Quelle meilleure façon d’entamer une quatrième année avec Flattr qu’avec un revenu record de presque vingt euros – €19.72, précisément? Bon, il faut voir aussi que j’ai dû une deuxième fois monter mes dons à €15 (pour 43 clics); si ça se trouve, c’est juste la rentrée qui a incité tout le monde à 1) écrire du contenu de qualité et 2) se montrer généreux. Ou alors c’est une anomalie statistique, c’est à voir.
Avec La malédiction de la Tour Saint-Jacques, premier tome de la nouvelle série de bande dessinée Paris Maléfices, Jean-Pierre Pécau commence à me faire un peu peur: non seulement il semble être un grand amateur d’uchronie (surtout si ça implique des avions débiles), mais il a aussi un intérêt pour le fantastique urbain en général et à Paris en particulier. J’ai l’impression d’être confronté à mon jumeau qui a réussi.
Gros flingues, gros véhicules et... petits sexbots?
Vu d'abord sur io9.com, cet article sur le blog d'Aaron Beck, illustrateur néo-zélandais, cette collection de concept-art pour le film Elysium comporte un peu trop de robots pour complètement entrer dans la catégorie “inspiration pour Tigres Volants”, mais il contient quelques concepts d'armes et de véhicules intéressants.
Gros flingues, gros véhicules et… petits sexbots? Vu d’abord sur io9.com, cet article sur le blog d’Aaron Beck, illustrateur néo-zélandais, cette collection de concept-art pour le film Elysium comporte un peu trop de robots pour complètement entrer dans la catégorie… Continue Reading →
On reconnaît souvent les bonnes conventions au fait qu’on rentre à la maison sur un petit nuage, malgré la fatigue, et qu’il nous faut la semaine pour s’en remettre – ainsi que, pour un exposant, qu’on rentre avec beaucoup moins de stock qu’on est parti. L’édition 2013 d’Octogônes, la convention lyonnaise, en fait partie.
Après les groupes éponymes, la tendance de l’automne est aux bouquins qui ont pour titre Clémentine. Bon, ce n’est pas tout à fait vrai: ce sixième tome de la série Freaks’ Squeele est une bande dessinée et l’ouvrage de Cherie Priest chroniqué il y a peu est sorti depuis plusieurs années. Au fait, pourquoi s’appelle-t-il « Clémentine »? Je ne sais pas, je cherche encore…
Vous vous rappelez de Bob Howard, le sympathique (quoique légèrement psychotique) agent gouvernemental britannique créé par Charles Stross pour sa série The Laundry et qui traque les Créatures Avec Beaucoup Trop De Tentacules? Il nous revient dans une histoire courte, mais percutante: Equoid.
Au hasard de mes pérégrinations libraires, j’ai acheté, à l’impulsion, le petit Manifeste pour une nouvelle presse (en) Suisse, de Fabio Lo Verso. L’auteur est également le fondateur du bimensuel suisse La Cité, un journal qui propose précisément un modèle original de publication et de financement; sans surprise, le Manifeste ici présent s’inspire de cette expérience.
La mode semble être aux groupes éponymes de leurs albums (comme j’ai appris qu’on dit en vrai, quand on a des lettres), témoin Lifesigns (attention: autoplay), un trio de musiciens anglais expérimentés qui se lancent dans « un nouveau genre de rock progressif ». Mouais, c’est eux qui le disent, parce que leur nouveau prog ressemble fichtrement à l’ancien néo-prog!
Clementine est chronologiquement le deuxième volume de la série de romans steampunk signée Cherie Priest, série intitulée « Clockwork Century ». Comme je suis un génie, je l’ai lu après le troisième, Dreadnought, mais ce n’est pas très grave: s’il fait parfois référence à des éléments du précédent, Boneshaker, s’il n’y a rien de critique.
Au-dessus de la Manche, une traînée de feu: c’est l’avion du commandant Saint-Exupéry qui tombe en flammes et, avec lui, les espoirs d’un apaisement entre l’État français de Doriot et la Grande-Bretagne. Ainsi commence Oméga, la dernière livraison de la série de bande dessinées uchroniques « Jour J ».
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