Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Tag Suède

Dead Soul: In The Darkness/The Sheltering Sky

Or donc, il y a deux semaines, je faisais connaissance avec le duo électro-western suédois Dead Soul, qui passait en première partie de Ghost à L’Usine. Dans la foulée, j’achetais leurs deux albums, In the Darkness et The Sheltering Sky, principalement parce que leur musique me rappelle un de mes groupes préférés des années 1980: Wall of Voodoo.

 

Ghost à l’Usine

Ghost et moi, c’est l’histoire d’un coup de foudre: il y a six mois, je ne connaissais pas ce groupe suédois, qui propose une variante de hard-rock typé Californie 1974, mais avec des costumes absurdes et un fond de satanisme d’opérette. Et donc, hier soir, j’assiste à leur passage à l’Usine de Genève.

Ghost: Meliora

Après quelques écoutes de Meliora, dernier album en date du groupe mystérieux, mais néanmoins suédois Ghost, j’avais dit qu’il s’agissait d’un groupe de black-metal essayant de faire du prog, ou le contraire. En fait, Ghost est plus proche du « shock rock » des années 1970, dans l’esprit ainsi que dans le style.

Arch Enemy: War Eternal

OK, après avoir écouté War Eternal, le dernier album des Suédois de Arch Enemy, je me dis que j’ai vraiment un problème avec ce groupe. Ce n’est pas mon premier essai et ça ne fonctionne toujours pas. Pourtant, il y aurait de quoi appuyer sur un certain nombre de mes boutons – ceux à dopamine, pas les autres.

Loch Vostok: From These Waters

En théorie, je ne devrais pas aimer Loch Vostok: trop bruyant, trop confus, le métal de ce groupe suédois est souvent plus régressif que progressif. Pourtant, j’aime bien From These Waters; je le qualifierais de « formidable ». au sens premier du terme: il contient une telle impression d’urgence, de tension, que c’en est impressionnant.

Beardfish: +4626-Comfortzone

Beardfish est un groupe qui provoque chez moi des réactions bizarres: je me dis « mouaibof, un album qui s’appelle +4626-Comfortzone, pourquoi j’achète ce truc déjà? » et, quand je l’écoute, je me rappelle pourquoi. En clair, si je ne suis pas un grand fan de ce supergroupe suédois de rock progressif tendance rétro, leurs compositions sont suffisamment bien balancées pour susciter chez moi un enthousiasme certain.

Vulkan: Mask of Air

Mask of Air du groupe suédois Vulkan traîne dans ma playlist depuis près de deux mois. C’est le drame des groupes avec des noms qui tombent tout en bas de la liste alphabétique: forcément, ils sont joués moins souvent. Et c’est dommage, parce que ce rock progressif moderne et énergique a des arguments à faire valoir.

Soen: Tellurian

Quelque peu échaudé par un premier album semi-décevant, j’ai hésité avant d’acheter Tellurian, le second opus de Soen. Bien m’en a pris: ce super-groupe qui recrute chez Opeth, Death et Amon Amarth (entre autres) a sorti ici un petit bijou de métal progressif, entre Tool, Porcupine Tree et Riverside.

Pain of Salvation: Falling Home

Or donc, le groupe suédois de métal progressif Pain of Salvation, précédemment sur la route, retombe à la maison avec Falling Home, un nouvel album toujours moyennement progressif et très moyennement métal.

My Brother the Wind: Once There Was a Time When Time and Space Were One

Le groupe suédois My Brother the Wind rejoint la conspiration des albums qui ont décidé de flinguer l’optimisation des articles supposés parler d’eux avec Once There Was a Time When Time and Space Were One, un long opus instrumental mélangeant post-rock, psychédélique et rock progressif.

Evergrey: Hymns for the Broken

Les Suédois d’Evergrey et leur métal progressif énervé ont toujours une place spéciale, sinon dans mon cœur, du moins dans mes tympans. C’est pourquoi la sortie de leur nouvel album, Hymns for the Broken est pour moi un petit événement, même (ou surtout) si leur précédent album Glorious Collision avait laissé un goût un peu d’inachevé.

 

Opeth: Pale Communion

Je dois faire ici un aveu: je n’aime pas vraiment Opeth. Pour être précis, j’ai toujours eu du mal avec son métal progressif growlé et, maintenant qu’il donne dans le rétro-progressif pur vintage, comme avec ce Pale Communion, j’ai toujours du mal, mais différemment.

FreddeGredde: Brighter Skies

Parfois, quand on déprime un peu, on tombe sur des groupes (via Progarchives, dans le présent) qui vous redonnent confiance dans le rock progressif, le rock, la musique, voire l’humanité en général. Brighter Skies de FreddeGredde, (relativement) jeune compositeur suédois surtout connu pour ses medleys délirants sur YouTube, est de ceux-ci.

Katatonia: Viva Emptiness

Les vrais fans de Katatonia vont sans doute ricaner à la lecture de cette chronique de Viva Emptiness: cet album n’est pas exactement des plus récent, vu qu’il est sorti originellement il y a plus de dix ans. C’est par le biais d’une réédition et des encouragements enthousiastes de mon fourgue habituel à la Citadelle que je l’ai acquis.

The Flower Kings: Desolation Rose

Décidément, les albums de The Flower Kings ne sont pas faciles à chroniquer. Le nouvel opus des Suédois, fer de lance du courant rétro-progressif, s’appelle Desolation Rose et, comme le précédent Banks of Eden, se caractérise par une avalanche de mélodies très bien troussées, malheureusement mises au service d’un manque d’originalité certain.

Cult of Luna: Vertikal II

Post-melodium à Vertikal (comme son nom l’indique), l’EP Vertikal II de Cult of Luna est un concentré de post-métal électronique, à la fois ultra-plombé, ultra-brutal et, pourtant, aérien. Il contient trois morceaux issus des sessions d’enregistrement de Vertikal, ainsi qu’une reprise/remix, pour un total de trente-cinq minutes.

Moon Safari: Himlabacken vol. 1

En ces jours où la brume et le froid reviennent et où les nuits s’allongent, il est bon de pouvoir compter sur le rock progressif solaire d’un groupe comme Moon Safari, qui nous revient avec Himlabacken vol. 1, leur nouvel album. Encore qu’on pourrait dire qu’à l’instar de la météo de ce début d’automne, cet album réserve d’excellents moments, mais également quelques douches froides.

Moon Safari : Lover’s End part III

C’est un tout petit disque que ce Lover’s End part III de Moon Safari, épilogue à l’album Lover’s End. Oui, mais c’est un grand moment de bonheur progressif !

Jupiter Society: From Endangered to Extinct

Accrochez-vous à vos tachyons: Jupiter Society revient! Et, si la nouvelle a de quoi réjouir, eux ne sont pas contents. From Endangered to Extinct est un concept-album de métal symphonique progressif sur une thématique de science-fiction: l’anéantissement de l’humanité par un ennemi implacable.

Lost Kite

Des fois, je suis un peu concon. OK; souvent. Par exemple, quand on me parle d’un groupe que je ne connais pas et qu’on le compare à, mettons, Mike Oldfield, il me faut à peu près zéro virgule sept secondes pour hurler « SHUT UP AND TAKE MY MONEY! ». Et c’est comme cela que je me suis retrouvé avec le premier album, éponyme et autoproduit, de Lost Kite.

« Older posts Newer posts »

© 2025 Blog à part — Powered by WordPress

Theme by Anders NorenUp ↑

Mastodon