Depuis dix ans, la Bretagne vit sous la coupe de Lancelot. Mais où est passé l’ancien roi, Arthur? Réponse dans le premier volet de Kaamelott, version ciné.
Cela faisait un petit moment que j’avais envie de regarder Que ma joie demeure!, le DVD du spectacle d’Alexandre Astier sur Johann Sebastian Bach. Pour finir, c’est la chronique de Thias qui m’a poussé à l’imposer à ma dame, en lieu et place des rediffusions des séries semi-ringardes coutumières du dimanche après-midi.
Ce qu’il y a de bizarre avec la Flander’s Company, c’est comment une série réalisée avec un manque flagrant de moyens, des effets spéciaux à la ramasse, des costumes plus ou moins miteux et un jeu d’acteur très aléatoire peut… Continue Reading →
Un village reclus, loin de tout, au fin fond de la France, et ses habitants peu hospitaliers: voilà le riant décor dans lequel vient se fourrer John, appelé sur place suite au décès de sa tante. Seulement voilà: il y a une autre raison derrière la venue de John: le village est une sorte de refuge pour d’anciens super-héros au rabais et une prophétie a révélé que c’est lui, John, qui doit tous les sauver du retour de The Lord, le légendaire génie du Mal. Tel est le point de départ de Hero Corp, série conçue et réalisée par Simon Astier, frère d’Alexandre (Kaamelott), qui joue également le rôle de John.
Féréus, jeune touilleur de vase dans le village de Carbeyrac, ne se doute pas qu’en ce jour où sonne le tocsin, son destin allait prendre une dimension épique. Bon, il faut dire ce qui est: Féréus a beau être le fils du dieu du vent, il n’est pas très malin. Devenu Féréus le Fléau, fils de la colère et du vent, le voici donc lancé à la poursuite de l’infâme nécromant Sqol Grafesh pour affronter poules zombies, golems putrides et jeunes filles impudiques dans sa quête pour sauver son village.
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