Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Tag Norvège

Enslaved: In Times

Un nouvel album d’Enslaved – ici, In Times – c’est toujours un exercice amusant de montagnes russes: le groupe norvégien a trouvé le moyen de mélanger black-metal et rock progressif et ainsi de semer la confusion dans deux communautés musicales que, d’ordinaire, tout oppose ou presque.

 

Jørn Lande & Trond Holter Present: Dracula, Swing of Death

Le nom de ce projet, Jørn Lande & Trond Holter, est grandiloquent. Le titre de cet album, Swing of Death, est grandiloquent. Le thème de cet album, Dracula, est grandiloquent. La musique de cet album est subtile et délicate.

Non, je déconne.

Audrey Horne: Pure Heavy

Audrey Horne – dont le nouvel album, le bien nommé Pure Heavy, vient de sortir – est un groupe norvégien qui a décidé de ressusciter l’esprit des groupes de hard-rock des années 1970 avec un son contemporain. C’est plutôt une bonne idée, mais ce qui m’ennuie, c’est que c’est déjà ce que j’ai écrit pour le précédent, à peu de choses près. Et celui d’avant, aussi.

Triosphere: The Heart of the Matter

À l’écoute de The Heart of the Matter, nouvel album de Triosphere, deux constatations: c’est vachement peu original et c’est vachement bien quand même. Le quatuor norvégien nous livre là un nouvel opus de power-metal qui reprend un peu tous les poncifs du genre, mais qui le fait avec une efficacité impressionnante.

Mortal Love: I Have Lost

I Have Lost, du groupe norvégien de métal gothique à voix féminine Mortal Love, n’est pas exactement un album récent (il date de 2005 et, depuis, le groupe a suspendu ses activités), mais ce n’est que récemment qu’un billet sur Clair & Obscur me l’a fait découvrir. Parfois, il est bon de revenir dix ans en arrière pour découvrir de telles pépites.

 

Soup: The Beauty of Our Youth

Soup, ça n’en est pas. Voilà, comme ça c’est fait; on peut se concentrer sur l’essentiel, c’est-à-dire The Beauty of Our Youth, un remarquable album de pop-prog venu tout droit de Norvège (avec un crochet par Neoprog, qui m’a encore fait découvrir là un truc exceptionnel).

 

Fatal Fusion: The Ancient Tale

Quand j’écoute le groupe norvégien Fatal Fusion, j’ai l’impression qu’il y a un peu tromperie sur la marchandise, car ce n’est pas de la fusion et ce n’est pas très fatal non plus. Le titre de l’album, The Ancient Tale, est déjà plus raccord, vu qu’il s’agit de rock progressif avec de grosses influences néo-prog (et, pour ceux qui se demandent pourquoi, on dira que le « néo-prog » est à peu près aussi récent que la « new-wave »).

Gazpacho: Demon

Il y a des groupes qui, l’air de rien, ont su tracer leur chemin, même dans un genre aussi balisé que le rock progressif. Les Norvégiens de Gazpacho sont de ceux-ci et leur dernier album, Demon, en est une preuve supplémentaire.

Ulver: Messe I.X-VI.X

Amateurs de choses réellement bizarres, bienvenue dans cette chronique du dernier album de Ulver, Messe I.X-VI.X. Comme son nom l’indique, il s’agit d’une messe, au sens musique classique du terme – commandée par le ministère norvégien de la culture. Parce que fuck yeah Norvège! C’est d’autant plus cocasse quand on sait que Ulver est, à la base, un groupe de black métal.

Ihsahn: Das Seelenbrechen

Bon, c’est officiel: si le black métal progressif n’existait pas encore (ce dont je doute fort, après avoir appris que quelqu’un avait créé un groupe de Vegetarian Progressive Grindcore), Ihsahn vient de l’inventer avec ce nouvel album, intitulé Das Seelenbrechen (« rupture de l’âme », en français).

Leaves’ Eyes: Symphonies of the Night

Dans le métal symphonique, surtout dans sa variante à voix féminines, il y a (comme pour tout) du bon et du moins bon. Le groupe norvégien Leaves’ Eyes confirme, avec ce Symphonies of the Night, qu’il appartient à la première catégorie, même si l’album est peut-être un ton en-dessous du précédent, Meredead.

Tristania: Darkest White

Dans le petit monde merveilleux du métal symphonique, Tristania semble véritablement être un cas à part et son nouvel album, Darkest White, le prouve une fois de plus. En gros, si vous vous attendez à un énième clone de « Within Epic Wish », vous allez être déçu: certes, il y en a aussi, mais pas que.

 

Shining+Enslaved: Armageddon Concerto

Je crois qu’il n’y a qu’en Norvège qu’un festival de jazz invite deux groupes de métal extrême pour créer une composition originale d’une heure et demie. Ça s’appelle Armageddon Concerto et c’est signé Shining et Enslaved

Shining: One One One

Je ne sais pas très bien ce qui m’a poussé à acheter One One One, album du groupe norvégien Shining. Parce que mélanger jazz, rock progressif et métal extrême, c’est brutal!

Sirenia: Perils of the Deep Blue

Dans la série des groupes « comme son nom (et sa pochette) l’indique », aujourd’hui les Norvégiens de Sirenia, dont le nouvel album, Perils of the Deep Blue, est une illustration quasi-parfaite du métal symphonique à voix féminine.

Leprous: Coal

Leprous est un groupe norvégien dont j’entends parler depuis un petit moment, mais je n’ai réellement sauté le pas qu’avec ce Coal, leur nouvel album paru tout récemment. Le moins que je puisse en dire, c’est que je ne suis pas déçu, mais également que je ne sais pas trop par quel bout le prendre.

Audrey Horne: Youngblood

Imaginez qu’en 1980, Iron Maiden, AC/DC et quelques autres décident de faire un supergroupe; transposez le résultat en 2010 et, le temps que la joyeuse bande s’imprègne des trente dernières années musicales, ils composent un album. Cet album, c’est Youngblood, le petit dernier des Norvégiens de Audrey Horne, et autant dire que, même si ce n’est pas vraiment du prog, il me remue grave la petite cuillère!

Enslaved: RIITIIR

Si, comme moi, vous avez tendance à être musicalement bipolaire, du genre à aussi bien apprécier le rock progressif le plus mélodique et le métal le plus brutal, alors RIITIIR, nouvel album des Norvégiens de Enslaved, est non seulement fait pour vous: il est à votre image. C’est fort, hein?

Circus Maximus: Nine

Le dernier album de Circus MaximusNine, aurait été sans doute meilleur s’il avait porté un autre nom. Pour être précis, ce quintett norvégien de métal sonne beaucoup trop comme un autre quintett de métal progressif, beaucoup plus connu, du nom de Dream Theater. C’est ennuyeux.

Ihsahn: Eremita

Ihsahn est un projet que j’ai découvert il y a peu, via leur précédent album, AfterEremita va encore plus loin; cet avis tient lieu de faire-part. Je vous explique: à l’origine de Ihsahn, il y a donc un petit prodige du black métal, le norvégien Vegard Tveitan. Comme beaucoup de ses coreligionnaires, il est sorti du black métal pour s’aventurer dans des contrées encore moins accueillantes, aux confins du black métal, du rock progressif et du jazz expérimental.

« Older posts Newer posts »

© 2025 Blog à part — Powered by WordPress

Theme by Anders NorenUp ↑

Mastodon