Accrochez vos ceintures, chaussez vos cyberlunettes polarisées: Galactikraken, vous accueille à bord de son Starship Velociraptor !
Encore un p’tit jeune qui veut faire son John Carpenter avec un album – Lost Themes III: Alive After Death – de synthwave. Ah, en fait…
Bergeton, c’est un p’tit jeune qui débute et qui veut faire son John Carpenter avec un album – Miami Murder – de synthwave. Sauf que…
Je m’attendais à quelque chose de beaucoup plus brutal pour Couvre-Sang, nouvel album du groupe français de post-metal DDENT. Rien que le nom, déjà.
Achromata, le précédent album du groupe russe Aesthesys, avait fait l’effet d’une bombe. Alignments, le nouvel opus, pose la question: sera-t-il au niveau?
Au nom, il n’est pas étonnant que Hats Off Gentlemen It’s Adequate, qui vient de sortir un album intitulé Nostalgia for Infinity, soit britannique et prog.
J’ai un instant caressé l’idée de faire un « Restes du samedi » spécial Perturbator. J’ai préféré me baser surtout sur The Uncanny Valley.
Quand j’ai appris que Perturbator allait livrer son seul concert en Suisse aux Docks de Lausanne, en compagnie de The Algorithm, je n’ai pas hésité. Deux des grands noms de la synthwave française, ça ne se refuse pas!
Pour le cas où vous l’auriez raté: les années 1980 reviennent en force! Et, avec elles, un style musical à base de synthétiseurs que l’on a depuis nommé « synthwave ». Parmi les grands noms modernes, on trouve pas mal de français (Carpenter Brut et The Algorithm), dont Perturbator – James Kent, de son nom civil. Témoin cet EP, Nocturne City.
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