Dans un futur proche, où des groupes de personnes dotées de pouvoirs surnaturels et emmenés par des rois dominent en sous-main la vie du Japon, le jeune et insouciant Yoshiro Isana est soudainement le centre de l’attention de deux de ces groupes, qui pensent qu’il est un des rois – et qui plus est, un meurtrier. C’est sur ces prémisses plutôt classiques que commence l’animé K, ou K Project.
Je vous ai déjà parlé du revenu de base, ou revenu universel. Si je vous en reparle aujourd’hui, ce n’est pas uniquement à cause d’une panne d’inspiration pour des sujets « vendredi vraie vie », mais également parce que l’actualité de ces derniers temps est une excellente occasion pour ressortir le sujet.
Il y a deux catégories de gens qui liront cette chronique de Homo Erraticus: les prog-heads qui vont tout de suite reconnaître le nom de Ian Anderson et ceux chez qui toute cette histoire va passer au-dessus de la tête. Je précise juste, au cas où, que le monsieur est le chanteur-flûtiste de Jethro Tull, groupe légendaire des Temps Héroïques.
La réponse américaine au HLS Prometheus Lorsque la Fédération des hautes-terres a enfin réussi à envoyer un vaisseau hyperluminique jusqu’à Fantir (sans se perdre en route, s’entend), il n’a pas fallu très longtemps aux Américains pour voler les plans et… Continue Reading →
Lors d’un assaut majeur contre les Mimics, les extra-terrestres qui ont envahi la Terre, la jeune recrue japonaise Keiji Kiriya, meurt. C’est ainsi que commence Edge of Tomorrow, roman – light novel, pour être précis – de l’auteur japonais Hiroshi Sakurazaka, dont est tiré le film avec Tom Cruise, dont je vous ai parlé hier (ou avant-hier, je me suis un peu pris les pieds dans les boutons).
À la veille d’un assaut majeur contre les Mimics, les extra-terrestres qui ont envahi la Terre, le major Cage, des relations publiques de l’armée US, a la brillante idée de menacer un général britannique pour éviter d’être envoyé couvrir le front. Du coup, le voilà rétrogradé, classé déserteur et… envoyé sur le front. Où il meurt. C’est ainsi que commence Edge of Tomorrow, un des blockbusters de l’été.
Une génération après le « Step Day », qui a vu une infinité de Terres parallèles s’ouvrir à l’humanité, Joshua Valienté repart à l’aventure pour The Long War, deuxième tome de cette saga signée par Terry Pratchett et Stephen Baxter, qui devrait en compter cinq au total (à l’heure où vous lirez ces lignes, le troisième, The Long Mars, sera peut-être déjà paru).
Ne riez pas tout de suite, mais il fut un temps où j’aimais bien le football. Bon, d’accord, vous pouvez rire. De toute façon, il y a prescription. Et, à vrai dire, j’aime toujours l’idée du foot, à savoir le fait de courir dans l’herbe avec des potes et savater un ballon (et, de préférence, pas trop de tibias).
Glass Hammer est un groupe qui parvient à me plonger dans des abîmes de perplexité; leur dernier album, Ode to Echo, en est l’illustration. Bon, j’exagère un peu, mais il faut comprendre que Glass Hammer est un groupe américain qui semble avoir pris comme spécialité de faire du Yes mieux que Yes. Ceux qui me connaissent doivent commencer à comprendre où est le problème, il tient en une expression: rétro-progressif.
Après le record de revenus du mois précédent, j’attendais avec une certaine appréhension les résultats Flattr pour le mois de mai. La tendance positive se confirme, avec €19.16 de revenus pour €15 de dons, même si ne suis pas sûr que parler de « tendance » soit de circonstance.
Il faut dire ce qui est: le timing de ce cinquième tome de la série de bande dessinée uchronique Wunderwaffen est impeccable. Intitulé Disaster Day, il revient sur l’histoire en cours pour s’arrêter sur le 6 juin 1944, un des points de divergence majeurs (mais sans doute pas le premier) dans cet univers, avec l’échec sanglant du débarquement allié en Normandie.
Un certain nombre de mes blogs préférés – principalement belges, allez savoir pourquoi – ont beaucoup parlé de ce que l’on pourrait appeler les espoirs déçus par le Parti pirate, lors des élections européennes. « Espoirs déçus » étant un euphémisme pour parler de « branlée ».
Je dois avouer qu’une des raisons principales qui m’incitent à suivre l’actualité de Fromuz, notamment leur nouvel album Sodom and Gomorrah, c’est que c’est un groupe de rock progressif ouzbèke. Les combos exotiques, c’est un peu mon snobisme à moi.
Comment aurais-je pu résister? Un roman de science-fiction signé par China Miéville qui parle de choc culturel entre Terriens et extra-terrestres et recommandé par Gromovar, en sus. Pourtant, au final, je ne peux m’empêcher de penser que Embassytown est un peu décevant.
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