Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Tag néo-prog

Arena: Double Vision

Parmi les signes que l’on vieillit, il y a les groupes qu’on a adoré un temps et qui, à force des trucs médiocre, finissent par ne plus éveiller qu’un enthousiasme modéré. Témoin Arena et son nouvel album, « Double Vision », qui s’avère plutôt pas mal malgré un côté convenu.

Galaad à Lausanne

Je vous ai déjà raconté cette histoire: il y a plus de vingt ans, alors que j’étais parti pour – enfin! – voir Le Voyage de Noz à Satellite, je me prenais par surprise le groupe suisse Galaad en pleine tronche. Et aujourd’hui, en 2018, je retrouve ce groupe aussi jurassien que mythique en concert à Zelig, la petite sœur de Satellite, sur les terres de l’uni de Lausanne.

Jump: Over the Top

La question du jour: à quel moment un album cesse de ressembler à un hommage pour faire figure de pompage embarrassant? Over the Top, du groupe britannique Jump, est à deux doigts de faire figure d’illustration à cette interrogation.

IT: We’re All in This Together

Quelque part, IT est un cliché: un groupe londonien qui fait du rock progressif, oscillant entre les mélodies d’un Pink Floyd tardif et le néo-prog engagé à la Twelfth Night. We’re All in This Together, leur dernier album, mérite cependant plus que ce qualificatif lapidaire.

Threshold: Legends of the Shires

Généralement, quand un groupe qualifié de « progressif » se lance dans un double album studio, le chroniqueur moyen se méfie. Cela peut être très bon ou une monstruosité dégoulinante d’égo et d’ambition. Parfois les deux, mais rarement entre les deux. Dans le cas de Legends of the Shire, le dernier opus de Threshold, on est heureusement plus dans la première option.

The Aurora Project: World of Grey

Encore un album oublié de 2016: World of Grey, du groupe néerlandais The Aurora Project, que j’aurais sans doute complètement zappé si Neoprog n’en avait pas fait une chronique élogieuse. Personnellement, après écoute, je suis plus mitigé.

Lonely Robot: The Big Dream

Le rock progressif est un genre qui a produit son lot de supergroupes – il est même possible qu’il soit à l’origine du terme. Lonely Robot est un de ces projets « all-stars » qui ont fleuri ces dernières années, projet que je découvre avec ce nouvel album The Big Dream.

Audio’m

Repéré par Neoprog, je dois avouer que la première impression que m’a laissé le premier album d’Audio’m n’est pas exactement positive. Comme quoi il faut se méfier des premières impressions.

Disperse: Foreword

Et voici la cinquième chronique en relation avec la soirée prog à Aarau de ce vendredi – dernier, mais non des moindres. Disperse est un jeune quatuor polonais dont c’est ici le deuxième album, intitulé Foreword, et qui donne dans le néo-prog contemporain.

Sirk: Enter the Sirk:Us

Parfois, la vie de chroniqueur musical est rude. Parfois, on se retrouve à chroniquer l’album d’un groupe fort sympathique, mais qui ne tient pas toutes ses promesses. En l’occurrence, Enter the Sirk:Us, premier album du groupe français Sirk – comme son nom l’indique.

Vennart: The Demon Joke

Quand j’ai lu, dans la chronique de Clair & Obscur, que Vennart était un des membres fondateurs de Oceansize, je me suis précipité sur son album The Demon Joke – enfin, disons que j’ai marqué l’article et que, plusieurs mois plus tard, j’ai fini par l’acheter.

Maschine: Naturalis

De temps à autre, on voit apparaître sur les divers forums de prog-heads des albums qui semblent faire l’unanimité, de Neoprog à Angry Metal Guy – c’est dire! Naturalis, des Britanniques de Maschine, semble être de ceux-ci et il fait avouer que leur néo-progressif moderne et lumineux a de quoi séduire.

Freedom to Glide: Fall

C’est via Progcritique que j’ai découvert Fall, deuxième album du groupe britannique Freedom to Glide, qui propose un néo-prog mélancolique et un concept sur la Deuxième Guerre mondiale, deuxième volet d’une trilogie commencée avec leur premier album, Rain.

Maglev: Overwrite the Sin

En remontant dans la masse de références musicales que j’avais sauvegardé pour plus tard, dans mon lecteur de flux RSS, je tombe sur ce Overwrite the Sin, du groupe au nom très SF de Maglev – sauf qu’en fait de lévitation magnétique, il s’agit du nom du musicien et chanteur hollandais, Joost Maglev.

Flying Colors: Second Nature

Allez savoir pourquoi, j’étais passé complètement à côté de ce Second Nature, deuxième album du supergroupe de rock progressif Flying Colors. Certes, le premier ne m’avais pas tant emballé que ça, mais l’écoute du dernier Neal Morse m’a donné envie d’écouter celui-ci.

Circus Maximus: Havoc

Entre Circus Maximus et moi, ce n’est pas le grand amour et, du coup, j’ai pas mal hésité avant d’acheter Havoc, leur dernier album en date. Je n’avais pas vraiment été convaincu par les précédentes prestations de ce groupe norvégien de métal progressif auto-proclamé, comme Isolate ou Nine.

Karibow: Holophinium

Il y a des groupes comme ça, qui sortent comme de nulle part malgré vingt ans d’existence et qui vous explosent à la gueule avec un album de grande tenue. C’est le cas de la formation allemande Karibow et de Holophinium un double CD découvert grâce à Neoprog – en toute logique, puisque le groupe est fermement ancré dans ce style musical.

Frost*: Falling Satellites

Avec Frost*, j’ai appris à me méfier. Leur précédent album, Experiments in Mass Appeal, avait mis du temps avant de me convaincre et j’avais écrit ma chronique trop tôt. Pour Falling Satellites, leur dernier album, j’ai décidé de prendre mon temps et de lui consacrer une bonne dose d’écoutes. Ce qui s’est avéré une bonne idée.

Ashby: Fragmental

Pour faire suite à ma chronique de Ælendir hier, je vous propose aujourd’hui un autre groupe à l’inspiration néo-prog fortement tintée nineties: les Allemands de Ashby et leur premier album – si l’on excepte un EP – Fragmental, également découverts grâce à Neoprog.

Ælendir: Soul Heaven Anatomy

Je vous parlais il y a peu de Vae Victis, de Galaad, et le hasard a voulu que je tombe récemment sur deux albums qui y ressemblent beaucoup, pour le meilleur et pour le pire. Le premier est Soul Heaven Anatomy, du groupe français Ælendir, que j’ai découvert via une chronique du site Neoprog.

« Older posts Newer posts »

© 2025 Blog à part — Powered by WordPress

Theme by Anders NorenUp ↑

Mastodon