capitale cantonale, mais bon: en vrai Bas-Valaisan, je considère tout ce qui est au-delà de la Morge de Conthey, c’est le fin fond du Valais.
C’est une tendance que je suis déjà depuis quelques temps: certains de mes contacts ou amis se retirent volontairement, de façon temporaire ou définitive, des réseaux sociaux, le plus souvent face à des attaques violentes ou à une ambiance globalement toxique. Dans le même temps, je lis pas mal d’articles ou de billets d’humeur qui se plaignent que tel ou tel site est de plus en plus un repère de trolls.
En l’an de grâce 1242, la Chrétienté est aux abois: les Mongols ont ravagé l’est de l’Europe, pillé Rome et l’Italie et, désormais, ils sont sur le Rhin. C’est le point de départ de L’Empire des steppes, vingt-deuxième tome de la série uchronique Jour J.
Dès le premier épisode, Dark Matter, série de science-fiction canadienne, pose l’ambiance: six personnages, à bord d’un vaisseau spatial, se réveillent d’une stase cryogénique amnésiques et commencent par s’entrebraquer. Ensuite, les choses dégénèrent.
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑